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Inglorious_Ben
64 abonnés
1 515 critiques
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3,0
Publiée le 15 octobre 2024
Un teenage movie plutôt de qualité, qui a le mérite de proposer un scénario innovant. La valise ne reste pas secrète bien longtemps, et vient mélanger les méninges des protagonistes et des spectateurs en même temps. Si les personnages sont assez classiques, l'histoire est, quant à elle, suffisamment novatrice pour susciter l'intérêt jusqu'au dénouement.
Un film qui aurait largement mérité une sortie sur grand écran et aurait rencontré le succès ! Talk to Me / La Main a désormais un son petit frère : pas horrifique comme son aîné mais tout aussi fun et visuellement encore plus prenant !
Concept vraiment intéressant... Une histoire originale et bien tordue... Cependant un montage trop épileptique et too much à mon goût... Cela m a donné des maux de tête... Le côté teenager aussi m a vite agacé... Aussi le fait de devoir se rappeler constamment qui est qui m a semblé éprouvant... Mais la fin est sympa quand même...
Ce film est assez original , le concept d'échanger de corps permet d'installer une tension et une confusion au film . Ne sachant pas toujours qui est qui , de plus cela fait ressortir les problèmes des personnages , comme la jalousie , l'envie et le mensonge . Le film arrive à se finir en beauté avec un ultime changement de corps catastrophique pour le groupe " d'amis " .Je conseille pour une soirée détente
Moi je comprends plus ce monde. Ce qui nous a fait kiffer MATRIX de ouf, c'est justement l'intrigue!!! L'idée de se dire "jai pas bien pigé, je vais revoir pour saisir". Cest là mm toute la séduction de ce long métrage. Aujourd'hui les gens veulent juste la bagarre, des films plats sans profondeur où tout de suite au début tu as saisi la fin ou des films qui ne demandent mm pas 30 de QI. Pour ma part ce film est magistral, ça force à être concentré pour comprendre le dénouement, sans oublier qu'on tient là quasimen un tout nouveau concept! C'est juste révolutionnaire! je n'aurais pas demandé mieux. Il est juste EXCELLENT!
Film qui ne mérite pas sa mauvaise note actuelle. Plutôt surprenant bon rebondissement, un peu de réflexion mais pas de là a se retourner la tête pendant des heures
De loin le concept thriller le plus original ! En revanche faut suivre qui est qui, facile de ce perdre. Le sens du film troublant, le rôle des acteurs épatant et une fin auquel on ne s'attend pas, le réalisateur en a rajouté une couche. Un film complètement fêlé, c'est validé à 100% !!
"Jeu intérieur" ("It's What's Inside") est un petit film sorti sur Netflix qui revisite le concept du body switch dans un thriller fantastique amusant, mais sans éclat. L'histoire, centrée sur un jeu qui tourne mal dans la veine d’"Action ou vérité" et "La Main", mêle suspense, horreur et réflexion sur l'identité. Si la mise en scène inventive avec son découpage d'écrans, ses jeux de couleurs et de lumière est à la hauteur, le film manque malgré tout un peu plus de dynamisme. Le long-métrage aurait gagné à mieux développer ses personnages, car on peine à s’y attacher pour la plupart d’entre eux. Malgré un twist final percutant, la narration ambiguë peut dérouter, mais "Jeu intérieur" reste un film plaisant, à voir pour son originalité et son ambiance de soirée étudiante. - 14,5/20 Critique sur Jeu intérieur (film) Vu le 31.10.2024 sur Netflix
Première heure plutôt sympatoche mais vraiment sans plus et ultra banale. Vien ensuite le chamboulement de la soirée et à partir de là le film à devenir vachement divertissant jusqu'à la fin même si c'est pas non plus original pour autant. Dans l'ensemble c'est un bon divertissement mais sans en attendre grand chose.
Pour son premier film, Greg Jardin choisit de prendre un concept science-fictionnel plutôt couru au cinéma, celui de l’échange de corps, ou body swap dans la langue de Shakespeare. Et comme celui de la boucle temporelle, celui des voyages dans le temps ou encore celui de la téléportation, c’est un procédé qui offre moultes développement et possibilités. Et que l’on peut traiter de bien des manières... Un concept qui a enfanté de quelques œuvres mémorables, on se souvient notamment de l’excellente comédie « Freaky Friday, dans la peau de ma mère » où Jamie Lee Curtis échangeait son corps bien malgré elle avec celui de sa fille jouée par Lindsay Lohan ou du chef-d’œuvre du cinéma d’action de John Woo, « Volte-face », où John Travolta et Nicolas Cage échangeait leurs visages de flic et de gangster pour un divertissement à grand spectacle mémorable. Ici, « Jeu intérieur » pousse le curseur encore plus loin puisque ce ne sont pas deux personnes qui switchent leur corps entre elles mais huit! Ces huit personnages se retrouvent dans un immense manoir pour une fête pré-mariage entre amis et vont vivre cette expérience grâce à la machine de l’un d’entre eux qui travaille dans la Tech. Il y avait là matière à bien des choses comme livrer un film tendu, psychologique et plein de suspense mais Jardin fait plutôt le choix du suspense caché sous le vernis de la légèreté avec un film sympathique mais conforme au catalogue de la plupart des petits films Netflix : une idée de base assez cool et originale qui reste traitée en surface et sans jamais vraiment déranger, surprendre ou captiver totalement.
C’est d’ailleurs peut-être à cause de ce choix pas vraiment affirmé entre comédie et thriller où évoluent de jeunes adultes dont les personnages ont des profils psychologiques peu étoffés que le suspense n’est pas au niveau de ce qu’il aurait pu être. Hormis les affres et problèmes du couple principal, les six autres participants sont des vignettes calquées à partir de tout un tas d’autres films avant eux avec un ou deux traits de personnalité écrits à la truelle. Ce qui fait que l’on ne s’attache pas plus qu’on ne s’identifie à eux et qu’il est compliqué de trouver les enjeux de « Jeu intérieur » passionnants. On trouvera donc toute cette petite bande et leurs mésaventures ludiques et sympathiques mais on demeurera un peu frustré qu’un tel postulat soit traité de manière si désinvolte. En revanche, le concept du multi-échange est relativement bien optimisé et occasionne quelques surprises et retournements de situation bienvenus sur un script à priori fouillis mais au final bien vulgarisé. Et chapeau au scénariste et réalisateur de ne pas trop nous perdre dans ce casse-tête de plusieurs échanges entre autant de personnes car on parvient à s’y retrouver quand même.
Ensuite, il faut avouer que le début de « Jeu intérieur » fait craindre le pire. Jardin s’amuse avec la caméra comme un fou et abuse un peu des effets de colorimétrie, de cadrages et de montage rendant le tout quelque peu épileptique et fatigant. Puis, petit à petit, on se rend compte que c’est finalement ce qui lui donne aussi son cachet visuel et une identité singulière. Ces tics de clippeur, comme on pourrait les appeler, sont souvent ostentatoires et pas vraiment utiles mais collent bien au côté azimuté du script et à l’ambiance générale. Une ambiance qu’on aurait aimé tout de même plus dérangeante et moins versée dans la gaudriole ou les petites histoires et secrets du passé de chacun plus que superficiels. Cependant, si on est agacé au début par le côté parfois hystérique de la chose, on passe tout de même un bon moment. C’est comme si on participait également à ce drôle de jeu avec les protagonistes et l’aspect visuel clinquant du long-métrage ne s’avère, in fine, pas si déplaisant.
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Un plot twist évidement surprenant. Les bémols sont la bande son très forte, trop forte ce qui nous empêche de bien comprendre les dialogues. Mais également, la lumière rouge censé nous éclairer sur qui est dans le corps de qui, mais on s’y perd relativement vite. Un scénario original si à quelques détails prêt aurait pu être vraiment top.