Mon compte
    Le Molière imaginaire
    Note moyenne
    2,1
    485 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Molière imaginaire ?

    108 critiques spectateurs

    5
    27 critiques
    4
    9 critiques
    3
    15 critiques
    2
    24 critiques
    1
    18 critiques
    0
    15 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    hello14_75
    hello14_75

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 février 2024
    Film complètement débile et sans intérêt à part celui de perdre de l'argent et du temps !!!
    À éviter à tout prix
    Ermeline
    Ermeline

    40 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2024
    Au point de vue mise en scène théâtrale : chapeau ! Les méandres fantasmés de O. Pie sont plein de surprises. Après un temps d'adaptation pour suivre la camera focaliser sur le public et ses commentaires, on découvre une vision plus réaliste que prévue de la vie de Molière et de son époque.
    M'est venu au cours du film le terme " dépravé ", ce qui est une vue de l'esprit je l'entends bien, mais qui même un peu caricaturale est représentative de la vie à proximité de la cours de Louis 14.
    Que 3 étoiles car je ne me sens pas à l'aise face à la représentation de ce milieu glauque.
    Irae27
    Irae27

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 février 2024
    Dialogues truffés d'assertions sensées être spirituelles et profondes mais qui sont prétentieuse et pauvres en idées. Abondance de scènes de sexe gênantes sans raison. Le seul personnage qui semble vraisemblable et non bouffon (ou qui n'a pas la mauvaise habitude, qu'on retrouve dans les pièces de Podalydes, d'agresser la vue en convulsant, ondoyant ou se roulant par terre) me semble Armande. De très jolies images souvent mais cela ne suffit pas, puisqu'on ne rit pas, ne pleure pas et ne réfléchit pas.
    Romy
    Romy

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2024
    Un film joliment surprenant par son esthétique, le jeu de ses acteurs ! Encore un chef d’œuvre d’Olivier Py à ne pas manquer! Bravo! N’hésitez pas à vous taper la toile!✨
    Jmeu
    Jmeu

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 février 2024
    Un huis clos étouffant destiné je suppose à écœurer les gens avec les visages grimaçants des précieux , les errances, dérives et mal être des protagonistes .....afin de retourner plus sain à l'air libre.
    C'est réussi, je suis sorti avant la fin.
    C'est virtuose bien sûr....et les acteurs sont sublimes en théâtreux accomplis....mais un peu trop humbles pour avoir gâché leur talent dans cette récupération trop nauséabonde à mon goût.
    Ça se veut être du molière puissance deux pour lui rendre hommage je suppose.....mais cela atteint il son but?
    Quelques scènes émouvantes accompagnés par une musique très belle.
    Les tourments métaphysiques intéressants......
    Mais tout le monde est prisonnier de soi là dedans....et le spectateur .....dans la salle.
    Un exercice manquant de simplicité je pense.
    Daynelle
    Daynelle

    8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2024
    Film très décevant, avec un tel casting on s’attendait à mieux, un film n’est pas une scène de théâtre, tout est ici dans l’excès, grossier et frise le vulgaire, au final ce film ne valorise rien ni personne, filmer à la bougie n’apporte pas de plus car les couleurs dans les rouges et jaunes contribuent au côté glauque. Dommage !
    Alexandre Mayet
    Alexandre Mayet

    10 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2024
    Ce film doit être considéré comme un essai cinématographique, il nous plonge dans la vie d’un théâtre un soir de la dernière représentation du malade imaginaire de Molière. Le plan séquence nous entraîne dans les bas fond de ce théâtre entre jeu de pouvoir, recherche de gloire, quête d’héritage, hypocrisie,… Entre comédie et tragédie, entre la vie et la mort, entre dégoût et tendresse. Laurent Lafitte signe une performance de grande qualité, mention spéciale également à Dominique Frot en second rôle qui incarne à merveille la bourgeoisie malsaine. Ce film est tout de même destiné à un public de cinéphiles avertis, de nombreuses personnes ont quitté la salle pendant la séance.
    Genebros
    Genebros

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 février 2024
    Quel gâchis ! D’excellents acteurs, comme Laurent Lafitte, Judith Magre, Jeanne Balibar et tant d’autres pour un résultat affligeant, une provocation inutile. Non une identité sexuelle ne définit ni le génie ni la personnalité de quelqu’un. Ajouter des scènes d’homosexualité et des hommes nus, n’apporte strictement rien à ce film qui aurait pu être bien mais qui n’est pas tenu, part dans tous les sens et se noie dans des facilités navrantes. on sort de la fatigue, en ayant l’impression que le film a duré trois heures
    Johann Barbu
    Johann Barbu

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2024
    Je viens de découvrir le film, j'y allais surtout pour voir Laurent Lafitte que j'adore, et j'en ressors encore plus amoureux ! Non seulement sa performance est incroyable, mais le film est un vrai chef d'oeuvre ! Les acteurs sont tous géniaux, ils sont filmés par un metteur en scène qui aiment les acteurs et ça se voit ! Et quel plaisir de voir des visages rares au cinéma, chapeau !
    Martin Michard
    Martin Michard

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2024
    Long, tres pousif, a passer sans probleme. Pas un film sur la vie general de moliere mais ces 2 heures avant sa mort.
    Etienne du Besset
    Etienne du Besset

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2024
    Ce film est une farce. Pas drôle du tout d’ailleurs. Nous n’avons pas aimé du tout. Déconseil total !
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 574 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2024
    Lafitte excellent Côme d'habitude, Py a beaucoup de créativité et d'inventivité dans sa mise en scène mais ça ne fonctionne pas, trop artificiel, on n'entre pas dans l'histoire. Dommage.
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 355 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2024
    Sous forme de (faux?) plan-séquence, Le Molière imaginaire d'Olivier Py narre la dernière représentation de Molière. Laurent Lafitte-Molière joue Le Malade Imaginaire sur scène, et en coulisse, il faut gérer les tracas du quotidien:le Roi qui n'est pas encore venu, les fuites d'eau, les bougies à allumer, les spectateurs qui se battent et la maladie qui l'assaille. Il y a aussi Armande, sa jeune femme qui veut lui faire signer une renonciation au métier de comédien pour qu'il puisse être enterré dignement, et Michel Baron, un jeune acteur ambitieux avec qui il noue une relation sentimentale. Ce joyeux bazard aurait pu être une ode au théâtre mais force est de constater qu'on est déçu: le foisonnement laisse place à des dialogues trop littéraires.
    GS27
    GS27

    8 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2024
    À l'origine, j'aime Molière. Genre énormément. Donc, par curiosité, pourquoi pas aller jeter un œil au film d'Olivier Py ? Eh bien parce que c'est tout bonnement affreux, voilà pourquoi. Ça passe son temps à déverser des morceaux d'anecdotes sur la vie du dramaturge qui ont l'air d'avoir été trouvés sur Wikipedia pour mieux justifier de détruire tout semblant de vérité sur le personnage. Après tout, faisons de Molière un homme en trouple et montrons des scènes sexuelles entre hommes de façon extrêmement charnelles et proprement ridicules alors qu'aucun des personnages impliqués n'étaient vraiment homosexuels pour...ah oui : pour rien. Parce que si toutes ses modifications historiques drastiques avaient quelque chose à raconter on les aurait accepté avec plaisir. Seulement voilà, Le Molière imaginaire n'a pas d'histoire, pas de personnage, pas de sujet ni de fil conducteur. Même Molière n'a droit à aucune dramaturgie intéressante, rien que du brassage de vent biographique mal amené et mis là pour faire joli. Certes, Laurent Lafitte se démène avec son rôle, Stacy Martin aussi d'ailleurs. Mais que peuvent-ils faire avec ce texte aux dialogues interminables et à la philosophie vide de sens, facile, et inutile. Agencer des mots sur la vie et la mort ne suffit pas à dire des choses intéressantes. La quasi totalité du temps, cette philosophie ampoulée ne veut rien dire et détruit la réalité de ces figures historiques. On peut bien leur faire dire n'importe quoi, qui en aura quelque chose à foutre après tout ? Mais ce serait peut-être un peu plus supportable si le reste du casting jouait correctement. Car c'est bien connu, au XVIIe siècle on parle avec des grandes phrases tordues en surjouant ses émotions avec un accent d'un autre monde, en riant comme un animal à l'agonie la bouche grande ouverte, et notre tête doit bien évidemment être parfaitement maquillée de blanc, et de rose au niveau des joues, comme de la barbapapa au milieu d'un saladier de farine. Non. Ça, ce sont les clichés de base, Olivier Py n'aurait pas osé faire ça. Eh si. Tant de clichés qu'il ose même faire mourir Molière dans le théâtre, comme la célèbre légende. Alors oui, c'est vrai que faire un plan séquence d'une heure et demie c'est impressionnant. Mais faudrait-il encore qu'il soit correctement exécuté car, si quelques idées visuelles et mouvements de caméra retiennent l'attention, les coupes qui permettent de faire tenir le faux plan séquence se voient à des kilomètres, la caméra tremble comme si l'image avait été mal stabilisée au montage, et surtout qu'est-ce que cela raconte de ce moment de la vie de Molière ? Encore une fois, rien. Finalement, ce film est un scénario étirée dans le dialogue et dans la narration pour satisfaire la seule volonté artistique du long-métrage : réaliser un défi technique avec un beau plan séquence qui dure toute l'œuvre. Le reste a été jeté à la poubelle des idées. Le pire, c'est que ça n'a même pas la politesse d'être un nanar. Et ainsi, quand on entend Laurent Lafitte dire vers la fin du film : "On aura dit sur moi tant de mensonges", on ne peut qu'avoir envie de rire avec cynisme en se disant qu'Olivier Py ajoute parfaitement sa pierre à l'édifice.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 481 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2024
    17 février 1673, Molière, exsangue, remonte sur la scène du théâtre du Palais-Royal pour jouer le dernier acte son "Malade imaginaire". Dans deux heures il sera mort.

    Le film d’Olivier Py commence fort. Il nous promet de nous raconter quasiment en temps réel les derniers moments de Molière et peut-être de résumer toute une vie en l’espace d’une représentation. Il se lance à lui-même un autre défi : celui de rester enfermé entre les quatre murs du théâtre où se donne la pièce – un espace dont il ne s’échappera que pour un épilogue funèbre.

    Pour filmer le théâtre, l’immense dramaturge qu’est Olivier Py utilise pour son premier long métrage de cinéma tous les artifices à sa disposition. Son film a l’apparence dun seul plan séquence – alors qu’il est en fait composé d’une trentaine de plans entre lesquels les coutures sont quasiment invisibles. Sacré gageure en terme de caméra, sans cesse en mouvement, de la scène à la salle en passant par les coulisses, en terme d’éclairage, le film ayant été entièrement tourné à la bougie – ce qui, nous a raconté le réalisateur pendant le débat qui a suivi le film, n’est pas si compliqué grâce à l’hypersensibilité des lentilles aujourd’hui – en terme de tension scénaristique aussi.

    Le film repose enfin sur un troisième atout de taille : Laurent Lafitte qui, mieux que personne, incarne un mourant, brûlé par sa passion pour la scène, brisé par la désaffection du roi dans lequel il plaçait tous ses espoirs, refusant jusqu’à son dernier souffle de renier son art.

    Mais, pour le reste, j’ai tout détesté de ce "Molière" crépusculaire voire obituaire. Olivier Py se prend les pieds dans la caméra et imagine que ses mouvements épileptiques suffiront à donner du rythme à son récit. On passe alternativement de la scène aux coulisses. Sur scène, Molière, de plus en plus malade, crache ses poumons en récitant son texte. Dans les coulisses, il croise ceux qui l’entouraient et, dans un songe, retrouve même ses chers disparus, son père, tapissier du Roy, sa défunte épouse, Madeleine Béjart….

    Faisant fond sur la bisexualité de Jean-Baptiste Poquelin mentionnée par Grimarest dans sa Vie de monsieur de Molière, Olivier Py ne résiste pas au plaisir de filmer complaisamment ses ébats avec un bel Adonis, le jeune acteur Michel Baron, dans une salle d'eaux aux airs de bain turc dans une scène qu'on croirait tout droit sortie d'un porno de M6. Mais le comble est atteint dans de longs dialogues prétentieusement métaphysiques, dont j’aurais aimé pouvoir noter le texte lourdement sentencieux sur Dieu, la vie, la mort, etc. pour mieux les railler.

    Cet étalage de pompe a l’élégance de ne durer qu’une heure trente. Il n’en est pas moins interminable. À aucun moment l’émotion ne jaillit, l’empathie ne naît. Beurk…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top