Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par François Armand
Beauté ultime du film, si les Kunas ne renient rien de ce qui les relie à la société des Blancs, c’est bien une voie d’émancipation qui se dessine.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
À l’ère des réalisateurs démiurges, le cinéma n’a que rarement l’opportunité de montrer qu’il peut aussi avoir sa volonté propre. DIEU EST UNE FEMME lui en offre une : se sachant vue par ceux qui doivent la voir, la pellicule respire.
L'Obs
par Isabelle Danel
Le documentaire d’Andrés Peyrot, parfois maladroit mais toujours sincère, exalte finalement le pouvoir consolateur du cinéma. Où chacun trouve ce qu’il cherche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Jo.
Près de cinquante ans plus tard, Andrés Peyrot se rend dans le village d’Ustupu, où le souvenir de cette visite reste vivace. Son documentaire contourne l’écueil qui s’offrait à lui : la critique, à cinquante ans de distance, du geste de Gaisseau serait chose trop aisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Si le discours porté par "Dieu est une femme" est intéressant, ses choix esthétiques lui nuisent. En voulant éviter de tomber dans les travers du film dans les traces duquel il s’inscrit, Andrés Peyrot oublie de questionner la spécificité de son propre regard.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Le film n’est pas hyper engageant dans sa forme, mais donne du grain à moudre sur la valeur des images manquantes. La place accordée aux modes d’expression modernes de cette communauté, du rap aux études de cinéma, déjoue judicieusement le stéréotype du peuple figé dans la tradition, rendu à l’ici et maintenant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Ekchajzer
À l’opposé de l’écrasement du réel que l’on devine dans certains plans de l’explorateur arrachés à l’oubli, le cinéaste helvético-panaméen signe un documentaire singulier, qui intègre à son processus d’élaboration les Kuna avec une justesse porteuse d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un long métrage dont il faut se méfier du titre mais qui témoigne une nouvelle fois de la puissance d’inventivité et de création du documentaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Andrés Peyrot raconte l’histoire de ce film et l’excitation des Kunas d’enfin le découvrir dans un geste à la fois cinématographique, sociologique et ethnologique. Mais dont une certaine primauté à la cérébralité tient un peu trop à distance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Beauté ultime du film, si les Kunas ne renient rien de ce qui les relie à la société des Blancs, c’est bien une voie d’émancipation qui se dessine.
La Septième Obsession
À l’ère des réalisateurs démiurges, le cinéma n’a que rarement l’opportunité de montrer qu’il peut aussi avoir sa volonté propre. DIEU EST UNE FEMME lui en offre une : se sachant vue par ceux qui doivent la voir, la pellicule respire.
L'Obs
Le documentaire d’Andrés Peyrot, parfois maladroit mais toujours sincère, exalte finalement le pouvoir consolateur du cinéma. Où chacun trouve ce qu’il cherche.
Le Monde
Près de cinquante ans plus tard, Andrés Peyrot se rend dans le village d’Ustupu, où le souvenir de cette visite reste vivace. Son documentaire contourne l’écueil qui s’offrait à lui : la critique, à cinquante ans de distance, du geste de Gaisseau serait chose trop aisée.
Les Fiches du Cinéma
Si le discours porté par "Dieu est une femme" est intéressant, ses choix esthétiques lui nuisent. En voulant éviter de tomber dans les travers du film dans les traces duquel il s’inscrit, Andrés Peyrot oublie de questionner la spécificité de son propre regard.
Libération
Le film n’est pas hyper engageant dans sa forme, mais donne du grain à moudre sur la valeur des images manquantes. La place accordée aux modes d’expression modernes de cette communauté, du rap aux études de cinéma, déjoue judicieusement le stéréotype du peuple figé dans la tradition, rendu à l’ici et maintenant.
Télérama
À l’opposé de l’écrasement du réel que l’on devine dans certains plans de l’explorateur arrachés à l’oubli, le cinéaste helvético-panaméen signe un documentaire singulier, qui intègre à son processus d’élaboration les Kuna avec une justesse porteuse d’émotion.
aVoir-aLire.com
Un long métrage dont il faut se méfier du titre mais qui témoigne une nouvelle fois de la puissance d’inventivité et de création du documentaire.
Première
Andrés Peyrot raconte l’histoire de ce film et l’excitation des Kunas d’enfin le découvrir dans un geste à la fois cinématographique, sociologique et ethnologique. Mais dont une certaine primauté à la cérébralité tient un peu trop à distance.