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4,5
Publiée le 18 octobre 2024
Smile 2, la suite tant attendue du film d’horreur psychologique qui avait fait sensation en 2022, met en vedette Naomi Scott dans le rôle de Skye Riley, une pop star au sommet de sa carrière. Sous la direction de Parker Finn, le film intensifie son exploration des frontières entre réalité et fiction, avec un EP à son nom disponible sur Spotify, enrichissant ainsi l’univers du long-métrage.
Contrairement à son prédécesseur, Smile 2 adopte un rythme soutenu dès le départ, laissant derrière lui les longues enquêtes pour plonger immédiatement dans l’horreur. Finn magnifie l’impact psychologique du sourire, rendant chaque scène plus oppressante et tendue. L’atmosphère lumineuse du show-business contraste avec l’enfer vécu par Skye, qui tente désespérément de retrouver un semblant de normalité.
La performance de Naomi Scott est saisissante; elle transcende son personnage pour incarner la complexité d’une célébrité piégée par ses démons. Même si certains pourraient y voir une ressemblance avec sa propre vie, l’actrice réussit à se fondre dans le rôle de Skye, rendant difficile sa reconnaissance en dehors du glamour des plateaux de télévision.
Le film joue habilement sur la frontière entre réalité et cauchemar. En proie à la pression de la célébrité, Skye voit son quotidien glisser dans l’horreur. Smile 2 explore ainsi les traumatismes enfouis de la star, floutant la ligne entre ses luttes personnelles et la menace surnaturelle qui la hante.
En matière de frissons, le film ne fait pas dans la dentelle. Les jump scares, savamment orchestrés, surprennent même les plus aguerris. Toutefois, c’est ce sourire, désormais emblématique de la franchise, qui demeure l’élément le plus dérangeant. Parker Finn transforme une expression associée à la joie en une arme psychologique redoutable, maintenant une tension palpable tout au long du film.
Smile 2 apparaît comme une suite plus intense et riche en émotions que son prédécesseur, offrant une plongée dans les angoisses de la célébrité et les traumatismes de son héroïne. Préparez-vous à frissonner le 16 octobre, car ce sourire maléfique risque encore de glacer le sang des spectateurs.
Toujours aussi perturbant que le 1er. Le film est très bien réalisé et très bien amené. Ce n’est pas le film d’horreur bateau avec des scènes qu’on voit venir de loin. Il nous surprend au moment où on ne s’y attend pas et joue très bien avec la frontière du réel à tel point qu’on s’y perds.
Tout comme le premier, Smile 2 est incroyablement bien réussi. La mise en scène est maîtrisée, avec des plans serrés qui intensifient la tension et une photographie soignée qui crée une atmosphère oppressante. Le réalisateur réussit à insuffler une nouvelle vision à l’histoire, tout en conservant l’esprit du premier film. Une suite qui dépasse les attentes et s’impose comme un incontournable pour les amateurs de frissons !
Smile 2 joue les trouble-fêtes dans les têtes du spectateur avec plusieurs points à distinguer.
1) 2 h 12, c'est bien trop long pour un film de ce genre. Il aurait mérité 1 h 45 environ. Certaines scènes sont parfois longues et ne devraient pas figurer dans le film, en plus qu'elles soient inutiles.
2) Avons-nous eu affaire à un film d'horreur ou de musique ? Pendant 1 bonne heure, il y a une mise en avant plus importante sur l'actrice et ses affaires professionnelles que sur le style du film. Je me suis mis à danser avec mes doigts (les musiques sont pas mal lol), ce qui m'a un peu agacé.
3) Smile 2 se renouvelle sous une forme différente avec un peu d'explication. Des jump scares inattendus qui font très bien l'affaire (ça a fait parler dans la salle). Des scènes assez gores qui méritent mine de rien le -16 avec avertissement. On note aussi une certaine pression psychologique sur la manière de filmer et la vulgarisation des scènes plus importantes (son, image = entraînant du suspens et du stress).
J'ai quand même bien aimé grâce à cette fin imprévisible, qui démarque et qui permet de monter la note, dont je ne m'y attendais pas du tout ! note 3/5
Débarrassé des atours auteurisants du premier Smile, que n’aidait pas une mise en scène à l’opposé de cette volonté, cette suite en reprend l’originalité purement esthétique et joue du sourire en embrassant et assumant totalement le côté grand guignolesque et spectaculaire seyant bien à la thématique du showbiz. Une suite bigger and loudder finalement assez réjouissante mais qui use toujours des facilités du jump-scare pour susciter une peur finalement assez prévisible et bien moins impactante.
J’avais déjà beaucoup aimé Smile 1 qui est sorti en 2022 , l’intrigue et aussi le faite qu’on joue beaucoup avec notre psychologie m’avait déjà plus, mais j’ai trouvé que Smile 2 a quelque chose en plus , le suspense, il n’y pas de clichés comme certains film d’horreur, j’ai beaucoup apprécié.
Différent du premier ! Celui ci m’a + fait sursauté, apporte de la nouveauté. On ne sait jamais si on est dans le réel ou l’autre réel. Très bel esthétique et plan de vue ! Il a réveiller mon agoraphobie avec autant de smile au même endroit. J’ai beaucoup aimé
Smile 2 réalisé de nouveau par Parken Finn est une grosse pépite de l’horreur. Plus gore, plus flippant, plus psychologique que son prédécesseur. L’actrice est incroyable dans son rôle et la fin est vraiment malsaine. Âme sensible s’abstenir.
Le meilleur film d’horreur 2024 et Comme son prédécesseur il est parfait j’espère voir une suite car cette fin est vraiment satisfaisante ce film est absolument maîtrisé et immersif on rentre dans la peau du personnage très facilement , c’est un chef d’œuvre encore une fois signé Parker Finn.
J’avais déjà beaucoup aimé le 1, et le 2 est encore plus aboutit et horrifique (bien qu’il n’innove pas énormément dans le scénario puisque au final personnage principal découvre la malédiction pendant le film…). Gros point fort pur l’actrice principale.
J’avais été franchement surpris par Smile de 2022, sous ses allures de film d’ados sans scénario avec une com ultra agressive, pourtant je l’avais terminé pas déçu de l’expérience. Ce second opus suit les traits du premier, avec plus de budget.. Parker Finn essaye certains plans, certains effets pratiques, mouvements de caméra.. il s’amuse, il teste (on a compris que t’aimais bien les plans à l’envers). Peu d’utilité de voir ce film, il est vraiment long pour pas grand chose, ça n’a pas grande logique dans la narration, le spectateur jette vite l’éponge tant le film veut le brainfuck inutilement pour palier à la mauvaise écrite. Les scènes gores sont bien faites, la scène avec plusieurs acteurs en « rythme » dans l’appart également (vous comprendrez) mais ça suffit pas.. on est loin du final marquant du précédent.
une tuerie un cran au dessus du premier qui était déjà original, qui sortait du lot a mon goût .Mais celui là ma marquer j'en suis ressortie avec la tête en vrac plus de gore que le premier aussi . pour moi une masterclass sa fais longtemps qu'un film m'a pas fais cette effet .