Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Benjamin Biolay est excellent dans Quelques jours pas plus.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Un feel good movie intelligent, émouvant et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par J.B.
Comédie sociale emprunte d'humour et de romantisme, ce film nous tend un miroir qui donne le sourire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Benjamin Biolay n’a peut-être jamais aussi bien joué que dans cette histoire altruiste à l’humour doux et généreux. Ou peut-être n’a-t-il jamais été aussi bien dirigé que dans cette comédie sociologique inattendue sur le drame des migrants.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Quelques jours pas plus renvoie aux belles heures de la comédie sociale britannique, qui, dans les années 1990, voyait naître à l’écran de drôles d’histoires de prolos en lutte. Avec beaucoup d’humour, ce pendant hexagonal met en lumière, au-delà des barrières de classe, le rôle des associations pour aider les réfugiés, avec un soupçon de romance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Même l’image – de Sylvestre Dedise – a de la gueule et contrevient à la triste tradition des comédies française photographiées comme des sitcoms. En plus, on entend The Kinks et The Zombies. Beau geste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec une vivacité et un enthousiasme contagieux, le premier long-métrage de Julie Navarro fusionne le cinéma social et la comédie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Benjamin Biolay, souvent utilisé au cinéma pour jouer les bourgeois pleutres ou salauds, se coule parfaitement dans le perfecto d'Arthur Berthier, quinqua indolent, immature et très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Si l’intrigue repose sur un prétexte romantique, ce film sonne très juste et très humain sur l’accueil des sans-papiers.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sur un thème désormais classique, Julie Navarro réussit un premier film chaleureux, et offre à Benjamin Biolay son meilleur rôle à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
La question migratoire, un bon sujet pour une comédie ? Oui, répond Julie Navarro dans son premier film où elle met en scène un critique rock désabusé accueillant chez lui un jeune Afghan. « Quelques jours pas plus » est l’une des fictions françaises les plus originales du printemps.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un vivifiant Ken Loach à la française.
Positif
par Ariane Allard
[Le film] investit le registre mordant de la comédie pour radiographier notre temps, [...]. Et [...] s’appuie sur une écriture très fine, jubilatoire, joliment maîtrisée sous ses airs ébouriffés.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Julie Navarro signe un film social… et drôle porté par un épatant Benjamin Biolay
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La cinéaste signe ainsi une vivifiante comédie romantique et sociale, sans pathos ni didactisme, qui nous décille les yeux sur la réalité du travail associatif et le drame des migrants, trop souvent réduits à des chiffres.
Télé Loisirs
par Alexandra Ayo Barro
Un scénario inégal mais captivant. Il prête à sourire, déclenche quelques rires sincères et émeut presque aux larmes.
Voici
par La Rédaction
Malgré son thème délicat, Julie Navarro parvient avec ce premier essai à éviter le trop-plein émotionnel grâce à une touche d'humour tout en finesse.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sincère dans les intentions, et d’une grande sensibilité, Quelques jours pas plus met en scène avec beaucoup de brio la complexité des parcours migratoires en France et les limites des dispositifs d’hébergement et d’accompagnement. Un film généreux avec des interprètes d’une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film échappe à tout écueil didactique par le décalage entre l’intérêt d’Arthur pour Mathilde et ses préoccupations à elle : trouver des logements, distribuer des repas, accompagner les migrants dans leurs démarches administratives…
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Dl
Si le mélo vient se mêler de l’affaire pour l’incliner sur la douce pente de l’altruisme, il n’en reste pas moins que la charité est vue comme le dommage collatéral d’un coup de cœur. Un renouveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Si l’on peut déplorer son amorce maladroite, voire cynique, la première réalisation de Julie Navarro finit par révéler, in fine, un cœur tendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Sur un sujet proche du dernier Nakache- Toledano, Julie Navarro signe un premier long métrage savoureux où, à l’exception d’une dernière ligne droite trop mièvre, l’équilibre entre chronique sociétale, comédie et romantisme fonctionne à merveille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Rythmé avec minutie, le film déroule sa comédie (qui aurait pu être un brin plus musclée) en se jouant des clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Qu’on y secoure l’étranger par ennui (Ma France à moi de Benoit Cohen) ou, comme ici, pour séduire une bénévole (l’argument marche pour toutes les causes – voir les deux écolos par amour d’Une année difficile de Toledano et Nakache), les fictions françaises de l’accueil n’ont pas leur pareil pour évacuer l’altérité au profit d’une autocritique inoffensive.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La cause est noble de s'intéresser au parcours chaotique et courageux d'un étranger [....], mais il n'est que le prétexte à raconter une amourette entre un quadragénaire [...] et une ancienne avocate [...].
Le Point
par La Rédaction
Problème avec Quelques jours pas plus : on a l'impression que Mathilde/Camille Cottin n'est pas très convaincue par son personnage, tout comme Arthur/Benjamin Biolay qui trouve le temps un peu long avec son réfugié et voudrait bien la séduire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En détournant le regard, le film évite d’aller là où ça fait mal, de traiter l’angoisse sécuritaire, la peur de l’étranger ou la fétichisation et le fantasme du jeune Arabe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Benjamin Biolay est excellent dans Quelques jours pas plus.
Bande à part
Un feel good movie intelligent, émouvant et drôle.
Closer
Comédie sociale emprunte d'humour et de romantisme, ce film nous tend un miroir qui donne le sourire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Benjamin Biolay n’a peut-être jamais aussi bien joué que dans cette histoire altruiste à l’humour doux et généreux. Ou peut-être n’a-t-il jamais été aussi bien dirigé que dans cette comédie sociologique inattendue sur le drame des migrants.
L'Humanité
Quelques jours pas plus renvoie aux belles heures de la comédie sociale britannique, qui, dans les années 1990, voyait naître à l’écran de drôles d’histoires de prolos en lutte. Avec beaucoup d’humour, ce pendant hexagonal met en lumière, au-delà des barrières de classe, le rôle des associations pour aider les réfugiés, avec un soupçon de romance.
L'Obs
Même l’image – de Sylvestre Dedise – a de la gueule et contrevient à la triste tradition des comédies française photographiées comme des sitcoms. En plus, on entend The Kinks et The Zombies. Beau geste.
Le Dauphiné Libéré
Avec une vivacité et un enthousiasme contagieux, le premier long-métrage de Julie Navarro fusionne le cinéma social et la comédie.
Le Figaro
Benjamin Biolay, souvent utilisé au cinéma pour jouer les bourgeois pleutres ou salauds, se coule parfaitement dans le perfecto d'Arthur Berthier, quinqua indolent, immature et très drôle.
Le Parisien
Si l’intrigue repose sur un prétexte romantique, ce film sonne très juste et très humain sur l’accueil des sans-papiers.
Les Echos
Sur un thème désormais classique, Julie Navarro réussit un premier film chaleureux, et offre à Benjamin Biolay son meilleur rôle à ce jour.
Marianne
La question migratoire, un bon sujet pour une comédie ? Oui, répond Julie Navarro dans son premier film où elle met en scène un critique rock désabusé accueillant chez lui un jeune Afghan. « Quelques jours pas plus » est l’une des fictions françaises les plus originales du printemps.
Ouest France
Un vivifiant Ken Loach à la française.
Positif
[Le film] investit le registre mordant de la comédie pour radiographier notre temps, [...]. Et [...] s’appuie sur une écriture très fine, jubilatoire, joliment maîtrisée sous ses airs ébouriffés.
Sud Ouest
Julie Navarro signe un film social… et drôle porté par un épatant Benjamin Biolay
Télé 7 Jours
La cinéaste signe ainsi une vivifiante comédie romantique et sociale, sans pathos ni didactisme, qui nous décille les yeux sur la réalité du travail associatif et le drame des migrants, trop souvent réduits à des chiffres.
Télé Loisirs
Un scénario inégal mais captivant. Il prête à sourire, déclenche quelques rires sincères et émeut presque aux larmes.
Voici
Malgré son thème délicat, Julie Navarro parvient avec ce premier essai à éviter le trop-plein émotionnel grâce à une touche d'humour tout en finesse.
aVoir-aLire.com
Sincère dans les intentions, et d’une grande sensibilité, Quelques jours pas plus met en scène avec beaucoup de brio la complexité des parcours migratoires en France et les limites des dispositifs d’hébergement et d’accompagnement. Un film généreux avec des interprètes d’une grande justesse.
La Croix
Le film échappe à tout écueil didactique par le décalage entre l’intérêt d’Arthur pour Mathilde et ses préoccupations à elle : trouver des logements, distribuer des repas, accompagner les migrants dans leurs démarches administratives…
Le Monde
Si le mélo vient se mêler de l’affaire pour l’incliner sur la douce pente de l’altruisme, il n’en reste pas moins que la charité est vue comme le dommage collatéral d’un coup de cœur. Un renouveau.
Les Fiches du Cinéma
Si l’on peut déplorer son amorce maladroite, voire cynique, la première réalisation de Julie Navarro finit par révéler, in fine, un cœur tendre.
Première
Sur un sujet proche du dernier Nakache- Toledano, Julie Navarro signe un premier long métrage savoureux où, à l’exception d’une dernière ligne droite trop mièvre, l’équilibre entre chronique sociétale, comédie et romantisme fonctionne à merveille.
Télérama
Rythmé avec minutie, le film déroule sa comédie (qui aurait pu être un brin plus musclée) en se jouant des clichés.
Cahiers du Cinéma
Qu’on y secoure l’étranger par ennui (Ma France à moi de Benoit Cohen) ou, comme ici, pour séduire une bénévole (l’argument marche pour toutes les causes – voir les deux écolos par amour d’Une année difficile de Toledano et Nakache), les fictions françaises de l’accueil n’ont pas leur pareil pour évacuer l’altérité au profit d’une autocritique inoffensive.
Le Journal du Dimanche
La cause est noble de s'intéresser au parcours chaotique et courageux d'un étranger [....], mais il n'est que le prétexte à raconter une amourette entre un quadragénaire [...] et une ancienne avocate [...].
Le Point
Problème avec Quelques jours pas plus : on a l'impression que Mathilde/Camille Cottin n'est pas très convaincue par son personnage, tout comme Arthur/Benjamin Biolay qui trouve le temps un peu long avec son réfugié et voudrait bien la séduire.
Les Inrockuptibles
En détournant le regard, le film évite d’aller là où ça fait mal, de traiter l’angoisse sécuritaire, la peur de l’étranger ou la fétichisation et le fantasme du jeune Arabe.