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Le long-métrage horrifique de Danny et Michael Philippou s’en tire avec les honneurs, appuyant une métaphore des abus de la drogue ou de l’alcool à l’adolescence.
Si l’intrigue aborde bien entendu la problématique de l’absence et du deuil, elle s’intéresse aussi, de manière plus inattendue, à l’addiction, ses personnages devenant littéralement accros à la main de plâtre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"La Main" réussit un drôle de tour de force : passer sous les fourches Caudines de l'horreur calibrée pour public ado tout en étant une œuvre inconfortable et même très méchante, voire carrément désespérée.
En remplaçant la planche ouija par une main pétrifiée, ce premier long métrage ne renouvelle pas le genre du « film d'horreur avec des ados » mais l'exploite avec une efficacité redoutable. Un grand frisson dont on aurait tort de se priver.
Avec un sens certain de la gestion du malaise, des personnages incarnés et un sous-texte malin, cette Main vous agrippe sans vous lâcher le temps d'un éprouvant roller-coaster de sueurs froides.
"La Main" ne réinvente pas la roue de l'horreur, et ressemblera à un mignon train fantôme pour les fans du genre. Mais ça remplit bien la mission, notamment grâce à quelques pics de cruauté et le talent de l'actrice Sophie Wilde.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Avec sa main sculptée qui permet de communiquer avec l’au-delà et ses personnages d’adolescents très réalistes, « la Main » actualise les codes de l’horreur surnaturelle à l’aune de sa peinture bien vue de la génération TikTok. Amateurs d’angoisse, foncez !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans sa deuxième partie, La Main dévoile progressivement le présent et le passé de personnages hantés par diverses souffrances psychologiques – le deuil, l’abandon, la solitude. Du caractère extraordinaire des visions et apparitions fantomatiques vont surgir la douleur et l’inertie de vies sans qualités, à la fois banales et singulièrement tristes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si l’architecture de la narration reste un brin simpliste et les personnages manquent un peu de profondeur, impossible de bouder son plaisir devant ce bel objet qui vient donner un sérieux coup de fouet à une production horrifique sérieusement en berne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Vu le pedigree, peut-être espérions-nous trop de cette variation autour des portes ouvertes entre les vivants et les morts, figure classique qui n’est ici pas réinventée. Pour autant, c’est le vrai frisson de l’été.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Et si l’idée de faire du spiritisme un phénomène viral est séduisante sur le papier, "La Main" s’égare dans une logique foraine abrutissante, et ne tire rien de son concept sinon des scènes horrifiques finalement très communes, qui ne questionnent jamais véritablement leur sujet.
Une heure et demie d’un film sans envie, sans rythme, qui ne sait jamais vraiment où il veut aller ni comment, et n’a à peu près rien à proposer au-delà d’une idée de départ pourtant intrigante : faire des séances de spiritisme un phénomène viral et addictif qui s’empare de la jeunesse d’une ville australienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Un film d'horreur réjouissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le long-métrage horrifique de Danny et Michael Philippou s’en tire avec les honneurs, appuyant une métaphore des abus de la drogue ou de l’alcool à l’adolescence.
Le Dauphiné Libéré
Le film s’en tire avec les honneurs, d’autant plus qu’il réussit à rendre ses personnages principaux attachants… pour mieux les faire souffrir.
Le Parisien
Si l’intrigue aborde bien entendu la problématique de l’absence et du deuil, elle s’intéresse aussi, de manière plus inattendue, à l’addiction, ses personnages devenant littéralement accros à la main de plâtre.
Les Echos
Film d'épouvante australien modeste et efficace, « La main » perpétue par temps de canicule la tradition des sorties d'été qui font froid dans le dos.
Mad Movies
"La Main" réussit un drôle de tour de force : passer sous les fourches Caudines de l'horreur calibrée pour public ado tout en étant une œuvre inconfortable et même très méchante, voire carrément désespérée.
Ouest France
Diablement efficace.
Télé 7 Jours
"La Main" est un film coup-de-poing ultra terrifiant, venu d’Australie.
Télé Loisirs
En remplaçant la planche ouija par une main pétrifiée, ce premier long métrage ne renouvelle pas le genre du « film d'horreur avec des ados » mais l'exploite avec une efficacité redoutable. Un grand frisson dont on aurait tort de se priver.
Voici
Avec un sens certain de la gestion du malaise, des personnages incarnés et un sous-texte malin, cette Main vous agrippe sans vous lâcher le temps d'un éprouvant roller-coaster de sueurs froides.
Ecran Large
"La Main" ne réinvente pas la roue de l'horreur, et ressemblera à un mignon train fantôme pour les fans du genre. Mais ça remplit bien la mission, notamment grâce à quelques pics de cruauté et le talent de l'actrice Sophie Wilde.
L'Obs
Avec sa main sculptée qui permet de communiquer avec l’au-delà et ses personnages d’adolescents très réalistes, « la Main » actualise les codes de l’horreur surnaturelle à l’aune de sa peinture bien vue de la génération TikTok. Amateurs d’angoisse, foncez !
Le Monde
Dans sa deuxième partie, La Main dévoile progressivement le présent et le passé de personnages hantés par diverses souffrances psychologiques – le deuil, l’abandon, la solitude. Du caractère extraordinaire des visions et apparitions fantomatiques vont surgir la douleur et l’inertie de vies sans qualités, à la fois banales et singulièrement tristes.
Première
Si l’architecture de la narration reste un brin simpliste et les personnages manquent un peu de profondeur, impossible de bouder son plaisir devant ce bel objet qui vient donner un sérieux coup de fouet à une production horrifique sérieusement en berne.
CinemaTeaser
Markété comme un pur produit A24, La Main n'est pas une claque. Du tout.
Critikat.com
Dans ce récit horrifique assez attendu et avare en idées de mise en scène, quelques séquences se démarquent toutefois par leur imprévisibilité.
La Voix du Nord
Vu le pedigree, peut-être espérions-nous trop de cette variation autour des portes ouvertes entre les vivants et les morts, figure classique qui n’est ici pas réinventée. Pour autant, c’est le vrai frisson de l’été.
Télérama
Si l’héroïne principale, une jeune fille en deuil affamée d’attention, parvient à exister un peu, tout le reste demeure ectoplasmique.
Les Inrockuptibles
Et si l’idée de faire du spiritisme un phénomène viral est séduisante sur le papier, "La Main" s’égare dans une logique foraine abrutissante, et ne tire rien de son concept sinon des scènes horrifiques finalement très communes, qui ne questionnent jamais véritablement leur sujet.
Libération
Une heure et demie d’un film sans envie, sans rythme, qui ne sait jamais vraiment où il veut aller ni comment, et n’a à peu près rien à proposer au-delà d’une idée de départ pourtant intrigante : faire des séances de spiritisme un phénomène viral et addictif qui s’empare de la jeunesse d’une ville australienne.