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Joris B.
17 critiques
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1,0
Publiée le 30 juillet 2023
Pour être expérimental c'est expérimental... Aucun intérêt, c'est extrêmement moche le choix du grain est ridicule, les plans s'enchaînent sans aucune action, je vous rassure il y à rien à spoiler, vous allez juste vous faire ch.... Passez votre chemin
C’est long, trèèèèèèèèèès looooooong de quoi taper son meilleur rompiche (vous ne risquez pas d’être réveillé par le son du film est est quasi inexistant)
The House (Skinamarink) c'est comme un hamster dans sa cage. Il tourne en rond, finit par le comprendre, se renouvelle 30 secondes et repart dans sa spirale infernale.
Si vous aimez les répétitions sous acide et les screamers aussi flippants qu'un chaton qui sort ses griffes manucurées chez Nocibé, vous serez servis.
Que dire, ou plutôt qu'écrire au sujet de ce film canadien ? De la neige sur l'écran pendant l'entièreté du film, des plans fixes sur un meuble, une porte , un lit etc..... des voix venues d'outre tombes de temps à autres, 2 enfants (dont ont ne vois que les jambes) et 3 jump scares (pas si "jump" que ça). Voilà... c'est tout. Cette réalisation à 2,5 dollars joue sur l'ambiance (il n'y a aucun scénario) et ca ne fonctionne pas vraiment. 1 point pour la tentative d'originalité louable et c'est bien payé !
Toute la salle est sortie après 20 min, c’est très long, les effets spéciaux sont mauvais et accompagné d’un musique de vieux film. Ce ne sont que des scènes statique de plusieurs minutes où ils ne se passent rien
En vrai, ... ça va ! Il y a pire ! Mais si vous vous attendez à voir un film à la "Conjuring" ... eh bien, passez votre chemin, car c'est juste un film lent, incompréhensible mais intelligent. Le point positif, c'est l'ambiance, mais sinon je trouve que c'est très ennuyeux et ça ne fait pas vraiment peur, à part si le film donne un aspect glauque du genre "creepypasta". Je m'attendais à mieux et à une histoire un peu plus divertissante. Mais c'est ça la magie du cinéma, être parfois déçu et ce rendre compte par la suite que ce n'était pas si con que ça. Le film est très spécial et n'hésite pas à casser le genre, je dirais même qu'il apporte un aspect nouveau au cinéma horrifique donnant une nouvelle expérience cinématographique. On ne voit pas ça tout les jours ! Un film spécial, long, lent et creepy ! Je pense que le film aurait été même meilleur si il y aurait des scènes un peu plus travaillé et un peu plus horrifique ! Je n'hésiterai pas à l'acheter en Blu-ray et le revoir d'un autre point de vu car vraiment il m'intrigue. Deviendra t'il un ovni du cinéma ? S'en doute...
Kyle Edward Ball adapte son propre court-métrage "Heck" sorti en 2020. Un projet qui se suffisait à lui-même pour ma part. Parfois, on peut se dire qu'une version longue est nécessaire, mais pas ici. Pas pour moi en tout cas. Au-delà de la durée et de la présence de deux enfants, la différence entre les deux, c'est que la caméra est ici beaucoup plus mécanique. On dirait que l'image provient d'une caméra de surveillance intérieure qui fait des mouvements uniquement latéraux ou verticaux. "Skinamarink" est clairement le genre de film où il faut faire une partie du travail soi-même. C'est vrai pour tous les films, car un manque de concentration peut jouer sur notre appréciation, mais il faut ici s'immerger dans l'ambiance, car il ne se passe rien ou presque. Tout est à peine suggéré et jamais montré. L'image est très sombre, donc on peut voir ou pas des choses en fonction de notre imagination. C'est expérimental, mais surtout ennuyeux. Je n'ai pas du tout été pris par l'ambiance. Je n'ai pas du tout trouvé le film effrayant même s'il y a un côté sinistre et glauque avec ces sons distants et ces images parfois imperceptibles. Bref, ce n'était pas fait pour moi.
The House est un OVNI, il ne ressemble à rien du genre de l'horreur, mais plutôt à un film expérimental du genre, qui s'apparenterait plus à un Found Footage à la Blair Witch Project. La beauté de ce grain (bruit numérique, pellicule) nous enveloppe visuellement dans ces noirs bleutés très esthétique, dans une abstraction de hors champs, une texture cauchemardesque dans l' intérieur d'une maison. Le film fonctionne parfaitement surtout parce qu’il sait retourner aux sources primordiales de nos peurs. Les sons exacerbés, les perspectives inversées, parvenant à matérialiser de façon étrangement vraisemblable l’avancée d’un personnage sur le plafond, mais aussi le « mouvement » d’une « créature » aberrante faite de jouets agglutinés, preuve tangible d’une astuce cinématographique hors pair dans l’utilisation de ses ressources scénographiques limitées. La lenteur de la progression dans un environnement familier, filmé totalement de manière abstraite, (angles, points de vues en contre plongée, jeux sur les ombres et les lumières de la TV, veilleuses..) créer et nous embarque petit à petit dans une autre dimension, dans un pure film de fantôme, à voir et surtout à revoir...