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Votre avis sur Nuovo Olimpo ?
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Sublime film découvert sur Netflix, qui est sorti assez discrètement, mais qui vaut vraiment le détour. Très belle histoire, acteurs convaincants
Un excellent film qui m a fait beaucoup penser à Almodovar. Très émouvant, sur les souvenirs et les regrets. Belle musique et très belles images de Rome.
Le film traite de deux étudiants un en médecine l autre en cinéma qui dans une époque où l amour entre hommes est encore caché. Pourtant le film parle d amour quelque soit le sexe. Les acteurs sont fantastiques. Une pépite dans Netflix ou les films d auteur sont encore rares.
Le film traite de deux étudiants un en médecine l autre en cinéma qui dans une époque où l amour entre hommes est encore caché. Pourtant le film parle d amour quelque soit le sexe. Les acteurs sont fantastiques. Une pépite dans Netflix ou les films d auteur sont encore rares.
Magnifié par le travail du chef opérateur, par l'utilisation certes un peu cliché mais réelle des rues et paysages romains et transcendé par la reconstitution des années 70 au coeur des années de plomb, cet amour naissant mis en lumière dans "Nuovo Olimpo" est d'abord profondément émouvant et porté par un casting attachant. Malheureusement, une fois les deux héros séparés par le destin, la seconde partie du film perd alors tout son charme en sombrant dans une sorte de mélodrame rappelant les télénovelas des années 80. On suit jusqu'au bout bien sûr mais tout est alors lourdement ampoulé, presque artificiel. On gardera malgré tout en tête la délicatesse des quarante premières minutes de ce film qui avait tout pour entrer dans l'histoire.
Magnifique :une Pépite !
Les acteurs sont remarquables de justesse et d'émotion.
On retrouve l'ambiance italienne et aussi d'une belle époque révolue....
L'image est superbe,les sentiments sont à fleur de peau,une trés belle réussite.
Les acteurs sont remarquables de justesse et d'émotion.
On retrouve l'ambiance italienne et aussi d'une belle époque révolue....
L'image est superbe,les sentiments sont à fleur de peau,une trés belle réussite.
Rome, les acteurs et actrices sont délicieux. L'histoire quant à elle est digne d'un roman Harlequin... C'est d'autant plus grave qu'elle est inspirée de la vie du réalisateur. C'est mièvre malgré deux ou trois répliques poétiques.
Ufuk K
"Nuovo Olimpo" diffusé sur Netflix du réalisateur turc Ferzan Özpetek signe une romance dramatique émouvante. En effet cette histoire tirée de faits réels finit par toucher au cœur malgré quelques moments un peu trop téléphonés à mon goût, le réalisateur livre une histoire d'amour gay impossible, sexy, touchante dans des décors italiens superbes et deux jeunes acteurs complices à l'écran Damiano Gavino et Andrea Di Luigi.
Émouvant et prenant. On suit cette histoire à travers un paysage Romain et au fil des années, c'est bien réalisé, les acteurs sont convaincants. Le film m'a fait pensé à un film d'Almodovar dans le style. Une belle romance à voir sur Netflix.
La bande-annonce me paraissait fade et finalement quel beau moment, l'histoire entre ses 2 hommes et tendre et prenante, j'ai tout simplement adoré. Ça fait du bien une romance simple et bien traitée.
Très joli film romantique, sensuel avec une jolie histoire qui nous entraîne et des acteurs beaux à souhait et qui fait plaisir. Les scènes d'amours sont belles sans retenues comme parfois tout en étant délicates avec des éclairages sur les corps magnifiques.Des personnages attachants . Je conseille
Un grand vent de romanesque souffle sur ce très beau mélodrame italien de Ferzan Ozpetek. Habitué à nous offrir de tels films, entre « Tableau de famille » au début de sa carrière ou plus récemment le très beau « Pour toujours », il signe ici sa première réalisation pour une plateforme et on regrette de ne pas avoir découvert ce beau film sur grand écran. Le cinéaste d’origine turc et exilé en Italie a toujours laissé poindre une sensibilité gay qui imprègne une bonne partie de son œuvre et « Nuovo Olimpo » ne fait pas exception à la règle. En nous contant, sur une bonne trentaine d’années, l’histoire d’amour manquée entre deux hommes à la sexualité libre (l’un comme l’autre ont une sexualité ambivalente où les femmes ne sont pas exclues, rendant le tout moins ancré dans le film de niche gay), il nous subjugue durant près de deux heures. Enfin, surtout dans le premier tiers qui est le point fort du film. Et qui en devient aussi conséquemment sa petite faiblesse. En effet, les quarante premières minutes qui narrent la rencontre de ces deux jeunes hommes dans un cinéma interlope de la fin des années 70, le Nuovo Olimpo, convoque aussi bien le « Cinema Paradiso » de Guiseppe Tornatore que tout un pan de l’âge d’or du cinéma italien. Les deux acteurs sont sublimes et leur alchimie est palpable sur chaque coin de la pellicule. On croit en leur coup de foudre qui transpire à l’écran et les scènes de sexe sont aussi belles, simples et pudiques que pouvaient l’être celles de l’autre superbe romance gay, plus axée sur la comédie, de l’an passé : « White Red and Royal Blue ». Le cadre de ce cinéma où les hommes gays se draguent est rare et précieux et la Rome d’antan est filmée de manière sublime. On est conquis, c’est beau, c’est fort, c’est puissant et on frémit de les voir se mettre ensemble. Puis, le scénario les sépare et le reste du long-métrage passe son temps à concevoir des rendez-vous manqués pour nous conter une belle histoire d’amour – toute aussi manquée - qui perd (un peu) de sa force originelle.
Dix ans plus tard, puis sur différentes périodes jusqu’à 2015, on suit donc ces deux hommes que la vie a séparé se louper à différentes reprises. « Nuovo Olimpo » évolue dans le milieu du cinéma et dans une Rome flamboyante et chic mais qui ne verse pas non plus dans le cliché de carte postale. En partie autobiographique, le film nous imprègne d’un certain goût de nostalgie qui culmine lors d’un final rêvé magnifique et troublant, de l’acabit du début et que n’aurait pas renié un certain Sorrentino du monstre « La Grande Bellezza », tout en évitant le happy end, ce qui le rend encore plus intense. Les seconds rôles féminins sont également impeccables, de la meilleure amie à la femme aimante qui finit par tout comprendre. C’est juste mais parcouru aussi d’une force tragique indéniable. Mais celle qui attire tous nos suffrages est celle qui joue Titi, la caissière du cinéma. Un personnage que n’aurait pas renié Almodovar (à qui l’on pense beaucoup en version italienne et un peu moins colorée ici). Ce personnage, Ozpetek lui dédie d’ailleurs son film, preuve qu’elle l’a marqué. On aurait aimé que les deux hommes se retrouvent un peu avant mais sans cela ce ne serait pas un mélodrame mais une comédie romantique. En tous les cas, « Nuovo Olimpo » nous touche, nous bouleverse et se suit avec grand plaisir, preuve du renouveau récent d’un cinéma italien en pleine possession de ses moyens. Et que dire du charme incandescent de Andrea Di Luigi et surtout Damiano Gavino qui irradie cette histoire filmée avec élégance et raffinement. Dommage donc que les meilleurs moments se situent au début, relâchant un tout petit peu notre passion en cours de route.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Dix ans plus tard, puis sur différentes périodes jusqu’à 2015, on suit donc ces deux hommes que la vie a séparé se louper à différentes reprises. « Nuovo Olimpo » évolue dans le milieu du cinéma et dans une Rome flamboyante et chic mais qui ne verse pas non plus dans le cliché de carte postale. En partie autobiographique, le film nous imprègne d’un certain goût de nostalgie qui culmine lors d’un final rêvé magnifique et troublant, de l’acabit du début et que n’aurait pas renié un certain Sorrentino du monstre « La Grande Bellezza », tout en évitant le happy end, ce qui le rend encore plus intense. Les seconds rôles féminins sont également impeccables, de la meilleure amie à la femme aimante qui finit par tout comprendre. C’est juste mais parcouru aussi d’une force tragique indéniable. Mais celle qui attire tous nos suffrages est celle qui joue Titi, la caissière du cinéma. Un personnage que n’aurait pas renié Almodovar (à qui l’on pense beaucoup en version italienne et un peu moins colorée ici). Ce personnage, Ozpetek lui dédie d’ailleurs son film, preuve qu’elle l’a marqué. On aurait aimé que les deux hommes se retrouvent un peu avant mais sans cela ce ne serait pas un mélodrame mais une comédie romantique. En tous les cas, « Nuovo Olimpo » nous touche, nous bouleverse et se suit avec grand plaisir, preuve du renouveau récent d’un cinéma italien en pleine possession de ses moyens. Et que dire du charme incandescent de Andrea Di Luigi et surtout Damiano Gavino qui irradie cette histoire filmée avec élégance et raffinement. Dommage donc que les meilleurs moments se situent au début, relâchant un tout petit peu notre passion en cours de route.
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Ce n est pas désagréable à suivre mais le tout manque pas mal d émotions. Le scénario ne tient pas sur cette relation manquée. J ai été beaucoup plus touché par d autres films traitant quasiment du même sujet . Rien à dire sur la réalisation ni les comédiens mais le tout manque d âme.
En 1978, le réalisateur d'origine stambouliote Ferzan ÖZPETEK arrive à Rome. Et c’est exactement à ce moment-là que se déroule son film semi-autobiographique, qu’il a réalisé pour la plateforme mondiale de streaming NETFLIX.
A la fin des années 1970, Rome et sa CINECITTA étaient le centre de l'industrie cinématographique européenne. La réalisation de films devient un peu plus difficile (notamment en raison de la popularité croissante de la télévision en Italie), mais CINECITTA peut encore s'appuyer sur les triomphes du passé. Des classiques comme IL GIARDINO DEI FINZI-CONTINI montrent la résolue Titti (grande : Luisa RANIERI) dans son cinéma d'art et d'essai NUOVO OLIMPO, au nord-est de Rome. Le cinéma est particulièrement apprécié comme lieu de rencontre des hommes homosexuels qui utilisent les toilettes pour de longues dragues. L'étudiant en cinéma Enea (Damiano GAVINO) et l'étudiant en médecine Pietro (Andrea Di LUIGI) apprennent également à se connaître et à s'aimer. Le début d'un grand amour ! Mais les temps à Rome à l'époque étaient extrêmement compliqués pour diverses raisons, comme nous le savons grâce à de nombreux films de genre d'ItaloCinema. A cause d'une coïncidence particulièrement stupide, les deux jeunes hommes se perdent de vue. Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’ils se retrouvèrent dans des circonstances dramatiques. L'ophtalmologiste Pietro est désormais marié à la belle Giulia (Greta SCARANO), et le célèbre réalisateur Enea est en couple avec le robuste Antonio (Alvise RIGO)...
De belles images de Rome (tournées principalement dans le quartier du Monte Sacro sur la rive orientale du Tibre), une histoire d'amour romantique entre deux hommes et un regard merveilleusement nostalgique sur le monde du cinéma italien ! Malgré des faiblesses mineures dans le scénario, Ferzan ÖZPETEK a réussi à créer un regard féerique sur une époque révolue.
A la fin des années 1970, Rome et sa CINECITTA étaient le centre de l'industrie cinématographique européenne. La réalisation de films devient un peu plus difficile (notamment en raison de la popularité croissante de la télévision en Italie), mais CINECITTA peut encore s'appuyer sur les triomphes du passé. Des classiques comme IL GIARDINO DEI FINZI-CONTINI montrent la résolue Titti (grande : Luisa RANIERI) dans son cinéma d'art et d'essai NUOVO OLIMPO, au nord-est de Rome. Le cinéma est particulièrement apprécié comme lieu de rencontre des hommes homosexuels qui utilisent les toilettes pour de longues dragues. L'étudiant en cinéma Enea (Damiano GAVINO) et l'étudiant en médecine Pietro (Andrea Di LUIGI) apprennent également à se connaître et à s'aimer. Le début d'un grand amour ! Mais les temps à Rome à l'époque étaient extrêmement compliqués pour diverses raisons, comme nous le savons grâce à de nombreux films de genre d'ItaloCinema. A cause d'une coïncidence particulièrement stupide, les deux jeunes hommes se perdent de vue. Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’ils se retrouvèrent dans des circonstances dramatiques. L'ophtalmologiste Pietro est désormais marié à la belle Giulia (Greta SCARANO), et le célèbre réalisateur Enea est en couple avec le robuste Antonio (Alvise RIGO)...
De belles images de Rome (tournées principalement dans le quartier du Monte Sacro sur la rive orientale du Tibre), une histoire d'amour romantique entre deux hommes et un regard merveilleusement nostalgique sur le monde du cinéma italien ! Malgré des faiblesses mineures dans le scénario, Ferzan ÖZPETEK a réussi à créer un regard féerique sur une époque révolue.
Tout simplement superbe film qui retrace parfaitement les années 1970 dans sa première partie. Les deux acteurs incarnent avec sincérité chacun de leur rôle et le jeu des personnages secondaires est excellent. Belle narration émouvante d'une rupture non souhaitée et de son lot de souvenirs et de regret.
Un sous Almodovar. Thème, musique. Personnages colorés (la caissière du cinéma), scène de sexe entre homme ...Ça se laisse regarder mais on est bien loin du génie madrilène...
Avec comme point d'ancrage un cinéma de quartier de Rome, la naissance d'une romance brutalement inachevée par les hasards de la vie. Il y a des histoires d'amour qui marquent à jamais et hantent l'esprit. Ainsi, ce drame se déroule sur une trentaine d'années, fortement teinté de regrets et de nostalgie. Convenu sous certains aspects, ce film pudique est tout de même émouvant.
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