Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
GQ
par Anna Autin
Très loin du misérabilisme, "Kokomo City" de D. Smith nous invite au cœur de l'intimité quatre femmes noires, trans et travailleuses du sexe pour qui vivre est un défi du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Aurélia de Spirt
Kokomo City, de D. Smith, est un documentaire à vif, une plongée dans l’intimité des travailleuses du sexe (TDS) transgenres noires américaines.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par F. F.
Tout commence par un monologue sur un client avec un flingue et, après une série de scènes reconstituées, se termine par une tragédie : Koko, qu’on voit expliquer que son travail de strip-teaseuse dans un bar trans est gage de sécurité, a été tuée en avril dernier. Poignant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Kokomo City ne cesse de vous conquérir par l’intelligence de son propos et de la construction de celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Soulignant la violence et l’aliénation auxquelles mènent la haine - quelle qu’elle soit - et les rapports de force entre les individus, "Kokomo City" s’impose avec force et humour comme un documentaire formaliste, politique et incisif.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par M. Jo.
Les témoignages sont d’une lucidité et d’une intelligence rares, si bien qu’on finit par regretter les afféteries de la forme qui donne à l’ensemble des allures de clip musical assourdissant. Les noir et blanc charbonneux se révèlent parfaitement dispensables, la musique en trop, le montage aléatoire – autant d’esthétisme qui finit par faire écran à l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour recueillir les paroles de plusieurs femmes transgenres noires américaines et travailleuses du sexe, D. Smith prend le parti de l’extrême sophistication avec un noir et blanc sublime et aqueux qui nimbe leurs visages fiers, comme pour rendre justice à la flamboyance et à la bravoure de ces interprètes rebelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Emma Poesy
La réalisation, très soignée, achève de faire honneur à ses personnages hauts en couleur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
De son passé dans l’industrie musicale, la réalisatrice D. Smith importe certains codes du clip, ainsi qu’une façon de représenter les corps très répandue dans le monde du hip-hop… Elle donne surtout à entendre des paroles vulnérables, rares et nécessaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Ce documentaire, aussi creux que prétentieux, tombe dans les écueils de la rhétorique TV et passe à côté de son sujet. Un cliché peut en remplacer un autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
GQ
Très loin du misérabilisme, "Kokomo City" de D. Smith nous invite au cœur de l'intimité quatre femmes noires, trans et travailleuses du sexe pour qui vivre est un défi du quotidien.
L'Humanité
Kokomo City, de D. Smith, est un documentaire à vif, une plongée dans l’intimité des travailleuses du sexe (TDS) transgenres noires américaines.
L'Obs
Tout commence par un monologue sur un client avec un flingue et, après une série de scènes reconstituées, se termine par une tragédie : Koko, qu’on voit expliquer que son travail de strip-teaseuse dans un bar trans est gage de sécurité, a été tuée en avril dernier. Poignant.
La Septième Obsession
Kokomo City ne cesse de vous conquérir par l’intelligence de son propos et de la construction de celui-ci.
Libération
Musical, photographique, furieux, impérieux, élégant, sexuel.
Culturopoing.com
Soulignant la violence et l’aliénation auxquelles mènent la haine - quelle qu’elle soit - et les rapports de force entre les individus, "Kokomo City" s’impose avec force et humour comme un documentaire formaliste, politique et incisif.
Le Monde
Les témoignages sont d’une lucidité et d’une intelligence rares, si bien qu’on finit par regretter les afféteries de la forme qui donne à l’ensemble des allures de clip musical assourdissant. Les noir et blanc charbonneux se révèlent parfaitement dispensables, la musique en trop, le montage aléatoire – autant d’esthétisme qui finit par faire écran à l’essentiel.
Les Inrockuptibles
Pour recueillir les paroles de plusieurs femmes transgenres noires américaines et travailleuses du sexe, D. Smith prend le parti de l’extrême sophistication avec un noir et blanc sublime et aqueux qui nimbe leurs visages fiers, comme pour rendre justice à la flamboyance et à la bravoure de ces interprètes rebelles.
Première
La réalisation, très soignée, achève de faire honneur à ses personnages hauts en couleur.
Télérama
De son passé dans l’industrie musicale, la réalisatrice D. Smith importe certains codes du clip, ainsi qu’une façon de représenter les corps très répandue dans le monde du hip-hop… Elle donne surtout à entendre des paroles vulnérables, rares et nécessaires.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire, aussi creux que prétentieux, tombe dans les écueils de la rhétorique TV et passe à côté de son sujet. Un cliché peut en remplacer un autre.