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    Scrapper
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    33 critiques spectateurs

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    Nana Dupont
    Nana Dupont

    2 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    une banlieue anglaise aux bungalows juxtaposés dans un pré, tous d'une couleur différente, le décor est planté : KITSCH !
    le film n'en est pas moins original
    une gamine livrée à elle-même depuis le décès de sa mère et qui semble (dans la journée) assumer la situation, mais la nuit elle laisse sortir sa tristesse...
    elle est endurcie, débrouillarde, inventive, méfiante, combattive, colérique mais surtout très attachante...
    c'est ce qui va arriver à son père biologique lorsqu'il débarque, pour la connaître et éventuellement (s'il en est capable) s'occuper d'elle ; ces deux-là finiront par s'apprivoiser, après s'être jaugés, épiés, détestés...on pense au renard et le petit prince, c'est un peu ça...
    une belle fable, un beau conte, qui nous rappelle qu'effectivement, un enfant a besoin d'un parent (au moins) pour bien grandir...
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    Georgie (Lola Campbell), douze ans à peine, vient de perdre d’une longue maladie sa mère qui l’élevait seule. La gamine s’est inventé un oncle pour tromper la vigilance des services sociaux. Elle réussit parfaitement à se gérer seule avec l’argent qu’elle gagne en trafiquant des vélos volés. Mais un jour son père biologique(Harris Dickinson remarqué dans "Sans filtre"), adulescent immature qui vivait jusqu’alors de petits boulots à Ibiza, débarque chez elle et s’y installe au grand dam de Georgie.

    Scrapper est le premier film de Charlotte Regan. Molly Manning Walker, qui vient de réaliser "How to Have Sex", dont j’ai dit ici tout le bien que j’en pensais, la secondait sur le plateau. Grand prix du jury au festival de Sundance 2023 dans la catégorie des films étrangers, remarqué au festival de Dinard l’automne dernier, Scrapper porte haut les couleurs d’un jeune cinéma britannique en plein renouveau.

    C’est un film mignon aux airs de déjà-vu.
    Déjà vues les comédies dramatiques tournées dans ces banlieues de l’Angleterre post-thatchérienne si souvent filmées par Stephen Frears ou Ken Loach où le ciel, bas et lourd, pèse comme un couvercle.
    Déjà vus les gadgets visuels à la "Trainspotting" censés donner un coup de fouet à un scénario un peu mollasson.
    Déjà vus des gamins débrouillards capables, sans leurs parents, de s’assumer seuls, voire, renversant l’ordre naturel, assumant eux-mêmes la direction de foyers aux parents dysfonctionnels
    Déjà vus enfin, comme dans le récent "Aftersun", qui avait enthousiasmé la critique, ces duos père-fille voués évidemment à se réconcilier en dépit des obstacles.

    Malgré tous ces défauts, malgré son scénario cousu de fil blanc, "Scrapper" – la bagarreuse en anglais – n’en reste pas moins un feel good movie attachant doublé d’une réflexion touchante sur le deuil.
    Pierre L.
    Pierre L.

    32 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2024
    DÉCEPTION.scénario léger voire creux.histoire simplette remplie d’invraisemblances.On n y croit pas franchement . Ça dans la lignée de Ken Loach??Non on est à des kilomètres.Aucune profondeur dans l histoire.Déçu.J ai failli partir en plein film.faible qualité.
    Roro le cinéphile
    Roro le cinéphile

    13 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2024
    Bon et beau film indé britannique. Belle réalisation et très bon jeu d'acteur. Hâte de voir la carrière de Lola Campbell dans les salles obscures.
    Eric Tesch
    Eric Tesch

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    Le cinéma anglais aime les enfants. Après l'excellent " Aftersur " où un papa voit sa jeune pouce s'émanciper à Ibiza, "Scrapper" nous offre un même duo mais à l'humeur très différente, moins grave. Si les premiers plans séquences inquiètent tant les mots de Georgie semblent écrits par des adultes, l'arrivée de Jason, joliment porté par Harris Dickinson ("Sans filtre", palme d'or), met le récit sur de bons rails. Sans misérabilisme ni douleur, la rivalité se transforme peu à peu en complicité, laissant la part belle à l'humour. Charlotte Regane garde à distance l'émotion facile mais offre quelques beaux moments : le message téléphonique de sa maman à Jason, le vrai faux dialogue sur le quai d'une gare, ... Le film offre mêmes quelques scènes surréalistes (genre « La science des Rêves ») en affichant un trio d'ados sapés comme des princes, mobylette verte en main, ou une variété d'araignées très bavardes. Petits bricolages qui n'ont d'autres buts que d'aérer l'histoire et de la transformer en conte bienveillant. L’imaginaire n’est jamais loin chez une enfant. On comprend donc assez vite que la fin ne pourra être que happy. A voir
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    Voilà un film où on est très vite fixé : 2 minutes ne sont pas écoulées qu'on sait déjà qu'on va avoir droit à un réalisation et un montage qui vont faire dans l'épate avec une petite comédienne de 12 ans qui ne va avoir aucun scrupule à cabotiner. A priori, le sujet était intéressant : Georgie la querelleuse (the scrapper) a perdu sa mère quelques mois auparavant, une mère qui l'avait élevée seule. Et voilà que débarque Jason, son père, un homme pas franchement plus "adulte" que Georgie et le film va raconter le rapprochement qui s'opère petit à petit entre Georgie et ce père. Le sujet est intéressant mais ce qu'en fait Charlotte Regan (dont c'est le premier long métrage de cinéma) est catastrophique, son seul mérite étant d'être court (1 h 24 mn). J'aurais dû me méfier : beaucoup de critiques ont comparé ce film à "Aftersun", un film sorti il y a un an et que j'avais cordialement détesté, et Charlotte Regan a fait appel pour la photo à Molly Manning Walker, la réalisatrice de "How to have sex" qui est loin de m'avoir laissé un souvenir impérissable. On notera que le rôle de Jason est interprété par Harris Dickinson, qu'on a vu récemment dans "Sans filtre" et dans "Là où chantent les écrevisses".
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    "Scrapper" qui a obtenu 14 nominations aux British Independent Film Awards 2023 est un drame social anglais qui finit par émouvoir. En effet même si le scénario est un peu léger et que l'histoire a du mal à décoller, j'ai fini par être ému par l'histoire de Georgie, 12 ans, qui vient de perdre sa mère et qui revoit son père apparaitre dans sa vie, le tandem formé par la jeune Lola Campbell et Harris Dickinson fonctionne bien à l'écran dans une histoire émouvante et amère.
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2024
    Scenario surréaliste parfois un peu difficile à comprendre, histoire triste d'une petite fille très combative
    Anne-Laure P.
    Anne-Laure P.

    31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Frais et dynamique. Une jolie histoire portée par d'excellents acteurs. La caricature des services sociaux bernes par une fillette débrouillarde et maligne est drôle. Des moments poétiques. C'est enjoué et touchant.
    Timothé G.
    Timothé G.

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Un joli conte qui apporte de la lumière sur la classe ouvrière anglaise avec humour, sensibilité et une touche poétique.
    PL06
    PL06

    10 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Voilà un film qui ne manque pas d’originalité avec un scénario un brin surréaliste, une caméra inventive, une tonalité fantaisiste, une musique rythmique assez inattendue. En dressant ce tableau décalé d’une banlieue ouvrière colorée, la réalisatrice veut exprimer une certaine joie de vivre de la classe ouvrière.
    La jeune actrice principale est absolument bluffante dans son rôle de Géorgie, adulte avant l’heure face à son benêt de père qui va s’ouvrir à la paternité qu’il n’a pu assumer du fait de sa jeunesse à la naissance de Goergie.
    Le propos n’est pas inintéressant, mais manque tout de même de profondeur. Le scénario est au bout du compte minimaliste, la mise en scène pas toujours limpide. Un film sans ampleur qui laisse un peu sur sa faim.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2024
    "Acclamé au festival Sundance 2023, Scrapper nous arrive avec des pensées positives. Malgré le chagrin étouffé d’une jeune orpheline, on se laisse surprendre par ce paysage de la classe ouvrière londonienne. Les individus qui peuplent cet univers étroit et labyrinthique ne peuvent qu’entrer en collision. Charlotte Regan capte ainsi, sur le vif, la trajectoire de deux êtres qui ont tout à découvrir l’un de l’autre, quitte à renoncer à leur rébellion intérieure. Une comédie fantaisiste et bienveillante !"

    "La jeune Georgie entretient rigoureusement son petit lotissement à Chigwell, bien trop silencieux pour que ce soit normal. Elle met un point d’honneur à préserver ce « monde d’avant », au risque de perdre ses souvenirs les plus forts. Seule pour répondre à ses besoins, Georgie ne pourra pas leurrer les services sociaux très longtemps. [...] Le film préfère le virage d’une rédemption moins directe, en conjuguant la problématique de la paternité au deuil que subit la jeune scrapper (argot anglais pour qualifier la volonté indomptable et bagarreuse de l’héroïne). Le retour de son présumé père Jason devient l’occasion idéale de créer d’autres souvenirs, de bâtir un nouvel avenir commun. Ces deux êtres qui n’ont pas fini de regretter leur perte ont encore tout à célébrer dans leur amitié symbolique. C’est cette ambiance des quartiers de la classe ouvrière que Charlotte Regan cherche à restituer, où tout le monde se connaît et où l’entraide est précieuse."

    "Cette petite fille, qui porte gaiement le maillot de football de West Ham, ne se contente donc pas de cocher toutes les cases du deuil sans remettre en question l’irruption de Jason dans sa vie. À force de chercher quelqu’un avec qui danser, elle s’est trouvé un partenaire idéal pour l’accompagner dans une ascension optimiste et sans limites. Scrapper célèbre cette tendance et peut compter sur son duo de comédiens pour pétrir son récit de sagesse et de tendresse."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    Direct-actu.fr
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    234 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2024
    "Scrapper", film de Charlotte Regan, explore l'acceptation et la paternité. Lola Campbell, novice au cinéma, incarne Géorgie après une audacieuse vidéo de casting. Harris Dickinson joue Jason, un jeune père. Inspirée par le cinéma de la classe ouvrière, Regan cherche à transmettre la joie de vivre malgré le deuil. Le choix d'une banlieue londonienne reflète l'intimité de Géorgie. La dimension cartoonesque souligne sa maturité dans un contexte ouvrier. La directrice de la photographie Molly Manning Walker, récompensée à Cannes, apporte une expertise visuelle. Le film séduit les festivals, dont Sundance, témoignant de son exploration visuelle et émotionnelle des défis de la vie.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    141 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Georgie est une petite fille très débrouillarde qui a appris à vivre seul depuis le décès de sa mère. Elle passe ses journées avec Ali à voler et revendre des vélos. Un jour, son père biologique débarque et elle le rejette, ne souhaitant pas que sa vie soit dirigée par un adulte et encore moins par un qu'elle ne connaît pas. Il va essayer d'apprivoiser sa fille en faisant preuve de patience. En salle le 10 janvier.

    spoiler: Scrapper est une histoire touchante. La relation de la petite fille à sa mère est très jolie à regarder : elle a beau avoir l'esprit d'une adulte, elle n'en reste pas moins une enfant, qui tente de construire un pont vers le ciel pour retrouver sa mère. Les scènes sont tournées avec goût, couleur et une bonne dose d'humour, on sent que la réalisatrice aime ses personnages et se moque d'une administration déjouée par une enfant de 12 ans. L'image de cette banlieue anglaise est loin d'être misérabiliste, contrairement à une majorité de films tournés dans les mêmes environnements. Une belle découverte!
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2023
    Suite à de tragiques circonstances, Georgie, 12 ans, vit seule dans un appartement et elle fait tout pour que cela reste ainsi. Elle n'est pas du genre à se plaindre ou à demander de l'aide. Alors que les services sociaux et les voisins pensent qu'elle vit avec son oncle, Georgie fait preuve d'une grande débrouillardise pour vivre ou plutôt survivre. Cependant, l'arrivée de son père qu'elle n'a jamais connu vient perturber le quotidien qu'elle s'est créé. Entre le portrait d'une petite fille forcée de grandir trop vite et cette relation père-fille à construire, "Scrapper" est un drame britannique doux, subtil et attendrissant qui évoque également le deuil d'un enfant. Une petite tranche de vie aussi simple que charmante qui doit beaucoup à l'authentique interprétation de la petite Lola Campbell. Je n'ai pas trouvé ça bouleversant ou d'une grande originalité, mais c'est pas mal et surtout plaisant à suivre.
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