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J'ai adoré ce film qui se veut un hommage au surréalisme du peintre Dali.
J'ai aimé les changements de comédiens qui incarne le peintre.
J'ai adoré Galla, la muse : sa stature, son impassibilité. Et j'ai aimé la bonne archétypale.
J'ai moins aimé la journaliste, mais adoré son producteur et ce qu'il dit du monde du cinéma.
J'ai rit avec la salle à chaque fin du rêve du prêtre qui porte un costume d'évêque.
Un film qui fait marcher les méninges : j'adooore.
J'ai aimé les changements de comédiens qui incarne le peintre.
J'ai adoré Galla, la muse : sa stature, son impassibilité. Et j'ai aimé la bonne archétypale.
J'ai moins aimé la journaliste, mais adoré son producteur et ce qu'il dit du monde du cinéma.
J'ai rit avec la salle à chaque fin du rêve du prêtre qui porte un costume d'évêque.
Un film qui fait marcher les méninges : j'adooore.
Sylvain P
5 acteurs prêtent leurs traits à Salvador Dali. Le tout dans une comédie absurde qui ne fait pas du tout le portrait de l'artiste, mais imagine des rêves et une interviews sans queue ni tête. C'est inégal (certains des 5 sont bien plus faibles), parfois drôle, parfois consternant, et on se demande bien en en sortant ce qu'on en retire. Bref, on rit un peu et le film est court, ça fait déjà deux qualités appréciables.
L'exercice volontairement pompeux auquel s'est adonnée cette brochette d'acteurs – interpréter Dali – nous nourrit d'exubérance jusqu'à l’écœurement. Si l'on peut y voir une critique avisée de l'industrie cinématographique, à travers les caprices d'une star ou, pire encore, la crispation du producteur, on finit par se lasser du récit, la faute à un effet de répétition appuyé où les rêves s'imbriquent les uns dans les autres – idée qui n'est pas sans rappeler un film nolanien confus en raison de ce même procédé.
Finalement, on retiendra surtout l'interprétation d'Anaïs Demoustier, qui surnage par sa sobriété dans ce méli-mélo grandiloquent.
Finalement, on retiendra surtout l'interprétation d'Anaïs Demoustier, qui surnage par sa sobriété dans ce méli-mélo grandiloquent.
Pour celui qui a approché l'oeuvre de Dali à Figueras, en visitant ses maisons en catalogne, le film permet de retrouver son âme.
Tout est delirant, dérangeant, humoristique à son image. On se laise surprendre, emmener par la poesie du personnage.
Ce film est une reussite, Dali nous interpelle. Il donne envie de se replonger dans ses oeuvres et le re-découvrir. Un film artistisque et creatif, Bravo !
Tout est delirant, dérangeant, humoristique à son image. On se laise surprendre, emmener par la poesie du personnage.
Ce film est une reussite, Dali nous interpelle. Il donne envie de se replonger dans ses oeuvres et le re-découvrir. Un film artistisque et creatif, Bravo !
Assez déçue par cette histoire qui part dans tous les sens, pr cette idée de 5 interprètes du personnage Dali(Baer seul aurait été très bien), j'aurais préféré des délires autres, style " pluie de chiens", moi qui suis fan de Dali(reconnu sa maison à Portlligat, une merveille !), bof bof cette idée du tableau du rêve du curé... film bâclé, après la pepite Yannick, dommage!
Ennuyeux
spoiler:
Le film ne démarre jamais, de bons acteurs ne suffisent pas à emporter le spectateur dans cette histoire
Dommage de ne pas retrouver l’univers Daaali
Le film ne démarre jamais, de bons acteurs ne suffisent pas à emporter le spectateur dans cette histoire
Dommage de ne pas retrouver l’univers Daaali
Film dont le parti pris était alléchant : voir le monde à travers les yeux de Dali, artiste surréaliste qui joue à être Dali et qui vit à sa guise en Absurdie...
Mais à force de retour en arrière, de rêves, de situations surréalistes et absurdes, on se lasse vite voire très vite. Certes des références à son univers, ses oeuvres, et l'idée de faire jouer 4 acteurs pour le même rôle en même temps était originale mais dans un scénario heu inexistant... Comme si la caméra filmait toute seule des acteurs qui ne jouent qu'une seule partition.
Bref, heureusement que la durée du film est courte car on ne perd qu'une heure vingt de notre temps.
Mais à force de retour en arrière, de rêves, de situations surréalistes et absurdes, on se lasse vite voire très vite. Certes des références à son univers, ses oeuvres, et l'idée de faire jouer 4 acteurs pour le même rôle en même temps était originale mais dans un scénario heu inexistant... Comme si la caméra filmait toute seule des acteurs qui ne jouent qu'une seule partition.
Bref, heureusement que la durée du film est courte car on ne perd qu'une heure vingt de notre temps.
Le réalisateur s'amuse à faire tout ce qui lui passe par la tête, le spectateur essaye vainement d'y trouver un semblant d'humour ou d'intérêt.
Juste pour faire monter la note car le film le mérite amplement. Qui est le plus fou Dali ou Dupieux ? Qui est au service de l’autre ? De superbes interprétations… allez-y sans vous poser de questions.
Dali par Quentin Dupieux.
Ou comment tailler un gentil costard à un des plus excentriques artistes contemporains. Nul trace de talent de Dali dans le déroulé du récit, Dupieux par la magie d'une inception, à la Christopher Nolan, nous fait vivre la boucle infinie et repetitive du principal talent et même principale limite de l'artiste, l'excentricité, presque de la folie.
Jonathan Coen est extrêmement bon, Édouard Baer repond présent avec sa maestria habituelle.
C'est un film et une narration sur un personnage taillé pour Dupieux, comment nous rendre dingue avec la repetitivité du vide (vide du personnage de Dali qui tourne en boucle dans ce qu'il a à offrir ou raconter) et de l'absurde, comme cette musique entêtante, répétitive au possible mais géniale car epousant complètement le concept, qu'on entendra sans discontinuer pendant toute la durée du film.
Loin d'être les lettres d'amour de fans que peuvent être un Aline ou Jean-Philippe, ce film peu tendre avec les qualités d'artiste de Dali, dépeind de la meilleur manière sa folie et peut être son véritable génie, en nous la faisant vivre directement dans sa tête. Le personnage de Dali est sympathique pour Dupieux par son caractère si singulier, car le film le fait ressentir, en retranscrivant un homme déroutant, illogique, schizophrène (un peu) mais quelque part attachant.
Attention film absurde mais très drôle.
Très bon Dupieux.
Ou comment tailler un gentil costard à un des plus excentriques artistes contemporains. Nul trace de talent de Dali dans le déroulé du récit, Dupieux par la magie d'une inception, à la Christopher Nolan, nous fait vivre la boucle infinie et repetitive du principal talent et même principale limite de l'artiste, l'excentricité, presque de la folie.
Jonathan Coen est extrêmement bon, Édouard Baer repond présent avec sa maestria habituelle.
C'est un film et une narration sur un personnage taillé pour Dupieux, comment nous rendre dingue avec la repetitivité du vide (vide du personnage de Dali qui tourne en boucle dans ce qu'il a à offrir ou raconter) et de l'absurde, comme cette musique entêtante, répétitive au possible mais géniale car epousant complètement le concept, qu'on entendra sans discontinuer pendant toute la durée du film.
Loin d'être les lettres d'amour de fans que peuvent être un Aline ou Jean-Philippe, ce film peu tendre avec les qualités d'artiste de Dali, dépeind de la meilleur manière sa folie et peut être son véritable génie, en nous la faisant vivre directement dans sa tête. Le personnage de Dali est sympathique pour Dupieux par son caractère si singulier, car le film le fait ressentir, en retranscrivant un homme déroutant, illogique, schizophrène (un peu) mais quelque part attachant.
Attention film absurde mais très drôle.
Très bon Dupieux.
L'enchaînement des films a un rythme effréné n'est vraiment pas un gage de réussite.L'absurbe façon Dupieux n'autorise que longueurs....et regrets.Encore plus pour Dali.A voir une fois sur petit ecran pour la curiosité,et ce faire son propre avis.
Quentin Dupieux a su se renouveler dans son propre genre. Il joue avec la temporalité et les codes du récit d'une façon charmante, mélangeant le rêve et la réalité. Au passage, il critique la toxicité du monde du cinéma dans un éclat de rire. Une originalité qui n'est pas feinte ou superficielle mais réfléchie, et qui fonctionne, tout en restant dans l'univers du peintre - qui n'échappe pas non plus à la critique.
Cinq acteurs différents pour jouer Dali, et qui tapent sur le même clou pendant deux heures, c'était bien la peine d'en engager plusieurs : roulement des R et yeux exorbités, on dirait une improvisation de cours d'art dramatique. De tous les films sur la mise en abyme, c'est de loin le plus ennuyeux.
Pourquoi valoriser des personnages aussi insupportables ? Pas drôle 99% du temps, sentiment de longueur, on tourne en rond (c'est fait exprès) avec un mégalo qu'on a envie de détester... Bref on a connu bien mieux chez Dupieu
Un artiste surréaliste pour un film à l'humour surréaliste. A la fois poétique et drôle.
Ce film a de quoi surprendre ceux qui ne connaisse pas Quentin Dupieux mais ne surprendra pas ceux qui sont déjà fan. Malgré cela, un film agréable.
Bref, un film à voir.
Ce film a de quoi surprendre ceux qui ne connaisse pas Quentin Dupieux mais ne surprendra pas ceux qui sont déjà fan. Malgré cela, un film agréable.
Bref, un film à voir.
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