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Votre avis sur Les Hommes préfèrent les grosses ?
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Roub E.
Une comédie qui ressemble beaucoup à une thérapie de la part de Josiane Balasko. Avec le personnage de Lydie, mal dans son corps et entourée d une bande de pique assiette et d une colocataire qui obtient ce qu elle veut avec sa belle gueule on sent une volonté d exorciser par le rire une situation qui lui pèse. Et elle s en sort plutôt bien le film typique de la comédie française des années 80 (estampillé Splendide) est amusante et par moment vraiment drôle, comme la partie de Scrabble ou le cameo de Thierry Lhermitte. Le film a un ton très léger qui le rend plaisant à regarder alors certes ce n est pas la comédie du siècle mais une réussite tout de même.
La vie est sans pitié pour lydie jouée par josiane balasko!Plaqué par son fiancé(martin lamotte), elle décide sur les conseils de sa meilleures amie (dominique lavanant) de prendre une colocation avec eva, une superbe mannequin paumée et volage mais surveillé de près par son petit copain trèsjaloux (daniel auteuil)!Alors débute une franche rigolade avec un casting mythique!On rigole du début à la fin avec ce petit boudin de lydie!Vous avez aimé les bronzés ou le père noel est une ordure?alors cette comédie bonne enfant est pour VOUS!
Yetcha
Un casting juste parfait pour un classique des années 80 qui n'a rien perdu de son charme. Lhermitte est surprenant avec ses postiches et c'est un plaisir de revoir un film de cette époque.
De bonnes scènes et de bons acteurs. Je trouve Balasko, Luis Rego et Auteuil très bons dans leurs rôles et amusant. Mais hélas il y a d'autres scènes plutôt moyennes et Eva est vraiment énervante tant elle est niaise et peu convaincante. Bref une comédie sympa avec de bons acteurs, animée de péripéties souvent amusantes voir drôles, mais une comédie qui aussi n'est pas sans défauts.
soniadidierkmurgia
Une petite comédie sympathique et typique des eighties, époque où la "bande du Splendid" était assez hégémonique dans le domaine. On retrouve un ton naïf et tendre dont on peu constater à regret qu'il a un peu disparu aujourd’hui. La mise en scène est certes quelquefois « lourdingue » et manque de fluidité, les gags s’enchaînant de façon un peu mécanique. Dans ce contexte, Poiré tire le meilleur parti de ses acteurs. Il est toujours curieux de voir Daniel Auteuil dans ses rôles de jeune dragueur qui ne laissaient rien présager de l’immense acteur qu’il est devenu par la suite.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Une comédie sans prise de tête au scénario un peu faiblard mais le divertissement reste au rendez vous. Les histoires de cul des années 80 sont toujours aussi amusantes en 2014, enfin presque. 3/5
Le seul topic de la fiche du film s'intitule "Un film rigolo" et c'est le meilleur résumé que l'on peut faire. Cette comédie de Poiré n'est rien de plus mais comparé à certains films c'est déjà pas mal. La critique du culte de la minceur et de la beauté reste assez maladroite et les gags sont un peu gras (bon c'est peut-être pas le mot le plus adéquat mais j'en ai pas d'autre) mais on rigole bien tout au long de ce petit film sans prétention et c'est le plus important. On assiste même à quelques scènes hilarantes, comme la partie de Scrable, et les acteurs sont parfaits dans leur rôle en particulier Thierry Lhermitte en non-violent et Daniel Auteuil en amoureux transi prêt à tout.
"Les Hommes préfèrent les grosses", ou une autre comédie française culte des années 80. Balasko fait du Balasko (elle "reprendra" son rôle de fille un peu ronde et laide dans "Ma Vie est un enfer"), les autres comédiens semblent également s'en donner à cœur joie (mention spéciale à un Thierry Lhermitte absolument hilarant, ainsi qu'à un Luis Rego toujours impeccable). On sent qu'il devait régner une bonne ambiance sur le plateau, à l'instar d'autres films du genre tournés à la même période.
Sinon, le film en lui-même... L'intrigue ne casse pas trois pattes à un canard mais est surtout prétexte à toutes sortes de situations et de répliques savoureuses. Sous couvert de "dénoncer" la discrimination dont sont victimes les femmes rondes, Poiré signe une comédie inoffensive mais non dénuée de qualités (les acteurs, donc, mais également certaines séquences cocasses).
Sinon, le film en lui-même... L'intrigue ne casse pas trois pattes à un canard mais est surtout prétexte à toutes sortes de situations et de répliques savoureuses. Sous couvert de "dénoncer" la discrimination dont sont victimes les femmes rondes, Poiré signe une comédie inoffensive mais non dénuée de qualités (les acteurs, donc, mais également certaines séquences cocasses).
Ça part un peu dans tous les sens et ça donne l'impression d'un joyeux bordel à la trame confuse. Reste quelques bons acteurs (dont Thierry Lhermitte méconnaissable en végétarien barbu) et quelques situations souriantes, mais ça ne vole pas très haut. Le fond (le mal-être de celles qui ne correspondent pas aux canons de beauté) est à peine esquissé, le film privilégiant le comique de situation (la scène du scrabble est géniale). Quant à la fin comme happy bateau (c'est le cas de le dire) ce n'est pas mal. Bref, c'est très moyen tout ça !
this is my movies
Une comédie française typique de la production de l'époque (filles dénudées en pagaille, gags invraisemblables, pas de mise en scène, pas de scénario) mais qui lui vaut de traverser les époques auprès des amateurs du genre. Dénué de qualité cinématographique, il ne reste que quelques gags éparses, une J. Balasko qui tient le film à bout de bras grâce à une performance pleine d'autodérision. Autour, quelques pointures (M. Lamotte, D. Lavanant, excellente, D. Auteuil, L. Rego) mais c'est au service de rien, le message du film serait qu'il vaut mieux choisir une fille normale plutôt qu'une fille inaccessible mais l'histoire d'amour est tellement peu crédible, avec en plus une fin expédiée et abrupte.
Yannickcinéphile
Les Homme préfèrent les grosses est un Poiré assez méconnu je dois dire. Pourtant le casting avec pas mal de figures du Splendid a un certain relief, mais il est vrai qu’on est loin de tenir une comédie mémorable.
Pour ma part, le souci c’est la cohésion du métrage. Doté d’une narration plus que chaotique, peinant à franchement exploiter son concept de base et virant vers un vaudeville assez simpliste, Les Hommes préfèrent les grosses restent un métrage qui manque de vigueur, d’épaisseur, et qui n’exploite que trop rarement son idée originale. Ça aurait pu être une succession de gags décousus, mais on ne rit pas de façon très régulière, pas mal de discussions longuette ou de situations quelconques venant émailler le métrage. Peut-être y-a-t-il trop de personnages, et on ne peut d’ailleurs voir la petite intervention de Lhermitte comme autre chose qu’une séquence mal insérée qui n’apporte pas grand-chose.
Un gros casting qui reste un atout, mais qui n’est pas non plus ce que j’ai vu de mieux. Auteuil par exemple ne parait pas super à l’aise ici, et en tout cas il se fait facilement voler la vedette. Josiane Balasko s’investit dans son rôle et reste le noyau dur du film avec une Dominique Lavanant au rôle mineur mais qui s’impose avec un personnage haut en couleur. Avec l’enthousiasme de Martin Lamotte, ce sont là les trois acteurs les plus notables, et ils font face, outre à un Auteuil moyen, à un Luis Rego trop timoré lui aussi, et à une Ariane Lartéguy finalement pas très bien exploitée. Bien que séduisante et assez caricaturale pour assurer quelques moments de confrontations cocasses avec Balasko, l’actrice n’a pas non plus un talent comique fou.
Visuellement, Les Hommes préfèrent les grosses n’est pas très beau. C’est de la comédie populaire made in Poiré, avec une indéniable mise en scène théatralisante, un minimum de décors (souvent des intérieurs), une photographie plutôt quelconque, le tout emporté par une bande son punchie et bien présente, mais pas spécialement mélodieuse non plus.
Si vous attendez une comédie délirante sur le rapport au poids, l’image que ça renvoie, les difficultés de séduire… vous serez assez déçu. Le film de Poiré effleure son sujet, et par un scénario tout à fait maladroit il n’arrive que trop épisodiquement à faire rire. Je me dis même que le film aurait sans doute été plus drôle si Chantal Neuwirth avait été choisi comme coloc au début du film, car le passage avec elle est le moment le plus fendard de ce métrage mineur, à l’intérêt limité. 2
Pour ma part, le souci c’est la cohésion du métrage. Doté d’une narration plus que chaotique, peinant à franchement exploiter son concept de base et virant vers un vaudeville assez simpliste, Les Hommes préfèrent les grosses restent un métrage qui manque de vigueur, d’épaisseur, et qui n’exploite que trop rarement son idée originale. Ça aurait pu être une succession de gags décousus, mais on ne rit pas de façon très régulière, pas mal de discussions longuette ou de situations quelconques venant émailler le métrage. Peut-être y-a-t-il trop de personnages, et on ne peut d’ailleurs voir la petite intervention de Lhermitte comme autre chose qu’une séquence mal insérée qui n’apporte pas grand-chose.
Un gros casting qui reste un atout, mais qui n’est pas non plus ce que j’ai vu de mieux. Auteuil par exemple ne parait pas super à l’aise ici, et en tout cas il se fait facilement voler la vedette. Josiane Balasko s’investit dans son rôle et reste le noyau dur du film avec une Dominique Lavanant au rôle mineur mais qui s’impose avec un personnage haut en couleur. Avec l’enthousiasme de Martin Lamotte, ce sont là les trois acteurs les plus notables, et ils font face, outre à un Auteuil moyen, à un Luis Rego trop timoré lui aussi, et à une Ariane Lartéguy finalement pas très bien exploitée. Bien que séduisante et assez caricaturale pour assurer quelques moments de confrontations cocasses avec Balasko, l’actrice n’a pas non plus un talent comique fou.
Visuellement, Les Hommes préfèrent les grosses n’est pas très beau. C’est de la comédie populaire made in Poiré, avec une indéniable mise en scène théatralisante, un minimum de décors (souvent des intérieurs), une photographie plutôt quelconque, le tout emporté par une bande son punchie et bien présente, mais pas spécialement mélodieuse non plus.
Si vous attendez une comédie délirante sur le rapport au poids, l’image que ça renvoie, les difficultés de séduire… vous serez assez déçu. Le film de Poiré effleure son sujet, et par un scénario tout à fait maladroit il n’arrive que trop épisodiquement à faire rire. Je me dis même que le film aurait sans doute été plus drôle si Chantal Neuwirth avait été choisi comme coloc au début du film, car le passage avec elle est le moment le plus fendard de ce métrage mineur, à l’intérêt limité. 2
Une comédie française typique de la production de l'époque mais qui lui vaut de traverser les époques auprès des amateurs du genre. Dénué de qualité cinématographique, il ne reste que quelques gags éparses, une Balasko qui tient le film à bout de bras grâce à une performance pleine d'autodérision. Autour, quelques pointures (surtout le court passage de Lhermitte hilarant) mais c'est au service de rien, le message du film serait qu'il vaut mieux choisir une fille normale plutôt qu'une fille inaccessible mais l'histoire d'amour est tellement peu crédible, avec en plus une fin vite expédiée.
Les hommes préfèrent les grosses est une petite comédie sympa assez marrante avec une Josiane Balasko désopilante (on a pitié pour son personnage de vieille fille disgracieuse). Pas mal du tout.
Une bonne petite comédie sans prétention, agréable et divertissante.
Les Hommes préfèrent les grosses… Un titre de film qui n’inspire pas vraiment à première vue. Et puis le synopsis est franchement pas top, je ne sais pas si quelqu’un qui ne connaîtrait pas le film voudrait regarder cette comédie rien qu’en lisant le synopsis. Mais je ne dois pas juger le film uniquement sur son idée ou bien son titre, sa serait nul. Bon, en regardant le film on a moins envie de rire, à part quelques scènes pas mal, car c’est basé sur le physique des personnes enrobées, on pourrait se sentir mal à l’aise en le regardant. Bref sinon les acteurs sont impeccables rien à dire, en même temps on a le droit aux meilleurs acteurs français, ou du moins une partie : Josiane Balasko, Thierry Lhermitte, Dominique Lavanant, Daniel Auteuil, Martin Lamotte et sans oublier François Berléand (méconnaissable dans les années 80). Comme vous l’avez vu, il y a du beau monde et chacun joue à la perfection dans le film. Le scénario est vraiment bof, on rigole de temps en temps mais sans plus, ça manque de situations comiques. Bref, dans l’ensemble ça se laisse regarder mais il y a pas mal de points à revoir pour que ça soit vraiment bon.
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