Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un premier film sur l’enfance au charme simple, agrémenté de réalisme magique.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
"Scrapper" est la nouvelle perle du cinéma indépendant britannique. Digne héritière de Stephen Frears et Stephen Daldry, Charlotte Regan montre toute l’étendue de son talent dans ce premier film qui évite tout misérabilisme pour être tout simplement juste, drôle et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une chronique charmante marquée par l’interprétation impeccable de la jeune Lola Campbell.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tendrement à hauteur d’enfant, comme dans La Fille de son père d’Erwan Le Duc, Scrapper glisse vers le conte, au moyen de petites pastilles surréalistes échappées de l’imagination de la gamine, jouant à saute-mouton avec le réel et le fantôme présent de sa mère. Ainsi va la vie : il faut bien grandir en rêvant encore.
Le Figaro
par Constance Jamet
Maîtres du cinéma social anglais, Ken Loach et Stephen Frears peuvent être rassurés. La relève est là. Et féminine. Découvert au Festival du film britannique de Dinard, Scrapper est la fable idéale pour commencer l’année en douceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Charlotte Regan ressuscite la figure classique de l'orpheline débrouillarde, dans un premier long-métrage britannique aussi malin que diablement attachant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par La Rédaction
Un feel good movie attachant.
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Un premier film ambitieux et poétique doublé d’un savoureux commentaire social.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par X. L.
La mise en scène de la cinéaste, pleine de vivacité et de virgules savoureuses, marque parfois trop son territoire. Mais elle a au moins le mérite de ne pas se contenter de mettre sagement en images un scénario malicieux et deux acteurs formidables.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par V. Cau.
Georgie trouve en Lola Campbell une interprète aussi touchante qu’irrésistible, dont émane quelque chose de merveilleux qui fait tout le charme du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce premier film plaisant, joliment mis en scène et aux interprètes remarquables, a tout de même un petit air de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un conte mignon sans prétention.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Scrapper reprend finalement le flambeau du Aftersun de Charlotte Wells en ouvrant cette fois-ci une fenêtre sur l’avenir pour ses personnages, tout en nous laissant penser que le cinéma britannique n’a pas été aussi puissant et riche depuis un certain nombre d’années.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Un premier long-métrage bourré de charme.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par C.F.
Porté par une jeune actrice touchante, le film aborde le deuil sous une forme classique mais efficace, notamment grâce à un scénario sans fioritures et une mise en scène accrocheuse.
Télérama
par Frédéric Strauss
Il y a aussi, dans Scrapper, des scènes de comédie très réussies, un regard vif sur les classes populaires et même une fable qui parle du deuil tel qu’une enfant peut l’affronter, en construisant un monde imaginaire. Cela fait beaucoup de pistes pour un seul film, mais elles sont toutes séduisantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le cinéma anglais possède une longue tradition de réalisme social mais Scapper, sur des thèmes classiques, déjoue les attentes avec une facture plus lumineuse.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Malgré son décor et son sujet qui l’emmènent au cœur du quotidien de la classe ouvrière britannique, le film utilise tous les subterfuges esthétiques pour délaisser son ancrage social. Tout en gadgets visuels fantaisistes, ces apartés sont mis en œuvre de façon trop aléatoire pour ne pas heurter le réalisme intime saisi d’ailleurs par instants avec succès par la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un premier film sur l’enfance au charme simple, agrémenté de réalisme magique.
Ecran Large
"Scrapper" est la nouvelle perle du cinéma indépendant britannique. Digne héritière de Stephen Frears et Stephen Daldry, Charlotte Regan montre toute l’étendue de son talent dans ce premier film qui évite tout misérabilisme pour être tout simplement juste, drôle et émouvant.
L'Humanité
Une chronique charmante marquée par l’interprétation impeccable de la jeune Lola Campbell.
Le Dauphiné Libéré
Tendrement à hauteur d’enfant, comme dans La Fille de son père d’Erwan Le Duc, Scrapper glisse vers le conte, au moyen de petites pastilles surréalistes échappées de l’imagination de la gamine, jouant à saute-mouton avec le réel et le fantôme présent de sa mère. Ainsi va la vie : il faut bien grandir en rêvant encore.
Le Figaro
Maîtres du cinéma social anglais, Ken Loach et Stephen Frears peuvent être rassurés. La relève est là. Et féminine. Découvert au Festival du film britannique de Dinard, Scrapper est la fable idéale pour commencer l’année en douceur.
Les Echos
Charlotte Regan ressuscite la figure classique de l'orpheline débrouillarde, dans un premier long-métrage britannique aussi malin que diablement attachant.
Ouest France
Un feel good movie attachant.
Culturopoing.com
Un premier film ambitieux et poétique doublé d’un savoureux commentaire social.
L'Obs
La mise en scène de la cinéaste, pleine de vivacité et de virgules savoureuses, marque parfois trop son territoire. Mais elle a au moins le mérite de ne pas se contenter de mettre sagement en images un scénario malicieux et deux acteurs formidables.
Le Monde
Georgie trouve en Lola Campbell une interprète aussi touchante qu’irrésistible, dont émane quelque chose de merveilleux qui fait tout le charme du film.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film plaisant, joliment mis en scène et aux interprètes remarquables, a tout de même un petit air de déjà-vu.
Libération
Un conte mignon sans prétention.
Première
Scrapper reprend finalement le flambeau du Aftersun de Charlotte Wells en ouvrant cette fois-ci une fenêtre sur l’avenir pour ses personnages, tout en nous laissant penser que le cinéma britannique n’a pas été aussi puissant et riche depuis un certain nombre d’années.
Rolling Stone
Un premier long-métrage bourré de charme.
Télé Loisirs
Porté par une jeune actrice touchante, le film aborde le deuil sous une forme classique mais efficace, notamment grâce à un scénario sans fioritures et une mise en scène accrocheuse.
Télérama
Il y a aussi, dans Scrapper, des scènes de comédie très réussies, un regard vif sur les classes populaires et même une fable qui parle du deuil tel qu’une enfant peut l’affronter, en construisant un monde imaginaire. Cela fait beaucoup de pistes pour un seul film, mais elles sont toutes séduisantes.
Voici
Le cinéma anglais possède une longue tradition de réalisme social mais Scapper, sur des thèmes classiques, déjoue les attentes avec une facture plus lumineuse.
Les Inrockuptibles
Malgré son décor et son sujet qui l’emmènent au cœur du quotidien de la classe ouvrière britannique, le film utilise tous les subterfuges esthétiques pour délaisser son ancrage social. Tout en gadgets visuels fantaisistes, ces apartés sont mis en œuvre de façon trop aléatoire pour ne pas heurter le réalisme intime saisi d’ailleurs par instants avec succès par la cinéaste.