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Votre avis sur Saint-Ex ?
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Avec Saint-Ex, Pablo Agüero nous offre bien plus qu’un simple biopic. Ce film est une méditation visuelle et introspective sur la vie d’Antoine de Saint-Exupéry, incarné avec une intensité mesurée par Louis Garrel. La quête de Saint-Ex pour retrouver son ami disparu dans les Andes devient une aventure intérieure, où le courage et l’imaginaire se mêlent au silence et à l’immensité des cieux.
Malgré l’usage manifeste d’images en studio et de fonds verts pour recréer les décors de la Cordillère et des étendues désertiques, cet aspect technique ne m’a pas gêné. Au contraire, cette mise en scène stylisée sert l’onirisme du récit. Le monde qui entoure Saint-Ex semble flotter hors du temps, comme une projection de son esprit rêveur. Cette approche permet au spectateur de s’attarder sur l’essentiel : les émotions brutes et la réflexion métaphysique.
Un autre choix marquant du film est le nombre restreint de personnages. En centrant le récit autour de Saint-Ex, de son ami Guillaumet (Vincent Cassel, magnétique même dans l’absence) et d’une poignée de figures secondaires, Agüero favorise une narration minimaliste et introspective. Diane Kruger, dans un rôle subtil, agit comme un contrepoint terrien à cette aventure céleste. Ce parti pris dépouille le film de tout artifice narratif superflu, laissant place à un voyage presque spirituel dans le calme et l’apesanteur.
Saint-Ex est un film qui, comme son protagoniste, prend le temps de rêver. Il séduira les amateurs de cinéma contemplatif et ceux qui cherchent une expérience cinématographique poétique. Avec son esthétique singulière et ses performances habitées, Agüero signe ici une œuvre audacieuse, à mi-chemin entre hommage et méditation.
Malgré l’usage manifeste d’images en studio et de fonds verts pour recréer les décors de la Cordillère et des étendues désertiques, cet aspect technique ne m’a pas gêné. Au contraire, cette mise en scène stylisée sert l’onirisme du récit. Le monde qui entoure Saint-Ex semble flotter hors du temps, comme une projection de son esprit rêveur. Cette approche permet au spectateur de s’attarder sur l’essentiel : les émotions brutes et la réflexion métaphysique.
Un autre choix marquant du film est le nombre restreint de personnages. En centrant le récit autour de Saint-Ex, de son ami Guillaumet (Vincent Cassel, magnétique même dans l’absence) et d’une poignée de figures secondaires, Agüero favorise une narration minimaliste et introspective. Diane Kruger, dans un rôle subtil, agit comme un contrepoint terrien à cette aventure céleste. Ce parti pris dépouille le film de tout artifice narratif superflu, laissant place à un voyage presque spirituel dans le calme et l’apesanteur.
Saint-Ex est un film qui, comme son protagoniste, prend le temps de rêver. Il séduira les amateurs de cinéma contemplatif et ceux qui cherchent une expérience cinématographique poétique. Avec son esthétique singulière et ses performances habitées, Agüero signe ici une œuvre audacieuse, à mi-chemin entre hommage et méditation.
Où est l’histoire ? Film peu crédible et creux, le réalisateur aurait, au moins, du prendre conseil auprès de pilotes. Heureusement les acteurs sont bons et les images belles.
N'y allez pas, ce film est une arnaque. Un ramassis de conneries. Mal joué, plans nuls. Effet spéciaux nuls. Jusqu'à la fin où St Ex disparaît en T6 🫣. Pour atterrir il pousse sur le manche. Il vole avec un vent de 40 kt et l'avion ne bouge pas d'un poil. Gros plan dans l'avion en vol et pas un cheveux qui bouge. Deux fois il remet le moteur en route en rampant sur le moteur et en tournant du bout des doigts l'hélice. Ce film est un scandale !
Nous étions 2 dans la salle. Le second spectateur m'a dit avoir aperçu un Airliner dans le ciel !
J'oubliais, il traverse la Cordillère des Andes en coupant le moteur et en suivant un Condor dans les ascendants. Le Con dort s'était moi dans la salle. Une petite dernière, l'antenne radio dans un hangar et l'avion dans les montagnes ?...
Très petit budget...
Quand il passera à la TV, je ne le regarderai même pas.
Ils ne se sont même pas rapprochés de pilote ou de technicien radio...
J'ai pommé 10 balles 😤
Nous étions 2 dans la salle. Le second spectateur m'a dit avoir aperçu un Airliner dans le ciel !
J'oubliais, il traverse la Cordillère des Andes en coupant le moteur et en suivant un Condor dans les ascendants. Le Con dort s'était moi dans la salle. Une petite dernière, l'antenne radio dans un hangar et l'avion dans les montagnes ?...
Très petit budget...
Quand il passera à la TV, je ne le regarderai même pas.
Ils ne se sont même pas rapprochés de pilote ou de technicien radio...
J'ai pommé 10 balles 😤
Aller voir un film consacré à un épisode de la vie de Saint Ex, c'est s'attendre à retrouver l'univers des pionniers de l'aviation, de l'Aéropostale, mais aussi les personnages du Petit Prince : un berger, un mouton, un renard, une étoile.... et les valeurs pronées par ce livre universel, en particulier celle de la fidèlité en amitié. Le contrat est largement rempli, le trio Garrel, Cassel, Kruger est le casting idéal pour nous faire partager les émotions des personnages, les images sont sublimes et la musique en phase avec chaque instant. On est plongé dans cet univers quelque peu onirique de Saint Ex. Ce bien joli film, que je plébiscite, nous faire revivre Saint Ex, cet ami imaginaire qui nous accompangne les jours de joie, les jours de peine, tel le Petit Prince Eternel et nous rappelle qu' "On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux", c'est aussi ce que nous rappellent certaines critiques !!!
Beaucoup de bruit pour faire croire qu’il y a de l’action, très peu de moments de rêverie, des longueurs.. malgré les bons acteurs, c’est un bide.
Film d'une beauté et d'une poésie bouleversante tant au niveau des images que des dialogues en métaphores...
Je m'attendais à mieux concernant la vie de cet illustre personne qu'était Saint-Exupéry. Le film repose sur l'amitié entre deux hommes, l'amour d'une femme et respect, les prouesses des aviateurs de cette époque, les pionniers de l'aviation. Le film ne rend pas assez hommage selon moi à celui qui EST le titre de ce film. De belles images néanmoins cela fait très studio..
Film decevant , l'histoire est tres romancée voir loin de la vérité, Vincent Cassel joue mal , et ennuie tout le monde ,seul point positif de belles prises de vue
Yves G.
Contrairement à ce que son titre annonce, "Saint-Ex" n’est pas un biopic. S’il évoque, brièvement, son enfance dans le château familial, la mort de son frère cadet, François, puis sa disparition en mer en juillet 1944, "Saint-Ex" se focalise sur un épisode de la vie du célèbre écrivain : en 1929, avec Henri Guillaumet, employé de la Compagnie générale aéropostale, il traverse la cordillère des Andes et ouvre la route aérienne de l’Argentine au Chili.
Il suffit de jeter un oeil à la bande-annonce pour savoir de quoi sera fait ce film. Tout y sonne faux, depuis l’affiche – dont le sommet montagneux encapuchonné de neige ressemble plus au Kilimanjaro qu’à l’Aconcagua – jusqu’au jeu des acteurs et aux décors de carton pâte. Pas un cheveu du beau Louis Garrel ne bouge quand il vole, la tête nue, dans son Potez 25 à quatre mille mètres d’altitude. Quand son avion s’écrase dans l’océan, il flotte gentiment, le temps de lui laisser le temps de s’en extraire. Quand son moteur s’arrête, faute d’oxygène à trop haute altitude, Saint-Ex rampe sur la carlingue et redémarre à la main l’hélice immobile.
On se croirait dans une bande dessinée des années cinquante, à la ligne claire, aux héros purs et parfaits, pas dans un film. Quelques références, allusives et pataudes, sont faites à l’oeuvre littéraire de Saint-Exupéry (qui évoque son séjour en Amérique du sud et son amitié avec Guillaumet dans Vol de nuit et Terre des hommes) : lors d’une improbable escale dans une hacienda paradisiaque, il croise un jeune garçon aux cheveux bouclés roux qui pourrait bien lui inspirer le petit Prince s’il lui demandait de lui dessiner un mouton.
Rien ne marche dans ce film : ni les paysages à couper le souffle filmés dans la Cordillère des Andes et en Patagonie, ni les acteurs coincés dans la caricature de leurs personnages (Vincent Cassel incarne l’héroïsme, Louis Garrel la loyauté, Diane Kruger la dévotion matrimoniale), ni un scénario dont on connaît à l’avance le dénouement si on a, comme ce fut mon cas, été biberonné aux histoires épiques des grands explorateurs et si, à côté d’un poème de Rudyard Kipling, on avait dans sa chambre un poster de Guillaumet marchant seul dans la neige orné des mots célèbres : « Ce que j’ai fait, je te le jure, jamais aucune bête ne l’aurait fait »
PS : Aurez-vous reconnu la voix du directeur de l’Aéropostale à la radio ? Je n’y serai pas arrivé sans aller lire le générique. Il s’agissait de….
Il suffit de jeter un oeil à la bande-annonce pour savoir de quoi sera fait ce film. Tout y sonne faux, depuis l’affiche – dont le sommet montagneux encapuchonné de neige ressemble plus au Kilimanjaro qu’à l’Aconcagua – jusqu’au jeu des acteurs et aux décors de carton pâte. Pas un cheveu du beau Louis Garrel ne bouge quand il vole, la tête nue, dans son Potez 25 à quatre mille mètres d’altitude. Quand son avion s’écrase dans l’océan, il flotte gentiment, le temps de lui laisser le temps de s’en extraire. Quand son moteur s’arrête, faute d’oxygène à trop haute altitude, Saint-Ex rampe sur la carlingue et redémarre à la main l’hélice immobile.
On se croirait dans une bande dessinée des années cinquante, à la ligne claire, aux héros purs et parfaits, pas dans un film. Quelques références, allusives et pataudes, sont faites à l’oeuvre littéraire de Saint-Exupéry (qui évoque son séjour en Amérique du sud et son amitié avec Guillaumet dans Vol de nuit et Terre des hommes) : lors d’une improbable escale dans une hacienda paradisiaque, il croise un jeune garçon aux cheveux bouclés roux qui pourrait bien lui inspirer le petit Prince s’il lui demandait de lui dessiner un mouton.
Rien ne marche dans ce film : ni les paysages à couper le souffle filmés dans la Cordillère des Andes et en Patagonie, ni les acteurs coincés dans la caricature de leurs personnages (Vincent Cassel incarne l’héroïsme, Louis Garrel la loyauté, Diane Kruger la dévotion matrimoniale), ni un scénario dont on connaît à l’avance le dénouement si on a, comme ce fut mon cas, été biberonné aux histoires épiques des grands explorateurs et si, à côté d’un poème de Rudyard Kipling, on avait dans sa chambre un poster de Guillaumet marchant seul dans la neige orné des mots célèbres : « Ce que j’ai fait, je te le jure, jamais aucune bête ne l’aurait fait »
PS : Aurez-vous reconnu la voix du directeur de l’Aéropostale à la radio ? Je n’y serai pas arrivé sans aller lire le générique. Il s’agissait de….
Point positif, les acteurs sont bons, c'est assez bien joué.
Et on retrouve un peu l'univers de St Ex, l'écrivain et l'aviateur enthousiaste. Il y a même de petit rappel au compte Le Petit Prince. On est parfois franchement dans le rêve. Il y a aussi quelques beaux paysages de la Cordière.
Mais honnêtement, j'ai piqué du nez. On ne s'attend pas à ça avec la bande annonce. On s'attend a l'histoire de la victoire sur la traversé de la cordière. Il en est question, mais c'est un peu ennuyeux globalement. Le scénario, les effets spéciaux, les décors sont vraiment de l'ordre du cours métrage sans trop de moyens.
Et on retrouve un peu l'univers de St Ex, l'écrivain et l'aviateur enthousiaste. Il y a même de petit rappel au compte Le Petit Prince. On est parfois franchement dans le rêve. Il y a aussi quelques beaux paysages de la Cordière.
Mais honnêtement, j'ai piqué du nez. On ne s'attend pas à ça avec la bande annonce. On s'attend a l'histoire de la victoire sur la traversé de la cordière. Il en est question, mais c'est un peu ennuyeux globalement. Le scénario, les effets spéciaux, les décors sont vraiment de l'ordre du cours métrage sans trop de moyens.
Fêtons le cinéma
Pablo Agüero regarde Saint-Exupéry comme un Icare soucieux de défier le soleil et dépasser la « porte du ciel », compose pour cela une forme emphatique, gonflée par des effets visuels très visibles et par la partition envahissante de Christophe Julien – qu’un enfant joue au piano suivant l’idée que la rendre intradiégétique suffirait à la légitimer –, augmentée de plans iconiques plaçant le personnage ou sa main au centre du cadre et jouant sur leur ombre face à la lumière. Ces partis pris, s’ils rendent l’ensemble spectaculaire, ont pour principaux effets de balayer les paysages de Patagonie et d’écraser les personnages et leurs enjeux sensibles qui se désintègrent au contact d’un épique à l’américaine : chaque scène se construit en acmé, ouverte sur une autre scène plus intense encore, et ainsi de suite. Par exemple, lorsque
spoiler:
Saint-Exupéry prend la décision de partir à la recherche de son ami, ayant « déjà perdu un frère » et ne souhaitant pas « en perdre un autre »
, c’est aux sons tonitruants d’une musique trop grandiloquente pour capter la détresse émotionnelle censée ici s’exprimer.
L’amitié compétitive entre l’auteur et Henri Guillaumet, accentuée par des flashbacks lourdingues et inutiles, éclipse la figure féminine pâlement interprétée par Diane Kruger, qui ne dispose d’aucun espace de jeu véritable sinon celui du vecteur émotionnel inopérant car laissé au second plan, cantonné à une fonction d’utilité scénaristique. Le réalisateur argentin s’efforce de représenter la passion des deux hommes tel un ensorcellement, à l’instar de son œuvre précédente, Akelarre (2020), qui investissait le petit monde des sorcières au début du XVIIe siècle : une séquence de danse autour du feu avec divers instruments improvisés rappelle les incantations de cérémonies païennes, le « livre magique » de l’écrivain ressemble à un livre de sortilèges capable de ramener les morts à la vie…
Le souci, c’est qu’il néglige toute complexité, c’est-à-dire celle de ses personnages mais aussi celle de son récit : les hésitations, les incertitudes durent quelques secondes avant qu’un « euréka » ne résonne dans les abris aériens, synonyme d’innovations improbables qui s’appliquent à merveille. Une confusion s’observe entre efficacité épique et poésie de la montagne, le film ne trouvant jamais le ton juste pour saisir, en qualité d’« hommage » (cf. texte inaugural), son rêveur épris de liberté et d’amitié accomplissant ses voyages « la tête dans les étoiles ».
, c’est aux sons tonitruants d’une musique trop grandiloquente pour capter la détresse émotionnelle censée ici s’exprimer.
L’amitié compétitive entre l’auteur et Henri Guillaumet, accentuée par des flashbacks lourdingues et inutiles, éclipse la figure féminine pâlement interprétée par Diane Kruger, qui ne dispose d’aucun espace de jeu véritable sinon celui du vecteur émotionnel inopérant car laissé au second plan, cantonné à une fonction d’utilité scénaristique. Le réalisateur argentin s’efforce de représenter la passion des deux hommes tel un ensorcellement, à l’instar de son œuvre précédente, Akelarre (2020), qui investissait le petit monde des sorcières au début du XVIIe siècle : une séquence de danse autour du feu avec divers instruments improvisés rappelle les incantations de cérémonies païennes, le « livre magique » de l’écrivain ressemble à un livre de sortilèges capable de ramener les morts à la vie…
Le souci, c’est qu’il néglige toute complexité, c’est-à-dire celle de ses personnages mais aussi celle de son récit : les hésitations, les incertitudes durent quelques secondes avant qu’un « euréka » ne résonne dans les abris aériens, synonyme d’innovations improbables qui s’appliquent à merveille. Une confusion s’observe entre efficacité épique et poésie de la montagne, le film ne trouvant jamais le ton juste pour saisir, en qualité d’« hommage » (cf. texte inaugural), son rêveur épris de liberté et d’amitié accomplissant ses voyages « la tête dans les étoiles ».
Loin du biopic, le film attribue à d’autres les exploits de Jean Mermoz (le premier vol de nuit et la traversée des Andes). D’ailleurs Mermoz n’apparaît pas dans le film, cela valait peut-être mieux. Les dialogues sont creux. « Saint-Exupéry » et Guillaumet sont très mal interprétés. Les références à Terre des hommes tombent mal. Très peu d’actions, on s’ennuie. J’espérais de belles images mais ce sont essentiellement des images de synthèse, et ça se voit. Bref, c’est une déception.
Film que de Pablo Agüero que j'ai trouvé assez intéressant bien que j'avais largement préféré son précédent film , "Les Sorcières d’Akelarre"
Aux antipodes d’un biopic classique le réalisateur croque une petite période de sa vie et qui concerne davantage ses faits d’armes en tant que pilote d’avion pour l’aéropostale et sa relation avec son meilleur ami Henri Guillaumet que son talent d'écrivain !
Pour tout dire il s'agit là d'une fable emplit de poésie et d'onirisme !
Aux antipodes d’un biopic classique le réalisateur croque une petite période de sa vie et qui concerne davantage ses faits d’armes en tant que pilote d’avion pour l’aéropostale et sa relation avec son meilleur ami Henri Guillaumet que son talent d'écrivain !
Pour tout dire il s'agit là d'une fable emplit de poésie et d'onirisme !
Un chef d'oeuvre absolu qui retranscrit bien l'âme et l'esprit de Saint Exupéry, et comment il s'est forgé.
Les prises de vue sont absolument magnifiques et tous ceux qui aiment l'aviation et les pionniers de l'aviation seront aux anges.
Le jeu des acteurs est très juste.
Vincent Cassel campe un magnifique Guillaumet.
Tous les acteurs sont bons, dont les principaux. Louis Garrel, Diane Kruger sont excellents et très justes aussi.
La mise en scène est sobre et le jeu des acteurs superbe, sans jamais en faire trop, justes dans le ton.
Plein de clins d'oeil à son inspiration pour le Petit Prince.
Mais également à Terre des hommes et de ses autres romans (ex: Vol de nuit) et essais poético-politico-philosophiques (ex: Citadelle).
Les images et plans du film sont juste sublimes.
Bon, les spécialistes de l’aviation diront que sur le plan technique, tout n’est pas exact, mais c’est l’esprit de l’Aéropostale tel que décrit par Saint Exupéry dans ses livres, et le courage et l’amitié virile et fraternelle de ces pionniers de l’aviation héroïque qui en ressort très fidèlement. Un film très onirique et poétique.
La Cordillère des Andes apparait majestueuse et terrible, terrifiante. Fascinante et mystique. Un personnage initiatique en soi, qui éprouve les hommes et les fait grandir, humainement et spirituellement.
On vit l'héroïsme et le sens du devoir et l'humanisme des gens de cette époque qui composaient l'Aéropostale. Et une superbe amitié fraternelle.
Ce film m'a fait pleurer d'émotion.
Le réalisateur argentin Pablo Agüero est de très grand talent, et avec en des fois quelques passages très humoristiques malgré tout!
C'est un film qui vous fait vibrer.
Pour tous les amateurs d'aviation, de voyage, d'amitié, et d'humanité.
UN CHEF D'OEUVRE.
Je crois que je vais me revoir ce film plein de fois!
Les prises de vue sont absolument magnifiques et tous ceux qui aiment l'aviation et les pionniers de l'aviation seront aux anges.
Le jeu des acteurs est très juste.
Vincent Cassel campe un magnifique Guillaumet.
Tous les acteurs sont bons, dont les principaux. Louis Garrel, Diane Kruger sont excellents et très justes aussi.
La mise en scène est sobre et le jeu des acteurs superbe, sans jamais en faire trop, justes dans le ton.
Plein de clins d'oeil à son inspiration pour le Petit Prince.
Mais également à Terre des hommes et de ses autres romans (ex: Vol de nuit) et essais poético-politico-philosophiques (ex: Citadelle).
Les images et plans du film sont juste sublimes.
Bon, les spécialistes de l’aviation diront que sur le plan technique, tout n’est pas exact, mais c’est l’esprit de l’Aéropostale tel que décrit par Saint Exupéry dans ses livres, et le courage et l’amitié virile et fraternelle de ces pionniers de l’aviation héroïque qui en ressort très fidèlement. Un film très onirique et poétique.
La Cordillère des Andes apparait majestueuse et terrible, terrifiante. Fascinante et mystique. Un personnage initiatique en soi, qui éprouve les hommes et les fait grandir, humainement et spirituellement.
On vit l'héroïsme et le sens du devoir et l'humanisme des gens de cette époque qui composaient l'Aéropostale. Et une superbe amitié fraternelle.
Ce film m'a fait pleurer d'émotion.
Le réalisateur argentin Pablo Agüero est de très grand talent, et avec en des fois quelques passages très humoristiques malgré tout!
C'est un film qui vous fait vibrer.
Pour tous les amateurs d'aviation, de voyage, d'amitié, et d'humanité.
UN CHEF D'OEUVRE.
Je crois que je vais me revoir ce film plein de fois!
Fuyez. Tout est nul. D’abord le scénario inexistant totalement guimauve et incredible, ensuite les décors QUE DU CARTON PURE PÂTE, on a même pas froid… la photo inexistante alors que les Andes s’y seraient tellement prêtées et les dialogues plats plats convenus. Enfin les acteurs ne pouvaient que sombrer et ils sombrèrent malgré le casting de « rêve ». Même Diane sombre. Fuyez quoi…
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