Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
La Septième Obsession
par Pauline Mallet
Ni complaisant, ni fataliste, "24 heures à New York" est un portrait réaliste et minutieux. La découverte de l'été.
Le Parisien
par La rédaction
En adoptant la forme d’un thriller social, le film fait découvrir, en douceur, tout ce à quoi peuvent être confrontés les transgenres ou les métisses, mais sans jamais tomber dans la victimisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Fin tant dans son écriture que son interprétation, le film réussit presque tout malgré des problèmes de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur un scénario un peu trop pédagogique (plusieurs scènes exploitent de façon marquée les difficultés de reconnaissance des personnes trans), le film compose une balade mélancolique dressant le portrait touchant d’une liberté fièrement acquise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Un film bouleversant de pudeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Caroline Besse
Le premier long métrage, largement autobiographique, du réalisateur trans américain Vuk Lungulov-Klotz est avant tout une formidable œuvre pédagogique sur la transidentité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
"24 heures à New York" hésite entre le film à imbroglio (les complications s’accumulent pour le personnage) et le drame, le scénario contenant peut-être sa propre limite : comment régler autant de questions en un jour ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La Septième Obsession
Ni complaisant, ni fataliste, "24 heures à New York" est un portrait réaliste et minutieux. La découverte de l'été.
Le Parisien
En adoptant la forme d’un thriller social, le film fait découvrir, en douceur, tout ce à quoi peuvent être confrontés les transgenres ou les métisses, mais sans jamais tomber dans la victimisation.
Les Fiches du Cinéma
Fin tant dans son écriture que son interprétation, le film réussit presque tout malgré des problèmes de rythme.
L'Obs
Sur un scénario un peu trop pédagogique (plusieurs scènes exploitent de façon marquée les difficultés de reconnaissance des personnes trans), le film compose une balade mélancolique dressant le portrait touchant d’une liberté fièrement acquise.
Première
Un film bouleversant de pudeur.
Télérama
Le premier long métrage, largement autobiographique, du réalisateur trans américain Vuk Lungulov-Klotz est avant tout une formidable œuvre pédagogique sur la transidentité.
Le Monde
"24 heures à New York" hésite entre le film à imbroglio (les complications s’accumulent pour le personnage) et le drame, le scénario contenant peut-être sa propre limite : comment régler autant de questions en un jour ?