Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Transfuge
par Mathieu Guetta
[...] nous avons une grande nouvelle à vous annoncer : le cinéma indépendant américain existe encore ! Toujours aussi formellement radical et esthétiquement beau, toujours aussi apte à sculpter l’âme de ses acteurs et actrices et d’en dégager l’intimité la plus universelle.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Dans le film de la réalisatrice américaine Rachel Lambert, la mise en scène de la dépression sert de prétexte à un regard attentif et poétique sur le monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film délicat sur l’ouverture à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Curieux film, tiré d’un roman, qui n’a rien d’un chef-d’œuvre, mais qui met en scène un personnage fermé, profondément dépressif, qui va peut-être s’ouvrir à l’existence. Daisy Ridley, qui ne joue quasiment pas, est extraordinaire de présence, la musique sublime. Les sentiments exprimés sont fragiles, ténus, filmés avec délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Rien de révolutionnaire ici, mais Rachel Lambert trouve un espace non infantilisant, dans un genre qui l’est souvent, pour filmer cette étude de caractère, la peur d’être vivants comme un refus de l’obstacle. On y trouvera une manière apaisante de comédie sur un mode mineur avec laquelle conforter ces angoisses, y trouver un certain ravissement ou simplement se reposer un peu du bruit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Peu de comédiens arrivent à se réinventer hors de la franchise qui les a révélés. Daisy Ridley, échappée de Star Wars, y réussit.
Télé 2 semaines
par M.L.
Ce film séduira les cœurs tendres avec sa mise en scène assurée et des prestations très justes - surtout celle de Daisy Ridley, tout en retenue.
Télérama
par Caroline Besse
Servi par une mise en scène soignée, faite de lumière douce et de surprises à la frontière du fantastique, ce film est un bouleversant hommage à ceux qui ne trouvent pas leur place, et surtout, de façon rarissime au cinéma, aux puissantes non-histoires d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une jolie découverte.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cette petite bulle de délicatesse et de tendresse cache une sévère critique de nos sociétés modernes pétries d’individualisme, de faux-semblants et de solitude. Une totale réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
C’est alors un plan un peu trop long, une réplique un peu trop tardive, une attente un peu inconfortable qui vont traduire ce mal-être incontrôlable de Fran, irrigant par capillarité chaque personnage secondaire : une tristesse que chacun combat non avec sa pulsion de mort, mais en se contentant d’exister.
La Septième Obsession
par Hugo Dervisoglou
Encourageant pour la suite de la carrière de la réalisatrice, comme de son actrice principale.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’argument aurait pu être plus étoffé, mais nous avons été envoûté par le portrait de cette jeune femme insaisissable et solitaire qui se confronte aux règles de sociabilité et aux affres du sentiment.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Constance Jamet
Malgré son héroïne qui flotte, le film n’est pas déprimant. Au contraire. Invitant à l’introspection, il joue une petite musique de chambre singulière qui résonne dans notre monde de l’après-confinement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
artant d’une idée originale, et développé dans une mise en scène qui fait la part belle à une ambiance étrange et met en avant des personnages assez touchants, le film laisse toutefois dubitatif en fin de parcours tant il tourne en rond. Reste la très jolie prestation de Daisy Ridley (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Frédéric Foubert
Le film joue brillamment la carte du trois fois rien, de la petite touche, des sensations en sourdine, comme une étoffe très fine, qui manque de se déchirer à tout moment, mais tissée de façon si singulière et subtile qu’on se perd très facilement dans sa contemplation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Kevin Pereira
Le film est à l’image des projections mentales originelles de la jeune femme : sans vitalité, et surtout à court d’idées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Trop terne et programmatique pour tenir sur la durée, La Vie rêvée de Miss Fran est sauvé in extremis par une Daisy Ridley fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette fable sur l’éveil du désir, la frustration sociale et amoureuse caractéristique d’un cinéma d’auteur américain claquemuré dans son approche théorique, la réalisatrice la poétise lourdement, laissant peu de chance à son héroïne de s’émanciper du maniérisme formel qui la caricature.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Intrigante exploration de la solitude et de l’incommunicabilité, ce film indépendant américain finit par plonger le spectateur dans un ennui aussi solide que celui de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Jo.
Si les embardées lyriques, un peu téléphonées, ajoutent une dimension onirique indispensable au film, on est toutefois saisi par un récit qui s’en tient jusqu’au bout à une sorte de poésie feutrée, et assez finement maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Monolithique, Daisy Ridley se fond dans un paysage monotone et triste et l'enjeu dramatique limité suscite l'ennui.
Transfuge
[...] nous avons une grande nouvelle à vous annoncer : le cinéma indépendant américain existe encore ! Toujours aussi formellement radical et esthétiquement beau, toujours aussi apte à sculpter l’âme de ses acteurs et actrices et d’en dégager l’intimité la plus universelle.
L'Humanité
Dans le film de la réalisatrice américaine Rachel Lambert, la mise en scène de la dépression sert de prétexte à un regard attentif et poétique sur le monde.
Les Fiches du Cinéma
Un film délicat sur l’ouverture à l’autre.
Les Inrockuptibles
Curieux film, tiré d’un roman, qui n’a rien d’un chef-d’œuvre, mais qui met en scène un personnage fermé, profondément dépressif, qui va peut-être s’ouvrir à l’existence. Daisy Ridley, qui ne joue quasiment pas, est extraordinaire de présence, la musique sublime. Les sentiments exprimés sont fragiles, ténus, filmés avec délicatesse.
Libération
Rien de révolutionnaire ici, mais Rachel Lambert trouve un espace non infantilisant, dans un genre qui l’est souvent, pour filmer cette étude de caractère, la peur d’être vivants comme un refus de l’obstacle. On y trouvera une manière apaisante de comédie sur un mode mineur avec laquelle conforter ces angoisses, y trouver un certain ravissement ou simplement se reposer un peu du bruit.
Ouest France
Peu de comédiens arrivent à se réinventer hors de la franchise qui les a révélés. Daisy Ridley, échappée de Star Wars, y réussit.
Télé 2 semaines
Ce film séduira les cœurs tendres avec sa mise en scène assurée et des prestations très justes - surtout celle de Daisy Ridley, tout en retenue.
Télérama
Servi par une mise en scène soignée, faite de lumière douce et de surprises à la frontière du fantastique, ce film est un bouleversant hommage à ceux qui ne trouvent pas leur place, et surtout, de façon rarissime au cinéma, aux puissantes non-histoires d’amour.
Voici
Une jolie découverte.
aVoir-aLire.com
Cette petite bulle de délicatesse et de tendresse cache une sévère critique de nos sociétés modernes pétries d’individualisme, de faux-semblants et de solitude. Une totale réussite.
Cahiers du Cinéma
C’est alors un plan un peu trop long, une réplique un peu trop tardive, une attente un peu inconfortable qui vont traduire ce mal-être incontrôlable de Fran, irrigant par capillarité chaque personnage secondaire : une tristesse que chacun combat non avec sa pulsion de mort, mais en se contentant d’exister.
La Septième Obsession
Encourageant pour la suite de la carrière de la réalisatrice, comme de son actrice principale.
La Voix du Nord
L’argument aurait pu être plus étoffé, mais nous avons été envoûté par le portrait de cette jeune femme insaisissable et solitaire qui se confronte aux règles de sociabilité et aux affres du sentiment.
Le Figaro
Malgré son héroïne qui flotte, le film n’est pas déprimant. Au contraire. Invitant à l’introspection, il joue une petite musique de chambre singulière qui résonne dans notre monde de l’après-confinement.
Le Parisien
artant d’une idée originale, et développé dans une mise en scène qui fait la part belle à une ambiance étrange et met en avant des personnages assez touchants, le film laisse toutefois dubitatif en fin de parcours tant il tourne en rond. Reste la très jolie prestation de Daisy Ridley (...).
Première
Le film joue brillamment la carte du trois fois rien, de la petite touche, des sensations en sourdine, comme une étoffe très fine, qui manque de se déchirer à tout moment, mais tissée de façon si singulière et subtile qu’on se perd très facilement dans sa contemplation.
Critikat.com
Le film est à l’image des projections mentales originelles de la jeune femme : sans vitalité, et surtout à court d’idées.
Ecran Large
Trop terne et programmatique pour tenir sur la durée, La Vie rêvée de Miss Fran est sauvé in extremis par une Daisy Ridley fascinante.
L'Obs
Cette fable sur l’éveil du désir, la frustration sociale et amoureuse caractéristique d’un cinéma d’auteur américain claquemuré dans son approche théorique, la réalisatrice la poétise lourdement, laissant peu de chance à son héroïne de s’émanciper du maniérisme formel qui la caricature.
La Croix
Intrigante exploration de la solitude et de l’incommunicabilité, ce film indépendant américain finit par plonger le spectateur dans un ennui aussi solide que celui de son héroïne.
Le Monde
Si les embardées lyriques, un peu téléphonées, ajoutent une dimension onirique indispensable au film, on est toutefois saisi par un récit qui s’en tient jusqu’au bout à une sorte de poésie feutrée, et assez finement maîtrisée.
Le Journal du Dimanche
Monolithique, Daisy Ridley se fond dans un paysage monotone et triste et l'enjeu dramatique limité suscite l'ennui.