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Images terrifiantes, tension intenable : ce cinéma-là, qui refuse les moments d'effroi faciles, est inoubliable et sidère bien après le générique de fin.
On ne saurait toutefois que recommander « Longlegs » pour le choc admirable qu'il aura tenté de construire. Celui d'une enquête qui sonde les psychés à la manière d'un « Silence des agneaux », tout en poussant le curseur du glauque à son maximum.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Un peu longuet et mollasson sans pour autant être déplaisant, Longlegs doit beaucoup à son atmosphère hypnotisante ainsi qu’aux performances de ses têtes d’affiche : Maika Monroe (It Follows) et Nicolas Cage, tous deux excellents sous les traits de personnages complexes.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Oz Perkins joue avec les apparitions de Longlegs, multipliant les décadrages et les hors champs comme pour résister à la menace outrancière de l’acteur. Ce thriller élégant assoit son horreur sur des effets sobres où seuls l’ocre et le noir donnent leur teinte aux décors et aux personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sans rien révolutionner, le film réussit son numéro d’équilibriste entre horreur et polar surnaturel, autour d’une jeune flic et d’un serial killer insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette facilité est heureusement gommée par des rebondissements improbables, qui montrent que le cinéma d’horreur ne doit pas forcément se prendre au sérieux pour provoquer le malaise. Et ce n’est pas Nicolas Cage, à contre-emploi en meurtrier clownesque, qui nous persuadera du contraire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'horizon d’une mise en tension permanente bute sur le manque d’originalité des visions déployées par le film, qui compilent les tropes d’un petit bréviaire horrifique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Oz Perkins invente une légende urbaine avec un croquemitaine interprété par un Nicolas Cage en roue libre, et donne à son image une patine vintage, baignée dans une atmosphère malaisante qui convoque Le Silence des Agneaux (1991), de Jonathan Demme. Sauf que la forme l’emporte sur le fond, on s’égare dans les méandres d’une intrigue nébuleuse au final pas si originale.
Longlegs révèle malheureusement rapidement qu’il a plus de style que de substance. Perkins sait fabriquer des ambiances inquiétantes, des images choc, mais qui sont surtout là pour camoufler une intrigue assez banale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zéro pointé pour ce thriller horrifique qui derrière son faux nez réflexif (la mise en crise de la famille américaine, la filiation entre police et crime), ne développe qu’un imaginaire auto-satisfait. Nicolas Cage, cabotin, enfonce le dernier clou de ce cercueil.
CinemaTeaser
Un film de tueur en série d'une redoutable efficacité.
Culturopoing.com
Narration maîtrisée, imagerie dérangeante et un Nicolas Cage dérangé, Oz Perkins signe un film de tueur en série d'une redoutable efficacité.
Mad Movies
(...) des angoisses inédites, un précipité de malaise existentiel à même de hanter vos nuits des mois à venir.
Télé 2 semaines
Images terrifiantes, tension intenable : ce cinéma-là, qui refuse les moments d'effroi faciles, est inoubliable et sidère bien après le générique de fin.
Voici
Une histoire de serial killer glaçante, forte de ses images chocs et de son ambiance dérangeante.
CNews
On ne saurait toutefois que recommander « Longlegs » pour le choc admirable qu'il aura tenté de construire. Celui d'une enquête qui sonde les psychés à la manière d'un « Silence des agneaux », tout en poussant le curseur du glauque à son maximum.
Filmsactu
Un peu longuet et mollasson sans pour autant être déplaisant, Longlegs doit beaucoup à son atmosphère hypnotisante ainsi qu’aux performances de ses têtes d’affiche : Maika Monroe (It Follows) et Nicolas Cage, tous deux excellents sous les traits de personnages complexes.
Le Monde
Oz Perkins joue avec les apparitions de Longlegs, multipliant les décadrages et les hors champs comme pour résister à la menace outrancière de l’acteur. Ce thriller élégant assoit son horreur sur des effets sobres où seuls l’ocre et le noir donnent leur teinte aux décors et aux personnages.
Libération
Sans rien révolutionner, le film réussit son numéro d’équilibriste entre horreur et polar surnaturel, autour d’une jeune flic et d’un serial killer insaisissable.
Télérama
Cette facilité est heureusement gommée par des rebondissements improbables, qui montrent que le cinéma d’horreur ne doit pas forcément se prendre au sérieux pour provoquer le malaise. Et ce n’est pas Nicolas Cage, à contre-emploi en meurtrier clownesque, qui nous persuadera du contraire.
Critikat.com
L'horizon d’une mise en tension permanente bute sur le manque d’originalité des visions déployées par le film, qui compilent les tropes d’un petit bréviaire horrifique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Thriller horrifique, Longlegs offre une atmosphère glaçante à souhait, hélas gâchée par une scénario trop vite éventé.
Le Dauphiné Libéré
Les événements de Longlegs se devinant presque dès son début, cela empêche le film de sortir du lot dans le genre horrifique.
Le Journal du Dimanche
Oz Perkins invente une légende urbaine avec un croquemitaine interprété par un Nicolas Cage en roue libre, et donne à son image une patine vintage, baignée dans une atmosphère malaisante qui convoque Le Silence des Agneaux (1991), de Jonathan Demme. Sauf que la forme l’emporte sur le fond, on s’égare dans les méandres d’une intrigue nébuleuse au final pas si originale.
Le Parisien
Reste une ambiance sombre bien mise en scène et une très soignée esthétique cafardeuse… Mais cela ne suffit pas à gommer l’impression de déjà-vu.
Première
Longlegs révèle malheureusement rapidement qu’il a plus de style que de substance. Perkins sait fabriquer des ambiances inquiétantes, des images choc, mais qui sont surtout là pour camoufler une intrigue assez banale.
Les Fiches du Cinéma
Zéro pointé pour ce thriller horrifique qui derrière son faux nez réflexif (la mise en crise de la famille américaine, la filiation entre police et crime), ne développe qu’un imaginaire auto-satisfait. Nicolas Cage, cabotin, enfonce le dernier clou de ce cercueil.