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"Je sais que tu n’as pas peur du noir… Parce que c’est toi l’obscurité" (Longlegs)
Thriller “Grand Cru” hautement anxiogène, classé masterclass horrifique (2023) ! Voici mon appellation d’origine contrôlée - puisque je viens de visionner le nouvel effort d'Osgood Perkins intitulé “Longlegs” et j’en frissonne encore. J’avoue ne pas avoir su où j’allais mettre les pieds, car je m’étais interdit de visionner la B.A. En revanche, savoir que Nick Cage allait incarner un tueur en série suffisait à mon bonheur. Et de bonheur, il en fut question tout au long de ce voyage au centre de la folie savamment assaisonné à la sauce horrifico-fantastique. Par un prologue intrigant tourné en format 4/3 façon vieille bobine de film, Oz Perkins (“Gretel et Hansel”) nous plonge dans l’univers singulier d’un Boogeyman sévissant depuis les années 70. Le récit se déroule en 1994, sous l’administration Clinton. Plutôt classique dans la forme, le film débute par un "Cold Case". Ainsi, nous faisons la connaissance de l’agente du FBI Lee Harker (Maïka Monroe) lors d’une interpellation qui vire au drame. Ce personnage torturé a un don de clairvoyance qui permettrait de résoudre une affaire de meurtres imputée à un sérial killer appelé “Longlegs”. Si l’amateur de thriller cartésien risque de décrocher, pour celui qui accepte d’entrer dans un monde occulte, satanique spoiler: dans lequel les messages codés d’un psychopathe seront déjoués grâce aux “Neufs Cercles de l’Enfer” issu de “La Divine Comédie” de Dante
, alors “Longlegs” sera une savoureuse descente dans les limbes cinématographiques…
Thriller “Grand Cru” hautement anxiogène, classé masterclass horrifique (2023) ! Voici mon appellation d’origine contrôlée - puisque je viens de visionner le nouvel effort d'Osgood Perkins intitulé “Longlegs” et j’en frissonne encore. J’avoue ne pas avoir su où j’allais mettre les pieds, car je m’étais interdit de visionner la B.A. En revanche, savoir que Nick Cage allait incarner un tueur en série suffisait à mon bonheur. Et de bonheur, il en fut question tout au long de ce voyage au centre de la folie savamment assaisonné à la sauce horrifico-fantastique. Par un prologue intrigant tourné en format 4/3 façon vieille bobine de film, Oz Perkins (“Gretel et Hansel”) nous plonge dans l’univers singulier d’un Boogeyman sévissant depuis les années 70. Le récit se déroule en 1994, sous l’administration Clinton. Plutôt classique dans la forme, le film débute par un "Cold Case". Ainsi, nous faisons la connaissance de l’agente du FBI Lee Harker (Maïka Monroe) lors d’une interpellation qui vire au drame. Ce personnage torturé a un don de clairvoyance qui permettrait de résoudre une affaire de meurtres imputée à un sérial killer appelé “Longlegs”. Si l’amateur de thriller cartésien risque de décrocher, pour celui qui accepte d’entrer dans un monde occulte, satanique spoiler: dans lequel les messages codés d’un psychopathe seront déjoués grâce aux “Neufs Cercles de l’Enfer” issu de “La Divine Comédie” de Dante
, alors “Longlegs” sera une savoureuse descente dans les limbes cinématographiques…
Une ambiance poisseuse, une tension bien maintenue pour une chasse à l'homme intrigante qui m' a fait penser aux enquêtes de se7en et le silence des agneaux. Malheureusement un peu trop court, cela aurait nécessité un peu plus de fil à retordre dans l'enquête pour maintenir cette tension. Le tueur décide de
spoiler:
donner de gros indices
sans que l'on comprenne bien pourquoi. Cela reste néanmoins à voir pour les amateurs de thriller.
sans que l'on comprenne bien pourquoi. Cela reste néanmoins à voir pour les amateurs de thriller.
De très loin le meilleur film d’horreur vu au cinéma ces dernières années ! Une très belle photo et une tension qui ne redescend pas. C’est assez référencé et en même temps plein d’originalité. Les actrices-eurs sont tous au top.
Hâte de voir le prochain film de Oz Perkins prévu en 2025.
Hâte de voir le prochain film de Oz Perkins prévu en 2025.
Film sympa dans lequel on ne s'ennuie pas. Si on devine une partie du scénario certains aspects sont en revanche bien moins devinable. Bonne ambiance et acteur biens. C'est moyen pour moi car ce type de film épouvante horreur n'est pas mon genre d'affection.
Vraiment pas le film de l'année.
De sacrées longueurs et peu de rebondissements.
Une étoile pour le maquillage de Nicolas Cage tout de même
De sacrées longueurs et peu de rebondissements.
Une étoile pour le maquillage de Nicolas Cage tout de même
C'était incroyablement nul. Les acteurs très mauvais, on arrive à diviner la suite assez facilement.
spoiler:
La histoire avec les poupées
un peu tiré par les cheveux et en plus cela spoiler: fait penser à Anabelle le film d'horreur.
.. Les seule moments qui font peur, c'est sont les bruits très forts. Conclution : c'était tellement mauvais que j'ai rigolais vers le milieu du film.
un peu tiré par les cheveux et en plus cela spoiler: fait penser à Anabelle le film d'horreur.
.. Les seule moments qui font peur, c'est sont les bruits très forts. Conclution : c'était tellement mauvais que j'ai rigolais vers le milieu du film.
Vraiment ordinaire comme film.
L’histoire n’est pas bonne et ce n’est pas un film d’horreur, je n’ai pas aimé la performance de Nicolas Cage
L’histoire n’est pas bonne et ce n’est pas un film d’horreur, je n’ai pas aimé la performance de Nicolas Cage
Longlegs réalisé par Oz Perkins est un film qui met en scène des acteurs exceptionnels comme Nicolas Cage qui est dérangeant dans son rôle et très flippant. Une histoire policière assez folle et intéressante. On est captivé dans le film jusqu’au bout ou la fin m’a extrêmement déçu mais l’ensemble du film reste très bon.
Film dérangeant avec une photographie superbe. Monroe joue très bien. Un film atypique pour le genre.
l'ambiance du film ne ma pas laissé indifférent. la photographie du film est de bonne facture. Bon film du genre.
U.e belle surprise, film dérangeant, déroutant, musique et réalisation plutôt bonnes. Nicolas Cage est fantastique dans ce rôle.
Je me suis rendu au ciné enthousiaste,le film ma maintenu dans la soif de savoir ,mais le dénouement me fait juste penser a un travail d'une IA qui colle des passages hannibal lecter
spoiler:
et annabelle
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Ancré dans un réalisme glaçant, ce récit de tueur en série dérange par une atmosphère lourde, où la tension se fait intenable. L'effroi s'invite à chaque instant, et rarement l'écran m'a suscité pareille terreur.
Si la traque emprunte des chemins classiques, un onirisme étrange murmure apocalypse. Les choix techniques, sombres et précis, enveloppent chaque scène d’un malaise oppressant, où chaque image se métamorphose en cauchemar palpable.
Si la traque emprunte des chemins classiques, un onirisme étrange murmure apocalypse. Les choix techniques, sombres et précis, enveloppent chaque scène d’un malaise oppressant, où chaque image se métamorphose en cauchemar palpable.
Longlegs est différent des films d'horreur "basique", certes on reste sur une Traque mais ce qui est intéressant c'est pas cette traque en elle même mais plutôt de comprendre les motivations du tueur, son personnage est très réussi, Nicolas cage est très convaincant franchement. Il y a une certaine tension constante pendant tout le film et j'ai beaucoup aimé le changement de format d'image, on passe fun format "classique" à un format comme si on filmait avec un Polaroïd c'étais sympa. La fin nous surprend également, elle est efficace. Bon film que je recommande.
Vu avec le BDE de la Fac de Métenpsychose de Paris Assas. Après un démarrage fastidieux, le réalisateur nous entraîne dans un univers glaçant où le pire des prédateurs n’est pas celui qu’on croit. Filmé dans un rythme effréné comme le cinéma de Wilder, les scènes s’enchaînent toujours plus effrayantes. Une partie du BDE quitte la salle totalement terrorisée pour aller siroter une fine au café d’en face le cinéma. Ceux qui restent ont littéralement planté leurs ongles dans les accoudoirs et un assistant polonais a même eu une fuite gênante qui a fait le vide autour de lui. Le suspens est insoutenable malgré l’agitation d’un groupe de jeunes qui visiblement ne sont pas venus voir le film. Une belle suée en sortant de la salle. L’exploitant a perdu une rangée de fauteuils et 2 mètres carrés de moquette. Mais quelle émotion.
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