Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Critikat.com
par Pierre-Jean Delvolvé
En à peine deux films, Parker Finn a montré bien des promesses : son cinéma mêle déjà avec brio folie clinique et horreur spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Mêlant horreur psychologique et violence graphique, Smile 2 troque l’effet de surprise pour une redoutable efficacité.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Sans rien inventer et en reprenant même à la lettre le déroulé du premier film, Smile 2 réussit à frapper fort grâce à une mise en scène aux petits oignons et à son contexte de star-système qui décuple à merveille les enjeux de son prédécesseur. Un vrai plaisir horrifique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
LCI
par Delphine De Freitas
Portée par une interprétation d’une puissance folle de Naomi Scott, absolument épatante, Skye traverse des épreuves un cran au-dessus du cauchemar déjà affreux de Rose. Plus intenses, plus sanglantes et surtout plus désarçonnantes. Comme si Smile 2 avait passé la seconde par rapport à son prédécesseur, lui valant une interdiction aux moins de 16 ans.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Malgré un scénario assez prévisible, Smile 2 fait preuve d’une efficacité redoutable dans l’horreur, notamment grâce à Naomi Scott.
Le Parisien
par Michel Valentin
Le concept reste le même, une malédiction qui se transmet à des innocents et les pousse à une fin tragique. Mais l’intrigue s’avère plus ambitieuse et mieux traitée, se déroulant cette fois dans le milieu de la pop.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Fort du succès du premier volet, Parker Finn signe un film encore plus fou, ludique et dense, qui trouve le juste équilibre entre la réitération, la surenchère et la prise de risque.
Mad Movies
par Gilles Esposito
Plutôt une bonne surprise, "Smile 2" rejoint le club assez fermé des suites supérieures à l'original.
Télé Loisirs
par M.L.
Mis en scène avec malice et beaucoup de style, Smile 2 impressionne et terrifie grâce à ses effets diaboliques.
CNews
par La Rédaction
En conclusion, «Smile 2» se contente de proposer une histoire autour d'un nouveau personnage, avec quelques effets visuels supplémentaires, des scènes encore plus gores, avec toujours ce sourire aux lèvres. Pas sûr que ce sera le cas de tous ceux qui ressortiront de la salle.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Konbini
par Adrien Delage
Une suite plus pop et maîtrisée que le premier opus sorti en 2022, à la mise en scène inspirée mais qui mise trop souvent sur la facilité des jump scare pour créer l’effroi chez le spectateur.
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Ce film d’horreur paranoïaque, brutal et radical, peut être vu de manière métaphorique, appuyé par une mise en scène aussi inventive qu’élégante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Camille Nevers
On a gagné en surenchère et en grosse tête, en film pour ados (la cible de Smile était adulte), en baroque éviscéré et en injection de jump scares. Toutefois Smile 2 a l’intérêt de ces suites qui refusent de jouer le jeu, dans un geste méta et suicidaire, en écho à l’histoire déroulée. Smile 2 est l’anti-Smile assumé, il a la volonté d’en finir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
"Pur film d’épouvante, Smile 2 n’est cependant pas gratuit, puisqu’il aborde à travers le personnage de Skye Riley, incarné par une épatante Naomi Scott, la solitude et les fêlures qui peuvent se dissimuler derrière une star du calibre de Taylor Swift.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Smile 2 plaît justement dans ses nombreuses scènes suspendues qui paraissent mettre l’horreur de côté. Seulement pour mieux y revenir en trombe : le jump scare reste son principal moteur d’effroi. Le film joue avec le public – trop, parfois, tant il semble anticiper les réactions des spectateurs – et n’hésite pas à produire à l’écran des hallucinations d’un mauvais goût ravageur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Trop conscient de ses effets, Smile 2 peine [...] à semer l’effroi autrement qu’en enquillant les jump scares faciles, et chaque séquence horrifique devient, paradoxalement, tristement prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sylvestre Picard
La suite de Smile est surtout portée par la performance investie de Naomi Scott en dark Taylor Swift.
La critique complète est disponible sur le site Première
GQ
par Adam Sanchez
C’est un gros accident industriel qui n’offre rien de plus intéressant au spectateur qu’un gros spectacle bête et bruyant, fait pour arracher quelques cris de terreur aux moins téméraires.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Critikat.com
En à peine deux films, Parker Finn a montré bien des promesses : son cinéma mêle déjà avec brio folie clinique et horreur spectaculaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mêlant horreur psychologique et violence graphique, Smile 2 troque l’effet de surprise pour une redoutable efficacité.
Ecran Large
Sans rien inventer et en reprenant même à la lettre le déroulé du premier film, Smile 2 réussit à frapper fort grâce à une mise en scène aux petits oignons et à son contexte de star-système qui décuple à merveille les enjeux de son prédécesseur. Un vrai plaisir horrifique.
LCI
Portée par une interprétation d’une puissance folle de Naomi Scott, absolument épatante, Skye traverse des épreuves un cran au-dessus du cauchemar déjà affreux de Rose. Plus intenses, plus sanglantes et surtout plus désarçonnantes. Comme si Smile 2 avait passé la seconde par rapport à son prédécesseur, lui valant une interdiction aux moins de 16 ans.
Le Dauphiné Libéré
Malgré un scénario assez prévisible, Smile 2 fait preuve d’une efficacité redoutable dans l’horreur, notamment grâce à Naomi Scott.
Le Parisien
Le concept reste le même, une malédiction qui se transmet à des innocents et les pousse à une fin tragique. Mais l’intrigue s’avère plus ambitieuse et mieux traitée, se déroulant cette fois dans le milieu de la pop.
Les Fiches du Cinéma
Fort du succès du premier volet, Parker Finn signe un film encore plus fou, ludique et dense, qui trouve le juste équilibre entre la réitération, la surenchère et la prise de risque.
Mad Movies
Plutôt une bonne surprise, "Smile 2" rejoint le club assez fermé des suites supérieures à l'original.
Télé Loisirs
Mis en scène avec malice et beaucoup de style, Smile 2 impressionne et terrifie grâce à ses effets diaboliques.
CNews
En conclusion, «Smile 2» se contente de proposer une histoire autour d'un nouveau personnage, avec quelques effets visuels supplémentaires, des scènes encore plus gores, avec toujours ce sourire aux lèvres. Pas sûr que ce sera le cas de tous ceux qui ressortiront de la salle.
Konbini
Une suite plus pop et maîtrisée que le premier opus sorti en 2022, à la mise en scène inspirée mais qui mise trop souvent sur la facilité des jump scare pour créer l’effroi chez le spectateur.
Le Journal du Dimanche
Ce film d’horreur paranoïaque, brutal et radical, peut être vu de manière métaphorique, appuyé par une mise en scène aussi inventive qu’élégante.
Libération
On a gagné en surenchère et en grosse tête, en film pour ados (la cible de Smile était adulte), en baroque éviscéré et en injection de jump scares. Toutefois Smile 2 a l’intérêt de ces suites qui refusent de jouer le jeu, dans un geste méta et suicidaire, en écho à l’histoire déroulée. Smile 2 est l’anti-Smile assumé, il a la volonté d’en finir.
Nice-Matin
"Pur film d’épouvante, Smile 2 n’est cependant pas gratuit, puisqu’il aborde à travers le personnage de Skye Riley, incarné par une épatante Naomi Scott, la solitude et les fêlures qui peuvent se dissimuler derrière une star du calibre de Taylor Swift.
Télérama
Smile 2 plaît justement dans ses nombreuses scènes suspendues qui paraissent mettre l’horreur de côté. Seulement pour mieux y revenir en trombe : le jump scare reste son principal moteur d’effroi. Le film joue avec le public – trop, parfois, tant il semble anticiper les réactions des spectateurs – et n’hésite pas à produire à l’écran des hallucinations d’un mauvais goût ravageur.
Les Inrockuptibles
Trop conscient de ses effets, Smile 2 peine [...] à semer l’effroi autrement qu’en enquillant les jump scares faciles, et chaque séquence horrifique devient, paradoxalement, tristement prévisible.
Première
La suite de Smile est surtout portée par la performance investie de Naomi Scott en dark Taylor Swift.
GQ
C’est un gros accident industriel qui n’offre rien de plus intéressant au spectateur qu’un gros spectacle bête et bruyant, fait pour arracher quelques cris de terreur aux moins téméraires.