Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Une pépite inattendue qui brasse intelligemment tout un imaginaire de conte horrifique avec autant de simplicité que de talent. L'art de faire du renouveau avec de l'ancien et du moderne avec du traditionnel : un bijou artisanal qui ravira tous les fans de contes et légendes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un premier film un rien nostalgique, mené à la force du poignet, non dénué de risques, où les vampirologues distingués se retrouveront.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Le Vourdalak" invente son propre territoire de cinéma, né d’un double mouvement inverse. D’un côté un retour aux sources d’un cinéma organique et artisanal et du mythe vampirique ; de l’autre une projection dans des thématiques contemporaines (la fluidité de genre et la satire du patriarcat). De ce syncrétisme jaillit l’un des meilleurs premiers films de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le pantin grotesque crée le malaise, et par ricochet, il redonne sa puissance dérangeante au récit originel. Les vrais amateurs de fantastique du XIXème siècle seront donc ravis [...].
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Ce premier film explore le mythe du vampirisme avec une singularité affirmée.
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
S’inspirant librement d’une nouvelle d’Alexis Konstantinovitch Tolstoï, cette production, atypique dans le paysage cinématographique francophone, déroutera sûrement plus d’un spectateur mais s’impose, à l’arrivée, comme un conte gothique fascinant.
L'Obs
par X. L.
Pour son premier film, le cinéaste adapte la nouvelle de Tolstoï, un classique de la littérature de vampires. Les moyens lui font défaut, mais il a de l’imagination et brasse de nombreuses références.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
C’est tout le charme de ce film onirique tourné en 16 millimètres, qui en dit peu mais vibre des superstitions de l’époque : un rituel sanguinolent pour éloigner les esprits, une fête d’enterrement, un chant dans la forêt peuplée de morts…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une authentique anomalie, qui dévoile accessoirement ce qui s’impose comme l’une des créatures les plus étonnantes du bestiaire fantastique contemporain : une marionnette décharnée dont le pouvoir de fascination tient au fait qu’elle danse en permanence entre effroi, poésie et ridicule. Comme le film, qui déploie une myriade de tentacules et pourtant ne raconte presque rien, avance sans trembler mais ne prend jamais vraiment, embarqué dans un mariage hasardeux entre rudesse et raffinement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Bien sûr, c'est du cinéma fauché comme les blés, mais le talent et l'ambition compensent aisément le manque de moyens, avec une créature géniale - le fameux Vourdalak - et une atmosphère unique qui rappelle le cinéma fantastique européen des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Filmée dans un 16 mm ouaté, la proposition est si originale que l’on oublie volontiers les moments un brin ampoulés. Car le monstre reste un grand-père rogue qui tente de maintenir son emprise patriarcale sur sa fille et débite les pires inepties. Ainsi Le Vourdalak campe-t-il exactement entre le rire et l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage qui revisite avec audace le film de vampires, et tente une greffe entre cinéma d’auteur et film de genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une atmosphère singulière qui possède un charme certain, malgré un jeu des acteurs très théâtral et des scènes qui s’étirent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Pour son premier film, Adrien Beau fait ce qu’il peut avec un manque de moyens flagrants, culminant avec l’apparition du Vourdalak lui-même, qui fait peine à voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Premier long d’un plasticien, "Le Vourdalak" mêle fantastique et film d’époque en un conte macabre sur un père dévoué changé en démon. Quelques bonnes idées visuelles, hélas étirées sur une durée excessive, pour une œuvre intéressante, mais très inégale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
N'accompagnant l'artifice d'aucune vision du monde ni d'aucune visée esthétique tranchée, le rendant par là même finalement assez condescendant envers la nouvelle de Tolstoï, le film provoque peu à peu une antipathie inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Lucie Chiquer
Adaptation de la nouvelle d’Alexis Tolstoï, certains trouveront un charme à cette ambiance crépusculaire. Mais les performances désuètes et les costumes discordants rendent le film risible, et la théâtralité accrue laisse rapidement place au malaise...
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
Une pépite inattendue qui brasse intelligemment tout un imaginaire de conte horrifique avec autant de simplicité que de talent. L'art de faire du renouveau avec de l'ancien et du moderne avec du traditionnel : un bijou artisanal qui ravira tous les fans de contes et légendes.
Franceinfo Culture
Un premier film un rien nostalgique, mené à la force du poignet, non dénué de risques, où les vampirologues distingués se retrouveront.
Les Inrockuptibles
"Le Vourdalak" invente son propre territoire de cinéma, né d’un double mouvement inverse. D’un côté un retour aux sources d’un cinéma organique et artisanal et du mythe vampirique ; de l’autre une projection dans des thématiques contemporaines (la fluidité de genre et la satire du patriarcat). De ce syncrétisme jaillit l’un des meilleurs premiers films de l’année.
Mad Movies
Le pantin grotesque crée le malaise, et par ricochet, il redonne sa puissance dérangeante au récit originel. Les vrais amateurs de fantastique du XIXème siècle seront donc ravis [...].
CinemaTeaser
Ce premier film explore le mythe du vampirisme avec une singularité affirmée.
L'Ecran Fantastique
S’inspirant librement d’une nouvelle d’Alexis Konstantinovitch Tolstoï, cette production, atypique dans le paysage cinématographique francophone, déroutera sûrement plus d’un spectateur mais s’impose, à l’arrivée, comme un conte gothique fascinant.
L'Obs
Pour son premier film, le cinéaste adapte la nouvelle de Tolstoï, un classique de la littérature de vampires. Les moyens lui font défaut, mais il a de l’imagination et brasse de nombreuses références.
Le Monde
C’est tout le charme de ce film onirique tourné en 16 millimètres, qui en dit peu mais vibre des superstitions de l’époque : un rituel sanguinolent pour éloigner les esprits, une fête d’enterrement, un chant dans la forêt peuplée de morts…
Libération
Une authentique anomalie, qui dévoile accessoirement ce qui s’impose comme l’une des créatures les plus étonnantes du bestiaire fantastique contemporain : une marionnette décharnée dont le pouvoir de fascination tient au fait qu’elle danse en permanence entre effroi, poésie et ridicule. Comme le film, qui déploie une myriade de tentacules et pourtant ne raconte presque rien, avance sans trembler mais ne prend jamais vraiment, embarqué dans un mariage hasardeux entre rudesse et raffinement.
Paris Match
Bien sûr, c'est du cinéma fauché comme les blés, mais le talent et l'ambition compensent aisément le manque de moyens, avec une créature géniale - le fameux Vourdalak - et une atmosphère unique qui rappelle le cinéma fantastique européen des années 70.
Télérama
Filmée dans un 16 mm ouaté, la proposition est si originale que l’on oublie volontiers les moments un brin ampoulés. Car le monstre reste un grand-père rogue qui tente de maintenir son emprise patriarcale sur sa fille et débite les pires inepties. Ainsi Le Vourdalak campe-t-il exactement entre le rire et l’horreur.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage qui revisite avec audace le film de vampires, et tente une greffe entre cinéma d’auteur et film de genre.
Le Journal du Dimanche
Une atmosphère singulière qui possède un charme certain, malgré un jeu des acteurs très théâtral et des scènes qui s’étirent.
Le Parisien
Pour son premier film, Adrien Beau fait ce qu’il peut avec un manque de moyens flagrants, culminant avec l’apparition du Vourdalak lui-même, qui fait peine à voir.
Les Fiches du Cinéma
Premier long d’un plasticien, "Le Vourdalak" mêle fantastique et film d’époque en un conte macabre sur un père dévoué changé en démon. Quelques bonnes idées visuelles, hélas étirées sur une durée excessive, pour une œuvre intéressante, mais très inégale.
Culturopoing.com
N'accompagnant l'artifice d'aucune vision du monde ni d'aucune visée esthétique tranchée, le rendant par là même finalement assez condescendant envers la nouvelle de Tolstoï, le film provoque peu à peu une antipathie inattendue.
Première
Adaptation de la nouvelle d’Alexis Tolstoï, certains trouveront un charme à cette ambiance crépusculaire. Mais les performances désuètes et les costumes discordants rendent le film risible, et la théâtralité accrue laisse rapidement place au malaise...