Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par La rédaction
Le film sidère par la manière dont il déroule un récit d’anticipation envoûtant dans un cadre inhabituel et d’une grande beauté, les montagnes de l’Atlas marocain.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Sofia Alaoui réussit le pari de peindre une présence fantastique aussi subtile que troublante, donnant lieu à des réflexions sur les inégalités sociales et l’inversement des valeurs, situant "Animalia" à mi-chemin entre le film d’anticipation et le conte philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Pablo Patarin
Un premier long métrage poétique et ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Étrange fable qui mêle la science-fiction, la poésie et le panthéisme, ce premier film de Sofia Alaoui est enchanteur, à condition de se laisser aller aux flux des images, magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Atmosphère envoûtante, finesse de touche, insolence du propos, voilà déjà beaucoup. Il n’y manquait qu’Oumaïma Barid, l’actrice non professionnelle qui incarne Itto, pour nous transporter.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ni tout à fait film de genre, ni drame sociétal, "Animalia" est un récit en apparence limpide qui, à l’image de son personnage, se nourrit constamment pour interroger notre rapport au monde, aux autres, au surnaturel... Et révèle la jeune Oumaïma Barid, de toutes les scènes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Vincent Malausa
Plus qu'une série B exotique, "Animalia" est un vrai film d'auteur et un vrai film de genre, d'une beauté entêtante et cosmique.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En apparence, il y a le récit fantastique qui ne donne d’ailleurs pas toutes les clés de compréhension. Surtout Animalia c’est la critique d’un pays, le Maroc, qui étouffe sous les inégalités sociales et financières, rattrapé par le conformisme moral et religieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice franco-marocaine Sofia Alaoui signe un splendide conte métaphysique et sensoriel pour dénoncer les certitudes d’un monde régi par l’argent et l’individualisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Emma Poesy
Si les images de cette odyssée surréaliste sont somptueuses, la réalisatrice s’égare dans un scénario qui ne dit rien, ou si peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Si le film est parfois pataud dans ses intentions martelées (la grossesse comme legs pour un nouveau monde, critique de la société arabe capitaliste moderne…), il trouve sa grâce et sa fragilité avec une question qui l’obsède : comment met-on en scène l’éclosion du surnaturel ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
["Animalia" a] l’estimable mérite de produire un récit vraiment étrange, dont on ne sait jamais, à aucun moment, où il va.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un premier film parfois confus mais bourré de visions originales.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario reste un peu trop à l’état d’ébauche, Sofia Alaoui fait preuve d’un réel talent pour construire une atmosphère fantastique, entre Denis Villeneuve (« Premier contact ») et Oliver Laxe (« Mimosas »).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Tout en proposant un regard sur la société marocaine et son rapport à la religion par le prisme du mysticisme, son "Animalia" se situe aux antipodes d’un film à sujet : un film de sensations à l’intérieur duquel on prend un immense plaisir à s’abandonner devant la beauté somptueuse des images et des cadres de Noé Bach.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
De la science-fiction ambitieuse et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Le film sidère par la manière dont il déroule un récit d’anticipation envoûtant dans un cadre inhabituel et d’une grande beauté, les montagnes de l’Atlas marocain.
Culturopoing.com
Sofia Alaoui réussit le pari de peindre une présence fantastique aussi subtile que troublante, donnant lieu à des réflexions sur les inégalités sociales et l’inversement des valeurs, situant "Animalia" à mi-chemin entre le film d’anticipation et le conte philosophique.
L'Humanité
Un premier long métrage poétique et ambitieux.
L'Obs
Étrange fable qui mêle la science-fiction, la poésie et le panthéisme, ce premier film de Sofia Alaoui est enchanteur, à condition de se laisser aller aux flux des images, magnifiques.
Le Monde
Atmosphère envoûtante, finesse de touche, insolence du propos, voilà déjà beaucoup. Il n’y manquait qu’Oumaïma Barid, l’actrice non professionnelle qui incarne Itto, pour nous transporter.
Les Fiches du Cinéma
Ni tout à fait film de genre, ni drame sociétal, "Animalia" est un récit en apparence limpide qui, à l’image de son personnage, se nourrit constamment pour interroger notre rapport au monde, aux autres, au surnaturel... Et révèle la jeune Oumaïma Barid, de toutes les scènes.
Mad Movies
Plus qu'une série B exotique, "Animalia" est un vrai film d'auteur et un vrai film de genre, d'une beauté entêtante et cosmique.
aVoir-aLire.com
En apparence, il y a le récit fantastique qui ne donne d’ailleurs pas toutes les clés de compréhension. Surtout Animalia c’est la critique d’un pays, le Maroc, qui étouffe sous les inégalités sociales et financières, rattrapé par le conformisme moral et religieux.
La Croix
La réalisatrice franco-marocaine Sofia Alaoui signe un splendide conte métaphysique et sensoriel pour dénoncer les certitudes d’un monde régi par l’argent et l’individualisme.
Le Figaro
Si les images de cette odyssée surréaliste sont somptueuses, la réalisatrice s’égare dans un scénario qui ne dit rien, ou si peu.
Les Inrockuptibles
Si le film est parfois pataud dans ses intentions martelées (la grossesse comme legs pour un nouveau monde, critique de la société arabe capitaliste moderne…), il trouve sa grâce et sa fragilité avec une question qui l’obsède : comment met-on en scène l’éclosion du surnaturel ?
Libération
["Animalia" a] l’estimable mérite de produire un récit vraiment étrange, dont on ne sait jamais, à aucun moment, où il va.
Marie Claire
Un premier film parfois confus mais bourré de visions originales.
Paris Match
Si le scénario reste un peu trop à l’état d’ébauche, Sofia Alaoui fait preuve d’un réel talent pour construire une atmosphère fantastique, entre Denis Villeneuve (« Premier contact ») et Oliver Laxe (« Mimosas »).
Première
Tout en proposant un regard sur la société marocaine et son rapport à la religion par le prisme du mysticisme, son "Animalia" se situe aux antipodes d’un film à sujet : un film de sensations à l’intérieur duquel on prend un immense plaisir à s’abandonner devant la beauté somptueuse des images et des cadres de Noé Bach.
Télérama
De la science-fiction ambitieuse et poétique.