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Un visiteur
1,0
Publiée le 23 octobre 2013
Attendez les gars ! Laissez moi résumer : Freddy est devenu un clown qui joue à la console ! Il ne tue pas une seule de ses victimes avec son gant ! Les points positifs sont : qu'on apprend toute la biographie et qu'il y a beaucoup d'humour noir. Mais en résumé TRÈS MAUVAIS !
un de mes épisodes préféré avec le 4 et le 2. La présence de Robert Englund à l'état hunain y est pour beaucoup, ainsi que le retour en arrière sur l'enfance de freddy.
C'est pour moi l'uns des meilleures Freddy. Après 3 précédents opus très moyens, il aura fallu tout ce temps pour en avoir un qui vaut vraiment le coup!! Fini les vieux scénarios qui puent avec le pouvoir d'apporter son ami dans son cauchemar et tout le toutim! Là c'est un vrai Freddy qu'on voit! Même si Freddy fait pas mal d'humour, il reste froid et sans concession! Les cauchemars sont grandioses avec des effets-spéciaux terribles. Le scénario est vraiment interessant et creuse les racines de notre personnage culte. On a droit à de bonnes scènes de flashbacks succulantes. Le film se contente même d'y instaurer une atmosphère vraiment glauque. La ville Springwood est totalement flippante et la séquence de la fête forraine est géniale. Ce 6eme opus a un côté dejanté que les autres n'avaient pas et c'est d'un plaisir inouie! Fin bref je me l'aime ce 6eme opus, il est tout simplement digne de la saga comparé à ces 3 predecesseurs qui s'éloignaient du sujet, si je puis dire, qui étaient complétement à côté de la plaque. La fin de Freddy est un vrai Freddy, une pure bombe! Il en aura fallu du temps! Pfiouuu! Et puis l'apparition d'Alice Cooper! Terrible!!
La Fin de Freddy : L’Ultime Cauchemar est le premier film de la saga Freddy à ne pas commencer son titre original par A Nightmare on Elm Street. On pourrait croire par ce choix qu’en plus de finir la série, ce sixième volet souhaite s’écarter des autres épisodes. On pourrait, en effet, penser cela car Rachel Talalay (ayant pourtant travaillé à différents postes sur chaque film à l’exception du cinquième) choisit de ne reprendre aucun personnage apparu auparavant à l’exception de Freddy Krueger bien évidemment et surtout de faire de son premier long-métrage en tant que réalisatrice une comédie parodique burlesque à mille lieux de l’œuvre originale signée Wes Craven ! La réalité n’est ainsi jamais crédible, ce qui donne l’impression qu’il n’y a pas de séparation entre elle et le monde des rêves. L’histoire n’a donc pas réellement de sens et semble être un prétexte pour offrir une série de gags ridiculisant le personnage du croquemitaine qui effrayait la jeunesse d’Elm Street auparavant. On a souvent l’impression d’être plus dans une attraction de fête foraine que dans un véritable film et le dernier quart d’heure en 3D ne fera que renforcer ce sentiment. On pourrait croire que la réalisatrice en a marre de la saga et veuille pousser aussi loin l’humour et le ridicule afin de tuer cinématographiquement Freddy. C’est d’autant plus regrettable qu’elle ait choisi cette optique car les quelques secondes évoquant le passé du tueur d’enfants laissent penser que des choses intéressantes auraient encore pour être traitées si cette direction avait été adoptée. Malgré tous ses défauts, La Fin de Freddy : L’Ultime Cauchemar, par son aspect parodique, demeure assez divertissant et est surtout beaucoup plus supportable que L’Enfant du Cauchemar à la condition d’oublier totalement l’ambiance sombre des autres volets et d’accepter que Freddy ne soit plus qu’un personnage comique.
Sixième volet de la franchise, cette fois-ci réalisé par Rachel Talalay, dont c'est le premier long-métrage derrière la caméra, La Fin De Freddy - L'Ultime Cauchemar prend un virage totalement délirant, pour un résultat correct. L'histoire nous fait suivre John, un adolescent ayant survécu au croque-mitaine, qui fait la rencontre de Maggie, une psychologue pour enfants avec laquelle et d'autres jeunes gens du centre ils vont se rendre à Springwood où la population infantile et adolescente a totalement été décimée par Freddy qui, sur une période de dix ans, depuis 1989, a propagé une vague de meurtres et de suicides, laissant les adultes en proie à la psychose. Ce scénario s'avère particulièrement divertissant à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. Et pour cause, l'intrigue vrille complètement en partant dans un délire totalement loufoque sur un rythme soutenu ne permettant pas de s'ennuyer un seul instant. Jamais la saga n'était allée aussi loin dans le grand n'importe quoi en poussant tous les curseurs au maximum afin de nous offrir un immense défouloir. Celui-ci débute dès les premières secondes qui nous immergent immédiatement dans cet univers saugrenu s'accentuant au fil des minutes. Les scènes de cauchemars nous gratifient de mises à morts toujours plus trashs, perverses, créatives et originales. Mais surtout, le ton horrifique et fantastique se voit supplanté par un humour proche de la bouffonnerie totalement assumé. Nonobstant, cette énième suite à tout de même le mérite d'avoir un concept intéressant et de nous en apprendre encore plus sur le passé du tueur. L'ensemble est porté par des personnages appréciables interprétés par une distribution convaincante comprenant Lisa Zane, Yaphet Kotto, Shon Greenblatt, Lezlie Deane, Ricky Dean Logan ou encore Breckin Meyer. Robert Englund reprend lui son rôle de Freddy Krueger mais celui-ci devient un véritable clown qui fait d'avantage rire que peur. À noter également la courte mais sympathique apparition d'un protagoniste iconique de la licence, mais révéler son nom serait gâcher la surprise. Tous ces individus entretiennent des rapports entre crainte et espoir d'enfin éradiquer l'homme au chapeau et au pull rayé. Des échanges soutenus par des dialogues amusants, notamment lorsqu'ils sortent de la bouche de Krueger. Sur la forme, la réalisation de la cinéaste américaine s'avère de bonne facture. Sa mise en scène se veut immersive et dynamique et évolue dans des environnements toujours plus variés et inventifs. Ce visuel sombre et sanguinolent est accompagné par une bonne b.o. signée Brian May, dont les compositions collent bien au ton. Reste une fin attendue et trop abrupte venant mettre un terme à La Fin De Freddy - L'Ultime Cauchemar, qui, en conclusion, est un long-métrage jubilatoire même si peu qualitatif, faisant de lui un plaisir coupable parodique de la saga.
Encore un Freddy... Tout comme les sagas Chucky, Vendredi 13, il arrive un moment où ces films ne racontent plus rien, Freddy n'échappe pas à la règle. Il ne fait plus peur, il n'est pas drôle, pas de juste milieu, c'est ennuyeux.
Ce sixième opus des aventures de Freddy boudé par la critique sort pourtant du lot. Pour une fois, on a bien du mal à savoir qui est le personnage principal. Est-ce en effet le jeune Johnny qui sort de nulle part ou bien Maggie la psy d’un centre de jeunes en difficultés ou encore la combative Tracy ? On ne le saura pas, mais c’est sans importance car ça laisse la part belle à l’imagination et aucun protagoniste ne tire la couverture à lui ! De plus, Rachel Talalay, la réalisatrice, essaie d’étoffer son scénario en remontant aux origines du croquemitaine griffu que l’on verra sous sa forme humaine et on apprendra même une sacrée révélation concernant sa famille ! Alors quand en plus on a quelques apparitions sympathiques (Johnny Depp, Alice Cooper ou encore Roseanne) et qu’on a même le droit à un passage façon « Twin Peaks » avec la visite de la ville de Springwood ô combien anxiogène, on se dit qu’on tient-là un épisode tout à fait convenable par rapport aux deux précédents !
Pas terrible du tout je l'ai regardé une seconde fois (ayant le coffret) dimanche soir spoiler: lors de la finale trafiquée . L'humour est nul, le film a bien vieilli. L'actrice principale s'en sort bien. Il ne vaut pas le 5 qui était bien glauque (l'asile de fou, etc...), crédible et plus effrayant.lent limite cherf d'
L'histoire étant normalement terminé, Freddy tente un retour au travers d'un scénario vraiment très poussif: le cauchemar devenu réel d'un passager d'un avion l'entraîne à Springwood en compagnie d'un groupe de jeunes afin de s'y faire massacrer par le croquemitaine et en y ramenant sa fille naturelle! Les rêves sont maintenant plus accès sur l'humour que l'horreur (comme la partie de jeu vidéo, le parachute, par ex) Le but du film est effectivement, comme si on le pouvait vraiment, de tuer définitivement Freddy en le faisant revenir dans le monde réel pour le tuer. On apprend ici les vrais début de Freddy ainsi que des morceaux de sa jeunesse. Le film reste cependant assez moyen et peu intéressant, sorte de suite de trop. A voir par les fans et encore certains risqueront d'être fort déçus!
Alors que nous avions touché le fond avec le cinquième opus (1990) de la franchise, ce sixième volet (1991) remonte enfin dans notre estime pour trois raisons bien distinctes. D’une part, le scénario s’avère plus travaillé, d’une autre, parce qu’il nous ramène aux sources de Freddy Krueger, de son enfance jusqu’à l’âge adulte, bien avant qu’il ne devienne le fameux croque mitaine que l’on connaît tous. Et enfin, parce que le film a été, pour la toute première fois de la franchise, réalisé en 3D Reliefs (les effets sont intéressants, mais ne vont jamais plus loin que d’exploiter les fameux effets de profondeur de champ). Niveau distribution, Robert Englund continue d’interpréter Freddy pour la sixième fois consécutive et on a même droit à un caméo, celui de Johnny Depp, qui était apparu dans le tout premier film (1984) de la saga (c’était aussi, son tout premier long-métrage). Rachel Talalay réussit ici une très agréable suite (même si le film n’est pas non plus, tout à fait parfait, comme le début ou encore la séquence du jeu vidéo), mais elle réussit l’exploit de rendre ce chapitre plus distrayant contrairement aux précédents réalisateurs et parvient ainsi à clôturer (enfin) cette franchise qui avait depuis un bon bout de temps, franchi les limites du supportable. Mais hélas, les producteurs, avides de dollars, n’auront pas laissé Freddy bien longtemps, comme en atteste l’énième (et dernière) suite : Freddy sort de la nuit (1994).
Quel dommage que ce 6e film, s est dirigé vers un ton plus "comique" car les idées proposées sont intéressantes et donne une touche de briser les codes. Malheureusement, ces idées sont gâchés par le ton léger.
Le moins bon de la série des Freddy. Le scenario est tout simplement aussi vide que grotesque. Aucune ambition sinon d'exploiter la vaine humoristique et les caméos démodés. Quant à la 3D, elle est plus que ridicule et exploitée n'importe comment, même pour l'époque. La réalisatrice est d'une paresse affligeante. Du n'importe quoi intégral.
Sixième variation pour Freddy et cette fois, on change totalement de ville, pour arriver sur une ville très inquiétante, peuplée de gens bizarres comme Tom Arnold et Roseanne Barr, où les télévisions passent du Johnny Depp, et où il y a une fête foraine sans enfants (merci aux guests, vraiment sympathiques).
Yaphet Kotto n'est plus le badass qu'il était dans Alien, mais Shon Greenblatt et Lezlie Deane gèrent le tout, avec la toute première expérience cinématographique de Breckin Meyer (qui participe activement aux deux meilleurs shows télévisuels de tous les temps, Robot Chicken et Titan Maximum), le film est donc vraiment bien joué. Le scénario est plutôt malin, nous offrant des tueries encore très originales et laissant à Robert Englund des punchlines hardcores.
En revanche, où le film pêche très fort, c'est cette terriblement mauvaise réalisatrice qu'est Rachel Talalay, qui gâche TOUTES les bonnes scènes par une mise en scène pauvrement pataude et sans rythme. Alors on s'ennuie un tout petit peu devant ce Freddy faiblard.
Le titre original ne se trompait pas : Freddy is dead. Le pire épisode de la série, en dessous même du 2 qui était déjà une daube sans nom. Faisons une liste de tout ce qui va de travers : - acteurs médiocres - scénario foireux - montage raté - effets spéciaux catastrophiques - 2 meurtres dans un slasher, ça fait léger - scénario foireux (je sais, je l'ai déjà dit, mais il est tellement mauvais que je me permets de le rappeler) Je suis malgré tout obligé de lui mettre 0.5 alors essayons de lui trouver des points positifs : - l'histoire de Freddy (bien que bancale, ça fait toujours plaisir d'en apprendre un peu plus sur le personnage) - petites contributions sympathiques de Johny Depp et Alice Cooper (à mon avis, ils ont dû s'abstenir de mettre dans leur CV qu'ils avaient participé à cette bouse, mais bon...)
En conclusion, s'il y a bien un épisode de la saga à éviter, c'est celui là !