Derniers Avis : Longlegs - Page 7

Déception.
Le film ne tient aucune de ses promesses.
Enquête policière bidon résolue en 2 scènes, scène d'épouvante ou suspens qui tombent à l'eau à chaque fois. Histoire surtout la fin à dormir debout. Et le jeu de Nicolas Cage en mode joker de série b.
Ça lorgne vers zodiac, sans en avoir l'épaisseur ni la virtuosité c'est chiant comme la pluie.
Seul l'ambiance est correcte mais c'est tourné dans l'obscurité à 80%. À éviter.

Longlegs est un film d'atmosphère doté d'une superbe photographie qui évoque, dans sa première partie, fortement le silence des agneaux. C'est froid, lent et dérangeant sans forcément montrer grand chose et cette ambiance fonctionne assez bien durant un temps. Nicolas Cage impressionne en interprétant un personnage monstrueux et burlesque à la fois et apporte beaucoup au trouble ambiant. Pourtant malgré sa belle patine vintage et ses plans fixes envoûtant, longlegs finit assez vite par ennuyer. D'un point de vue scénaristique, le film est faible, les interaction entre les personnages peu crédible et la résolution du film très déceptif. Le surnaturel prend toute la place au détriment de la partie thriller qui devient totalement bancale. Finalement, Longlegs a trop hésiter entre les genres, devient bancal. On sort peu à peu du film dont le dénouement finit par ne plus nous importer. Après une première demi heure remarquable, Longlegs commence à tourner en rond pour finir dans l'horreur post exorciste la plus convenu. Perkins avait tout pour réaliser un grand film de serial killer mais en préférant l'argument surnaturel à l'ambiguïté, il rate le coche. Dommage.

Vraiment nul,
Honnêtement j’ai pas du tout aimée
J’ai perdu 1h30 de mon temps vraiment déçu
Je ne conseil pas

Intéressant et bien joué.
L' extrémisme tentaculaire et la radicalisation rampante de l' humanité finiront mal; le satanisme n' est qu'un. exemple du désespoir qui envahit notre monde

Epouvante de Oz Perkins ( oui le fils d'Anthony ), dans lequel vous ne ferez qu'entrevoir Nicolas Cage - Dommage. Alors accrochez vous, car si vous aimez le genre, vous serez servis, avec quelques probables sursauts. On suit la jeune du FBI Lee Harker ( Maika Monroe ) entrer progressivement dans un engrenage dont elle est beaucoup plus impliquée que prévu. Dotée de capacités hors norme ( style HPI ), le suspense est bien mis en scène, bien que certains flous subsistent et que l'ensemble reste assez inégal....!!**

Gloire à Satan. J'ai pas trop compris le fil du film. Mais pour moi, il est très inspiré du film "SMILE". J'avais pas reconnu de suite Nicolas Cage dans son rôle. C'était un peu mou et long. Ça méritait un meilleur détails

A se que je vois la film n'a pas trop plus, pourtant moi je lais trouvé super bien, stressant, et au contraire de ce que les gens dise je ne l'ai pas trouvé si long que ça, et surtout de très très bon acteurs... bref... très bon film, Bon scénario, bon acteurs= bon film

Effrayant. Ça a marché sur moi. L'ambiance, les couleurs, la musique, Nicolas Cage enfin tout a marché. Il m'a marqué. Même si l'histoire est un peu incohérente et prévisible mais tout de même c'est vraiment bien. Absolument pas déçu. Loin de là. Il est terrorisant.

Oz Perkins réalise là sont film le plus personnel en rendant hommage à la filmographie de son père marqué par Psychose (et régle ses comptes). Sûrement le thriller le plus original de l'année; Un vrai thriller aux inspirations de Lynch, ou Kubrick dans la narration surtout. Une histoire envoûtante où Nicolas Cage retrouve un vrai plaisir d'interprétation diabolique. Une fin certe prévisible mais tellement plaisante à suivre. Une réussite artistique totale. BRAVO.

Film assez divertissant, petite tension tenue, mais symptomatique des films d’horreur actuel, peut de mise en scène, film lent pour une fin expéditive..

décevant, l'histoire n'a ni queue ni tête, encore des zinzins ou des démons dont on ne comprends rien quant à leur motivation, ce qui sauve un peu le film c'est le côté enquête policière mais ce n'est pas assez exploiter pour sortir le spectateur de la léthargie dans laquelle il sombre

Longlegs, réalisé par Osgood Perkins, est un film d'horreur qui promet plus qu'il ne livre. Bien qu'il mette en vedette les talents de Maika Monroe et Nicolas Cage, la structure narrative et certains choix artistiques laissent un goût mitigé.

L'intrigue suit l'agent du FBI Lee Harker (Monroe) dans sa traque d'un tueur en série occultiste surnommé Longlegs (Cage), responsable de meurtres-suicides dans des familles de l'Oregon. L'idée d'un meurtrier utilisant des objets possédés pour influencer ses victimes est intrigante et aurait pu donner lieu à un récit captivant. Cependant, la réalisation échoue à maintenir une tension constante et à exploiter pleinement son potentiel narratif.

Le film s'ouvre sur une scène mystérieuse et troublante qui met en place une atmosphère inquiétante. Malheureusement, cette ambiance ne parvient pas à se maintenir tout au long du film. Perkins tente de combiner différents éléments – horreur psychologique, enquête policière, et rituels sataniques – mais cette ambition se traduit par un mélange parfois confus et désordonné. Certains moments clés sont traités avec une telle subtilité qu'ils en deviennent obscurs, ce qui peut désorienter le spectateur.

Nicolas Cage, fidèle à son style, livre une performance intense et excentrique. Son interprétation de Longlegs est mémorable, bien qu'à certains moments elle frôle le caricatural. Maika Monroe, de son côté, incarne avec conviction une agente du FBI aux prises avec ses propres démons. Le casting secondaire, comprenant Blair Underwood et Alicia Witt, apporte un soutien solide, bien que leurs personnages soient parfois sous-développés.

L'un des points forts du film réside dans sa direction artistique. Les décors, costumes et surtout la cinématographie créent une atmosphère visuellement marquante. La musique composée par Zilgi ajoute une dimension supplémentaire d'étrangeté et de malaise, bien qu'elle soit parfois trop présente, risquant de détourner l'attention de l'intrigue.

En termes de suspense, Longlegs offre quelques moments d'angoisse bien orchestrés, mais ces instants sont trop rares pour maintenir un rythme effréné. Le film souffre d'un certain manque de cohérence narrative spoiler: , et les révélations finales sur l'implication de la mère de Lee semblent précipitées et peu crédibles
. De plus, certains spectateurs pourraient trouver les thèmes occultes et les rituels sataniques trop clichés et déjà vus.

Malgré ces faiblesses, Longlegs n'est pas sans mérite. Il explore des thèmes intéressants sur la culpabilité, le sacrifice et l'héritage familial, mais ces idées sont noyées dans un récit qui manque de clarté et de focus. La campagne marketing agressive et astucieuse du film, bien qu'efficace pour attirer l'attention, crée des attentes élevées que le film ne parvient pas toujours à satisfaire.

En conclusion, Longlegs est un film d'horreur ambitieux mais inégal, qui bénéficie de performances solides et d'une esthétique visuellement captivante. Cependant, son mélange d'éléments narratifs et son exécution parfois maladroite empêchent le film de vraiment se démarquer dans le genre. Pour les amateurs de films d'horreur à la recherche de quelque chose de différent, Longlegs peut valoir le détour, mais il ne réussira probablement pas à laisser une empreinte durable.

Thriller horrifique très esthétique sur la forme (couleurs, plans) mais le scénario est banal et parfois ne tient pas la route. La performance de Nicolas cage est à souligner.

Très bon film ! Mélangeant Thriller avec une dose d’épouvante ! Scénario bien ficelée et mention spéciale à Nicolas Cage, qu’on voit très peu mais qui crève l’écran à chaque apparition ! Mention spéciale à l’intro du film … je vous laisse regarder ;) !

Il y a six mois je tombais nez à nez avec un superbe petit teaser de 30 secondes pour un film dont je n'avais jamais entendu parler auparavant. Une conversation au téléphone, deux plans fixes, rien de plus rien de moins. Et surtout cette phrase qui m'a hanté depuis, "this is not m'y daughter".
Après quelques recherches les noms de Nicolas Cage et de Maika Monroe sont aussitôt ressortis, de quoi susciter l'intérêt. Un intérêt qui n'a jamais faibli depuis, la promotion du film l'entourant d'une certaine aura, sans qu'on ne puisse jamais comprendre les tenants et aboutissants de ce projet. Seuls des bouts d'intrigues et quelques images peuvent être entrevues au fil des semaines par les bandes annonces. Un véritable mystère s'installe, à grand renfort de messages codés et d'affiches d'un rouge pétant.

Après ces 1h35 j'ai cru me réveiller d'un long cauchemar comme je pouvais en faire étant petit ou lors de nuits agitées lorsque la fièvre monte. Des scènes horrifiques, des flash rouge sang, un croque mitaine au teint blafard tout droit sorti de mon armoire, et surtout une puanteur de tous les instants, tout cela défile sans que l'on sache ce que l'on a exactement devant les yeux.

Rien à voir avec le silence des agneaux, ce n'est qu'une phrase tapageuse sur une affiche. Même si l'éternelle rengaine du tueur en série sévit ici nous n'avons pourtant aucun contrôle; on ne peut ni connaître la fin, ni les motivations du ou des tueurs. Que c'est rare de nos jours dans le paysage horrifique.

Maika Monroe est superbe en nouvelle recrue du FBI, associable et antipathique, mais c'est bien Nicolas Cage qui remporte la palme, absolument méconnaissable en assassin dont on ne sait strictement rien. Celui-ci déclenche instantanément le frisson dès sa première réplique, "coucou", jusqu'à sa dernière apparition où il nous fixe en clignant de l'oeil. Assurément un futur personnage culte.

Longlegs est donc bâti comme un cauchemar ou un rêve étrange, il n'y a pas à connaître le fin mot de l'histoire puisqu'il n'y en a peut-être pas. Au réveil seules quelques images ou flashs vont nous rester en tête, mais cela suffit pour faire de ce longues jambes une riche expérience qui m'obligera à regarder sous mon lit ce soir avant de me coucher.