Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La performance brillante [de Laurent Lafitte] est mise en valeur par un plan-séquence éblouissant qui plonge dans les coulisses du théâtre et de la vie du maître.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un théâtre crépusculaire, sous les flammes dansantes d’un éclairage à la bougie, Molière agonise dans un tourbillon de noirceur et d’exaltation, d’excitation et de dégoût.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Quel travail ! Quel monde ! Olivier Py a filmé comme un long plan séquence la dernière heure de la vie de Molière.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Tourné en plan-séquence, à la bougie, dans un seul décor et dans des couleurs chaudes et saturées, le film plonge le spectateur dans une atmosphère presque irréelle tout en dessinant un portrait inattendu et ensorcelant de cette figure emblématique de la culture française.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Ici, le cinéma rend hommage à Molière, à l’homme comme à l’acteur, mais aussi à cette fabrique du théâtre, cet art à la fois si mystérieux, fragile et puissant qui ne cesse de se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Animal et viscéral, Laurent Lafitte est démesurément tragique et grotesque. La vision subversive et libératrice d’Olivier Py de la dernière nuit du grand dramaturge.
Le Parisien
par S.M.
C’est poisseux et charnel, trivial parfois, la tension sexuelle est omniprésente dans une ambiance fantasmagorique, sombre et railleuse, cruelle. Outrancière. Les dernières heures du condamné s’achèvent au petit matin sur une image glaçante qui imprime les rétines. Sacré trip !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Merveilleux hommage au théâtre, ce film résolument baroque (la bande-son réunit tous les grands airs de Marc-Antoine Charpentier) imagine un Molière paradoxal : obsédé par la postérité à venir autant que soucieux de ne pas décevoir son public immédiat en ratant sa sortie de scène ; amoureux de sa femme mais aussi fou du jeune Michel Baron.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Pertinent, cet exercice de style, maîtrisé et vif, évite de tomber dans le piège du théâtre filmé, grâce à une volonté d’être près des corps et de privilégier le mouvement pour mieux mettre en lumière le côté « vivant » de ce petit monde pourtant sur le point de disparaître…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Olivier Py réalise un tour de force en filmant en plan-séquence et à la bougie les dernières heures du plus célèbre des dramaturges français.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le metteur en scène prend quelques libertés avec la vérité : Py fait du Py, le titre du film annonce d’ailleurs la couleur. Mais, dans ce huis clos morbide éclairé à la bougie, sa mise en scène – un faux plan-séquence – n’est pas sans virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Clémence Blanche
Un portrait moderne qui redonne sa part d’humanité au monument de la culture française.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un bel hommage au théâtre, malgré quelques effets outrés et grimaçants.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Exercice de style audacieux, "Le Molière imaginaire" tombe malgré lui dans le théâtre filmé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Guillaume Tion
Un film filandreux sur le fond mais porté par une interprétation (Laurent Lafitte, Stacy Martin...) remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Servi par son casting cinq étoiles, traversé par une urgence, une soif d’émotions à partager, le film est une ode incantatoire au théâtre et à un homme qui, pour rien au monde ni pour personne, n’aurait sacrifié sa passion. Recommandable, donc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Pour son premier long métrage de cinéma, Olivier Py propose un portrait sarcastique de Molière, dans un exercice de style plutôt séduisant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un peu ce qui manque à ce film : de la simplicité, de la vie banale, des faits, plutôt que des mots qui expliquent tout, des grandes images symboliques et répétitives (masques de tête de mort) de la grande faucheuse qui approche. En somme, "Le Molière imaginaire" manque d’humilité : c’est souvent l’autre nom du bon cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Mais si les couleurs criardes et la volonté de filmer l’artificialité théâtrale peuvent évoquer le cinéma de Peter Greenaway, cette mise en abyme de l’adieu tragique au génie de Molière manque cruellement d’impact émotionnel. Et malgré l’énergie de Laurent Lafitte dans le rôle principal, l’ensemble tourne trop vite à l’exercice de style figé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Au-dessus de ce castelet or et rouge inutilement tortueux, Olivier Py manipule des marionnettes ânonnant des réflexions d’une naïveté déconcertante sur l’art de la scène et la condition de comédien – la vie, c’est du théâtre/le théâtre, c’est la vie.
Le Figaro
par Anthony Palou
Le metteur en scène met sa casquette de cinéaste pour raconter les dernières heures de Molière dans un film d’une exemplaire nullité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Au lieu de libérer l’émotion et les corps des acteurs, ces partis pris esthétiques les enferment dans un dispositif qui prend son agitation pour de la virtuosité. Ce qui marche peut-être au théâtre épuise rapidement devant une caméra.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
La performance brillante [de Laurent Lafitte] est mise en valeur par un plan-séquence éblouissant qui plonge dans les coulisses du théâtre et de la vie du maître.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un théâtre crépusculaire, sous les flammes dansantes d’un éclairage à la bougie, Molière agonise dans un tourbillon de noirceur et d’exaltation, d’excitation et de dégoût.
Femme Actuelle
Quel travail ! Quel monde ! Olivier Py a filmé comme un long plan séquence la dernière heure de la vie de Molière.
Franceinfo Culture
Tourné en plan-séquence, à la bougie, dans un seul décor et dans des couleurs chaudes et saturées, le film plonge le spectateur dans une atmosphère presque irréelle tout en dessinant un portrait inattendu et ensorcelant de cette figure emblématique de la culture française.
L'Humanité
Ici, le cinéma rend hommage à Molière, à l’homme comme à l’acteur, mais aussi à cette fabrique du théâtre, cet art à la fois si mystérieux, fragile et puissant qui ne cesse de se renouveler.
Le Dauphiné Libéré
Animal et viscéral, Laurent Lafitte est démesurément tragique et grotesque. La vision subversive et libératrice d’Olivier Py de la dernière nuit du grand dramaturge.
Le Parisien
C’est poisseux et charnel, trivial parfois, la tension sexuelle est omniprésente dans une ambiance fantasmagorique, sombre et railleuse, cruelle. Outrancière. Les dernières heures du condamné s’achèvent au petit matin sur une image glaçante qui imprime les rétines. Sacré trip !
Le Point
Merveilleux hommage au théâtre, ce film résolument baroque (la bande-son réunit tous les grands airs de Marc-Antoine Charpentier) imagine un Molière paradoxal : obsédé par la postérité à venir autant que soucieux de ne pas décevoir son public immédiat en ratant sa sortie de scène ; amoureux de sa femme mais aussi fou du jeune Michel Baron.
Sud Ouest
Pertinent, cet exercice de style, maîtrisé et vif, évite de tomber dans le piège du théâtre filmé, grâce à une volonté d’être près des corps et de privilégier le mouvement pour mieux mettre en lumière le côté « vivant » de ce petit monde pourtant sur le point de disparaître…
Télé 2 semaines
Olivier Py réalise un tour de force en filmant en plan-séquence et à la bougie les dernières heures du plus célèbre des dramaturges français.
L'Obs
Le metteur en scène prend quelques libertés avec la vérité : Py fait du Py, le titre du film annonce d’ailleurs la couleur. Mais, dans ce huis clos morbide éclairé à la bougie, sa mise en scène – un faux plan-séquence – n’est pas sans virtuosité.
La Croix
Un portrait moderne qui redonne sa part d’humanité au monument de la culture française.
Le Journal du Dimanche
Un bel hommage au théâtre, malgré quelques effets outrés et grimaçants.
Les Fiches du Cinéma
Exercice de style audacieux, "Le Molière imaginaire" tombe malgré lui dans le théâtre filmé.
Libération
Un film filandreux sur le fond mais porté par une interprétation (Laurent Lafitte, Stacy Martin...) remarquable.
Télérama
Servi par son casting cinq étoiles, traversé par une urgence, une soif d’émotions à partager, le film est une ode incantatoire au théâtre et à un homme qui, pour rien au monde ni pour personne, n’aurait sacrifié sa passion. Recommandable, donc.
aVoir-aLire.com
Pour son premier long métrage de cinéma, Olivier Py propose un portrait sarcastique de Molière, dans un exercice de style plutôt séduisant.
Les Inrockuptibles
C’est un peu ce qui manque à ce film : de la simplicité, de la vie banale, des faits, plutôt que des mots qui expliquent tout, des grandes images symboliques et répétitives (masques de tête de mort) de la grande faucheuse qui approche. En somme, "Le Molière imaginaire" manque d’humilité : c’est souvent l’autre nom du bon cinéma.
Première
Mais si les couleurs criardes et la volonté de filmer l’artificialité théâtrale peuvent évoquer le cinéma de Peter Greenaway, cette mise en abyme de l’adieu tragique au génie de Molière manque cruellement d’impact émotionnel. Et malgré l’énergie de Laurent Lafitte dans le rôle principal, l’ensemble tourne trop vite à l’exercice de style figé.
Cahiers du Cinéma
Au-dessus de ce castelet or et rouge inutilement tortueux, Olivier Py manipule des marionnettes ânonnant des réflexions d’une naïveté déconcertante sur l’art de la scène et la condition de comédien – la vie, c’est du théâtre/le théâtre, c’est la vie.
Le Figaro
Le metteur en scène met sa casquette de cinéaste pour raconter les dernières heures de Molière dans un film d’une exemplaire nullité.
Le Monde
Au lieu de libérer l’émotion et les corps des acteurs, ces partis pris esthétiques les enferment dans un dispositif qui prend son agitation pour de la virtuosité. Ce qui marche peut-être au théâtre épuise rapidement devant une caméra.