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En s’emparant pour la première fois d’une figure célèbre, Quentin Dupieux concocte à nouveau la recette désormais bien connue de son cinéma, un casting détonnant au service d’un film concept, drôle et déconstruit. Il pousse cette fois-ci tous ces curseurs au maximum et dans une outrance assumée, parvient à saisir une certaine vérité de Salvador Dali dans ce portrait-hommage.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cette focalisation sur une entreprise de mise en image fait sens, car les films de Dupieux entretiennent une parenté plus profonde avec la figure publique de Dalí qu’avec sa peinture: rien ne brouille mieux les frontières entre le réel et l’imaginaire qu’une vie elle-même faite œuvre.
Le cinéaste fait du cinéma avec un mix de ciseaux et de fantaisie, découpant la réalité à la manière d'un collage visuel, créant un personnage puzzle constitué de pièces désordonnées. Dali était surréaliste, Dupieux lui est dadaïste.
En faisant de chaque plan la pièce d’un puzzle absurde, Quentin Dupieux nous donne envie de recomposer l’image finale qu’il se fait de Dali. Son film le plus ludique depuis un moment.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le tout rythmé par une ritournelle enivrante signée Thomas Bangalter (Daft Punk) mais surtout enrichi d’une étude sur le statut du génie, voire sur la faculté du quidam d’en être un.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ce Dali dans tous ses états souffle sur la poussière des musées, invente son propre personnage, bouscule sa légende. Entre deux éclats de rire, on percevra cette chose si rare, l'amour du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Un esprit buñuelien plane sur cette évocation libre du fantasque maître catalan. Dalí est une figure de la commedia dell’arte, de la comédie humaine. Il n’est pas forcément un grand peintre, mais il est pour Dupieux un personnage, un inoubliable Polichinelle. Une figure du passé.
Délirant autour de la figure du peintre surréaliste, bringuebalée dans une interprétation à cinq têtes, le dernier long du cinéaste subvertit la temporalité par une esthétique du ressassement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il ne faut donc pas se fier à ses airs de vieux gamin inconséquent (il fêtera ses 50 ans en avril) : Dupieux connaît ses classiques, et il revendique en outre l’influence de Luis Buñuel, un complice historique de Dalí, dans ce film malicieux.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
"Daaaaaalí !" est tout à la fois une considération agaçante et quelque peu prétentieuse des rapports du cinéaste au monde du cinéma, dans lequel les vrais artistes seront toujours, par essence et malgré leurs défauts, des génies incompris, et un regard attachant sur les origines de l'art et de l'esthétique de Dupieux, de plus en plus reconnaissable et réjouissante de film en film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Fourmillant de piques bien senties contre l’égocentrisme hors-sol de l’artiste et le mépris arrogant d’une pseudo-élite culturelle, l’exercice de style apparaît comme le négatif de « Yannick » : moins drôle que névrotique, hanté par le complexe de l’imposteur, plus fort sur la forme et rapporté à l’œuvre du réalisateur que sur le fond, un peu court.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans des boucles temporelles et des récits gigognes, Quentin Dupieux dessine aussi en creux la peur du temps qui passe et la terreur de la mort. Comme toujours, son film suscitera des avis tranchés, le rejet ou l’adhésion de spectateurs prêts à accepter la folie d’une construction labyrinthique qui jamais ne les perd.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
[...] Jonathan Cohen et Édouard Baer prennent un plaisir évident à offrir leur (immense) talent comique à un créateur aussi insaisissable qu'attachant.
Tout en riant à des gags démentiels, les fans reconnaîtront donc le thème de l'horreur (ou non) du vieillissement, en passe depuis "Incroyable mais vrai" de devenir l'obsession monomaniaque de Dupieux.
Ainsi en est-il de ce Dupieux comme tant d'autres de ses films : quelques expériences surréalistes réussies, quelques autres sans intérêt, pour une cuvée annuelle somme toute récréative et plutôt stimulante au milieu de films trop raisonnables.
Loin des conventions de la biographie, Daaaaaali ! cherche à capturer la personnalité de son sujet et le fait sans compromis, quitte à, par moments, perdre le spectateur dans son foisonnement d'idées et d'intentions.
S’opère alors une mise en abîme bricolo-rigolote autour de la représentation et des traces qu’elle laisse sur un tableau, un petit ou un grand écran, un rêve voire sur le visage des multiples acteurs qui incarnent le rôle-titre… Un peu partout donc, sauf peut-être dans l’imaginaire du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
Un hommage très réussi à la personnalité la plus farfelue du 20ème siècle. Edouard Baer et Jonathan Cohen sont à mourir de rire.
20 Minutes
Le réalisateur rend un hommage malicieux à Savaldor Dalí dans ce film original.
Bande à part
En s’emparant pour la première fois d’une figure célèbre, Quentin Dupieux concocte à nouveau la recette désormais bien connue de son cinéma, un casting détonnant au service d’un film concept, drôle et déconstruit. Il pousse cette fois-ci tous ces curseurs au maximum et dans une outrance assumée, parvient à saisir une certaine vérité de Salvador Dali dans ce portrait-hommage.
CNews
Les histoires s’entremêlent, les répliques absurdes fusent et la magie semble opérer autour de cette nouvelle œuvre de Mr. Oizo [...].
Cahiers du Cinéma
Cette focalisation sur une entreprise de mise en image fait sens, car les films de Dupieux entretiennent une parenté plus profonde avec la figure publique de Dalí qu’avec sa peinture: rien ne brouille mieux les frontières entre le réel et l’imaginaire qu’une vie elle-même faite œuvre.
CinemaTeaser
Drôle, bizarre et totalement génial.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste fait du cinéma avec un mix de ciseaux et de fantaisie, découpant la réalité à la manière d'un collage visuel, créant un personnage puzzle constitué de pièces désordonnées. Dali était surréaliste, Dupieux lui est dadaïste.
Ecran Large
En faisant de chaque plan la pièce d’un puzzle absurde, Quentin Dupieux nous donne envie de recomposer l’image finale qu’il se fait de Dali. Son film le plus ludique depuis un moment.
Elle
Un anti-biopic drôle, fantasque et foutraque.
Franceinfo Culture
"Daaaaaali !" a toute la cohérence surréaliste d’un tel projet, avec un Quentin Dupieux au mieux de sa forme.
La Voix du Nord
Le tout rythmé par une ritournelle enivrante signée Thomas Bangalter (Daft Punk) mais surtout enrichi d’une étude sur le statut du génie, voire sur la faculté du quidam d’en être un.
Le Dauphiné Libéré
Une excentricité dalinienne, à la fois référentielle et inclassable !
Le Figaro
Ce Dali dans tous ses états souffle sur la poussière des musées, invente son propre personnage, bouscule sa légende. Entre deux éclats de rire, on percevra cette chose si rare, l'amour du cinéma.
Le Monde
Daaaaaalí ! éclabousse avec joie, célèbre son icône autant qu’il la ratatine.
Le Parisien
Un film délirant, savoureux, un peu fou… comme Salvador Dali.
Les Echos
Malgré ses bégaiements, un film bref, amusant et malin.
Les Fiches du Cinéma
La nouvelle fantaisie de Dupieux, inégale par endroits, brille par son esprit buñuelien.
Les Inrockuptibles
Un esprit buñuelien plane sur cette évocation libre du fantasque maître catalan. Dalí est une figure de la commedia dell’arte, de la comédie humaine. Il n’est pas forcément un grand peintre, mais il est pour Dupieux un personnage, un inoubliable Polichinelle. Une figure du passé.
Libération
Délirant autour de la figure du peintre surréaliste, bringuebalée dans une interprétation à cinq têtes, le dernier long du cinéaste subvertit la temporalité par une esthétique du ressassement.
Marianne
Il ne faut donc pas se fier à ses airs de vieux gamin inconséquent (il fêtera ses 50 ans en avril) : Dupieux connaît ses classiques, et il revendique en outre l’influence de Luis Buñuel, un complice historique de Dalí, dans ce film malicieux.
Paris Match
Un film kaléidoscope à l'écriture incroyable, aux jeux de miroirs, aux champs-contrechamps délirants, tenus de bout en bout.
Sud Ouest
Une évocation kaléidoscopique et géniale, pour synthétiser l’essence de Salvador Dalí.
Télé 7 Jours
Un régal absolu de poésie absurde et de comédie pure, qui nous met la tête à l’envers.
Télé Loisirs
Un labyrinthe surréaliste savamment mis en scène par un cinéaste peut-être aussi fou (et mégalo ?) que celui à qui il rend hommage.
Télérama
Quand le cinéaste de l’absurde s’en prend à l’ego démesuré de l’artiste espagnol, cela donne un film surréaliste.
Culturopoing.com
"Daaaaaalí !" est tout à la fois une considération agaçante et quelque peu prétentieuse des rapports du cinéaste au monde du cinéma, dans lequel les vrais artistes seront toujours, par essence et malgré leurs défauts, des génies incompris, et un regard attachant sur les origines de l'art et de l'esthétique de Dupieux, de plus en plus reconnaissable et réjouissante de film en film.
Femme Actuelle
Une sorte de grand vertige tragi-comique.
L'Obs
Fourmillant de piques bien senties contre l’égocentrisme hors-sol de l’artiste et le mépris arrogant d’une pseudo-élite culturelle, l’exercice de style apparaît comme le négatif de « Yannick » : moins drôle que névrotique, hanté par le complexe de l’imposteur, plus fort sur la forme et rapporté à l’œuvre du réalisateur que sur le fond, un peu court.
La Croix
Dans des boucles temporelles et des récits gigognes, Quentin Dupieux dessine aussi en creux la peur du temps qui passe et la terreur de la mort. Comme toujours, son film suscitera des avis tranchés, le rejet ou l’adhésion de spectateurs prêts à accepter la folie d’une construction labyrinthique qui jamais ne les perd.
Le Journal du Dimanche
[...] Jonathan Cohen et Édouard Baer prennent un plaisir évident à offrir leur (immense) talent comique à un créateur aussi insaisissable qu'attachant.
Le Point
On s'amuse beaucoup à ce jeu de piste orchestré avec brio par un cinéaste qui revendique la légèreté dans un monde pesant.
Mad Movies
Tout en riant à des gags démentiels, les fans reconnaîtront donc le thème de l'horreur (ou non) du vieillissement, en passe depuis "Incroyable mais vrai" de devenir l'obsession monomaniaque de Dupieux.
Transfuge
Ainsi en est-il de ce Dupieux comme tant d'autres de ses films : quelques expériences surréalistes réussies, quelques autres sans intérêt, pour une cuvée annuelle somme toute récréative et plutôt stimulante au milieu de films trop raisonnables.
Voici
Loin des conventions de la biographie, Daaaaaali ! cherche à capturer la personnalité de son sujet et le fait sans compromis, quitte à, par moments, perdre le spectateur dans son foisonnement d'idées et d'intentions.
aVoir-aLire.com
Comme à son habitude Quentin Dupieux offre un film décalé et drôle, dont le comique de répétition nuit parfois à l’inventivité du propos.
Première
S’opère alors une mise en abîme bricolo-rigolote autour de la représentation et des traces qu’elle laisse sur un tableau, un petit ou un grand écran, un rêve voire sur le visage des multiples acteurs qui incarnent le rôle-titre… Un peu partout donc, sauf peut-être dans l’imaginaire du spectateur.
Critikat.com
Mr Oizo est-il devenu Mr Oisif ? Dupieux continue de s’amuser mais il semble aujourd’hui un peu seul à bord.