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Cette réflexion sur la vie et le besoin de trouver sa place dans la société dégage un charme aussi persuasif que celui de son héroïne. On est content d’être passé par le quartier de Fremont.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
"Fremont" dresse le portrait touchant, subtil et réjouissant d’une jeune femme mutique et douce, qui sans être atteint d’un stress post-traumatique, ne parvient pas à trouver le sommeil [...] dans une atmosphère poétique un peu idyllique, hors de tout réalisme malgré un contexte pesant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Bien que routinière, la vie de Donya croise une galerie de personnages plus ou moins loufoques, sujets aux névroses, un vague à l’âme dont il est préférable de rire plutôt que de pleurer. Toute la politesse de Babak Jalali.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
“Fremont” parvient peu à peu, jusqu’à son dernier tiers renversant de beauté, à trouver un équilibre à la croisée des chemins entre Aki Kaurismäki et les premiers Jim Jarmusch. La mélancolie infusée y est jumelée d’une volonté positive : être paumée n’est pas si grave, ou en tout cas pas une fatalité.
Babak Jalali [...] réussi[t] un film de son époque en noir et blanc, charmant et laconique, en ménageant des variations de tons sur une gamme minimaliste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Avec cette délicieuse mélancomédie, le cinéaste anglais d'origine iranienne Babak Jalali prouve qu'il est possible de faire du cinéma politique sans pesanteur idéologique, du cinéma moral sans moralisme, du cinéma émouvant sans pathos, du cinéma humoristique sans rire gras.
Si l’intrigue frôle le pittoresque, le film convainc par sa peinture d’une communauté multiculturelle où se côtoient des Américains et des immigrés afghans et chinois.
Tourné en noir et blanc (et en plans fixes) dans la communauté afghane de Frisco, ce film est une jolie sottie où l’humour, le déracinement, la douceur se mêlent avec un regard bienveillant sur une femme (non professionnelle) qui conserve, malgré tout, une certaine dignité. Dans un monde absurde, ce réalisateur saisit l’essentiel : l’humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Hors de question de faire un drame social. Babak Jalali restitue avec éclat la nature cosmopolite de Fremont, où cohabitent communautés latino, indienne et asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Prix du jury au dernier festival de Deauville, « Fremont », long-métrage qui coche toutes les cases d’un certain classicisme du cinéma indépendant américain – ce même s’il est tourné par un cinéaste iranien dans un noir et blanc un peu superficiel-, oscille entre gravité et humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
En dépit d’une mise en scène à distance qui compromet l’émotion et d’une actrice un peu monolithique, on se laisse porter par la lenteur et la douceur de ce récit singulier.
20 Minutes
Cette réflexion sur la vie et le besoin de trouver sa place dans la société dégage un charme aussi persuasif que celui de son héroïne. On est content d’être passé par le quartier de Fremont.
Culturopoing.com
"Fremont" dresse le portrait touchant, subtil et réjouissant d’une jeune femme mutique et douce, qui sans être atteint d’un stress post-traumatique, ne parvient pas à trouver le sommeil [...] dans une atmosphère poétique un peu idyllique, hors de tout réalisme malgré un contexte pesant.
Le Monde
Bien que routinière, la vie de Donya croise une galerie de personnages plus ou moins loufoques, sujets aux névroses, un vague à l’âme dont il est préférable de rire plutôt que de pleurer. Toute la politesse de Babak Jalali.
Les Fiches du Cinéma
Primé à Deauville, "Fremont" puise sa force dans la maîtrise de sa mise en scène, qui parvient à sublimer l’intime. Une réussite.
Les Inrockuptibles
“Fremont” parvient peu à peu, jusqu’à son dernier tiers renversant de beauté, à trouver un équilibre à la croisée des chemins entre Aki Kaurismäki et les premiers Jim Jarmusch. La mélancolie infusée y est jumelée d’une volonté positive : être paumée n’est pas si grave, ou en tout cas pas une fatalité.
Libération
Babak Jalali [...] réussi[t] un film de son époque en noir et blanc, charmant et laconique, en ménageant des variations de tons sur une gamme minimaliste.
Marie Claire
Trésor du cinéma indé américain, le film le plus original et kaurismakien à voir en cette fin d'année.
Transfuge
Avec cette délicieuse mélancomédie, le cinéaste anglais d'origine iranienne Babak Jalali prouve qu'il est possible de faire du cinéma politique sans pesanteur idéologique, du cinéma moral sans moralisme, du cinéma émouvant sans pathos, du cinéma humoristique sans rire gras.
Télérama
Poignant, Fremont est un film sans étreintes mais toujours en quête d’amour, ou en tout cas, de sens et d’attachement.
Cahiers du Cinéma
Si l’intrigue frôle le pittoresque, le film convainc par sa peinture d’une communauté multiculturelle où se côtoient des Américains et des immigrés afghans et chinois.
CinemaTeaser
« Fremont » gagne toujours à se passer de digression et à aborder plus frontalement son sujet.
L'Obs
Tourné en noir et blanc (et en plans fixes) dans la communauté afghane de Frisco, ce film est une jolie sottie où l’humour, le déracinement, la douceur se mêlent avec un regard bienveillant sur une femme (non professionnelle) qui conserve, malgré tout, une certaine dignité. Dans un monde absurde, ce réalisateur saisit l’essentiel : l’humain.
Le Figaro
Hors de question de faire un drame social. Babak Jalali restitue avec éclat la nature cosmopolite de Fremont, où cohabitent communautés latino, indienne et asiatique.
Le Parisien
Prix du jury au dernier festival de Deauville, « Fremont », long-métrage qui coche toutes les cases d’un certain classicisme du cinéma indépendant américain – ce même s’il est tourné par un cinéaste iranien dans un noir et blanc un peu superficiel-, oscille entre gravité et humour.
Première
La mise en scène, avec une élégance rare, réussit à insuffler un charme.
aVoir-aLire.com
Un film qui propose une vision originale du destin d’une réfugiée grâce à un humour subtil et décalé.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’une mise en scène à distance qui compromet l’émotion et d’une actrice un peu monolithique, on se laisse porter par la lenteur et la douceur de ce récit singulier.