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Histoire qui n’a aucun sens et pas mal d’incohérences justifiées par le mélange entre réalité et imagination. Cependant les scènes sont assez impressionnantes (voire assez gores) et la réalisation est assez soignée. Il y a des idées de mise en scène intéressantes. La fin par contre est assez simple et expéditive.
Après un 1er épisode pas terrible : Grosse Surprise que ce Smile 2 !
Après une intro ultra efficace entièrement en plan-séquence (faisant le point de jonction avec la fin du précédent film), cette suite peut presque se voir comme un reboot plus furieux, avec plus d'idées, plus de tension et surtout plus d'écriture.
En suivant une popstar ayant subi plusieurs traumas et où ces propres démons sont synonymes d'addiction aux morphiniques, Smile 2 vire étonnamment vers les sentiers de Silent Hill, où le PTSD de sa protagoniste se confond avec les hallucinations morbides du fameux démon.
Ainsi on assiste à une vraie descente aux enfers jusqu'au-boutiste, mais également ludique dans sa perversité.
Le milieu du showbiz est d'ailleurs un substrat totalement digne d'intérêt, renforçant l'engrenage déliquescent dans lequel le perso de Skye s'engouffre, tout en devant éviter de ternir sa réputation déjà vacillante aux yeux du public.
Et contrairement au premier film, Parker Finn met sa mise en scène maîtrisée au service de moments de frousse bien orchestrés (dont 2 plutôt costauds se déroulant en appartement).
Certes, dans la finalité de sa structure, Smile 2 aurait sans doute pu aller encore plus loin dans l'exploitation de sa mythologie, mais de par son aspect retors, sa fabrication et (surtout) une superbe performance de Naomi Scott (avec Demi Moore dans The Substance, c'est de loin la meilleure vue dans un film de genre depuis un ptit moment), on tient là une vraie belle suite, se concluant via un épilogue jubilatoirement frontal !
Après une intro ultra efficace entièrement en plan-séquence (faisant le point de jonction avec la fin du précédent film), cette suite peut presque se voir comme un reboot plus furieux, avec plus d'idées, plus de tension et surtout plus d'écriture.
En suivant une popstar ayant subi plusieurs traumas et où ces propres démons sont synonymes d'addiction aux morphiniques, Smile 2 vire étonnamment vers les sentiers de Silent Hill, où le PTSD de sa protagoniste se confond avec les hallucinations morbides du fameux démon.
Ainsi on assiste à une vraie descente aux enfers jusqu'au-boutiste, mais également ludique dans sa perversité.
Le milieu du showbiz est d'ailleurs un substrat totalement digne d'intérêt, renforçant l'engrenage déliquescent dans lequel le perso de Skye s'engouffre, tout en devant éviter de ternir sa réputation déjà vacillante aux yeux du public.
Et contrairement au premier film, Parker Finn met sa mise en scène maîtrisée au service de moments de frousse bien orchestrés (dont 2 plutôt costauds se déroulant en appartement).
Certes, dans la finalité de sa structure, Smile 2 aurait sans doute pu aller encore plus loin dans l'exploitation de sa mythologie, mais de par son aspect retors, sa fabrication et (surtout) une superbe performance de Naomi Scott (avec Demi Moore dans The Substance, c'est de loin la meilleure vue dans un film de genre depuis un ptit moment), on tient là une vraie belle suite, se concluant via un épilogue jubilatoirement frontal !
Vu en avant-première au Grand Rex, largement au dessus du premier qui m’avait laissé sur ma fin! On a beaucoup plus de tension, de violence et de gore tout au long du film! Un vrai régal
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