Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Art The Clown s'impose vraiment comme LA nouvelle icône de l'horreur au même titre qu'un Chucky, Michael Myers, Leatherface et Freddy.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Monde
par J.-F. R.
Le tueur au visage blanchâtre et au petit chapeau représente une incarnation inédite de l’horreur. Remplaçant toute parole par des grimaces et des mimiques enfantines, il désarticule et réinvente la représentation du mal, désormais horrible parce que drôle, drôle parce que horrible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Un grand guignol poussé à l’extrême, virant au surréalisme le plus déjanté, à évidemment ne pas mettre devant tous les yeux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un épisode de transition, mais il pose des trucs qui donnent hâte de voir Terrifier 4.
Voici
par V.C.
Toujours aussi psyché, carnavalesque et méchant, ce troisième terrifier continue de faire souffler un vent frais d'artisanat arty dans le genre horrifique.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une dose d’autodérision et surtout un film totalement inscrit dans la pure tradition du film gore d’épouvante des années 80. Une vraie réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
La saga Terrifier s’amuse de son intrusion dans le circuit de distribution populaire hollywoodien en trucidant ses clichés saisonniers à la tronçonneuse. Ce troisième volet est heureusement moins bancal que son prédécesseur, mais pas moins généreux en viande hachée et provocations diverses.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par S.B.
L’excellent David Howard Thornton, qui maîtrise la pantomime, s’éclate dans le rôle muet, à la fois sadique et farceur, d’Art, et les idées de mise en scène fusent. De quoi tolérer les mêmes défauts que dans les précédents opus : des longueurs et une fin bâclée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Cette suite pousse le gore encore plus loin, sans pour autant négliger ses personnages. Un troisième épisode joyeusement épouvantable, bancal et sympathique.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le troisième volet de la saga de Damien Leone confirme son génie barbare, malgré quelques petits formatages teen movie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
S’il est sans doute le volet le plus maîtrisé de la série, Terrifier 3 pèche toujours côté découpage avec des alternances de scènes scolaires et prévisibles, et perd surtout le côté « Magicien d’Oz splatterpunk » du deuxième film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Chargé en gags burlesques, Terrifier 3 est aussi un vrai film de duo, la petite amie démoniaque devenant ici l’un des personnages principaux. Une relation Joker/Harley Quinn sous amphétamines - très perturbante scène de masturbation avec un morceau de verre - qui apporte beaucoup à une mythologie un peu bancale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
David Howard Thornton approfondit sa dimension de mime grotesque et s’inscrit dans l’histoire d’une horreur burlesque qui remonte au cinéma des premiers temps.
Critikat.com
par Josué Morel
Après un Terrifier 2 assez réjouissant, le troisième volet des aventures d’Art le clown s’apparente à une régression esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Le personnage frappe, déchiquette et zigouille, parce que c’est sa seule raison d’être dans un film presque suranné, rempli d’effets aussi vilains que joyeusement dégoulinants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
Art The Clown s'impose vraiment comme LA nouvelle icône de l'horreur au même titre qu'un Chucky, Michael Myers, Leatherface et Freddy.
Le Monde
Le tueur au visage blanchâtre et au petit chapeau représente une incarnation inédite de l’horreur. Remplaçant toute parole par des grimaces et des mimiques enfantines, il désarticule et réinvente la représentation du mal, désormais horrible parce que drôle, drôle parce que horrible.
Le Parisien
Un grand guignol poussé à l’extrême, virant au surréalisme le plus déjanté, à évidemment ne pas mettre devant tous les yeux (...).
Mad Movies
Un épisode de transition, mais il pose des trucs qui donnent hâte de voir Terrifier 4.
Voici
Toujours aussi psyché, carnavalesque et méchant, ce troisième terrifier continue de faire souffler un vent frais d'artisanat arty dans le genre horrifique.
aVoir-aLire.com
Une dose d’autodérision et surtout un film totalement inscrit dans la pure tradition du film gore d’épouvante des années 80. Une vraie réussite.
Ecran Large
La saga Terrifier s’amuse de son intrusion dans le circuit de distribution populaire hollywoodien en trucidant ses clichés saisonniers à la tronçonneuse. Ce troisième volet est heureusement moins bancal que son prédécesseur, mais pas moins généreux en viande hachée et provocations diverses.
Le Journal du Dimanche
L’excellent David Howard Thornton, qui maîtrise la pantomime, s’éclate dans le rôle muet, à la fois sadique et farceur, d’Art, et les idées de mise en scène fusent. De quoi tolérer les mêmes défauts que dans les précédents opus : des longueurs et une fin bâclée.
Les Fiches du Cinéma
Cette suite pousse le gore encore plus loin, sans pour autant négliger ses personnages. Un troisième épisode joyeusement épouvantable, bancal et sympathique.
Les Inrockuptibles
Le troisième volet de la saga de Damien Leone confirme son génie barbare, malgré quelques petits formatages teen movie.
Libération
S’il est sans doute le volet le plus maîtrisé de la série, Terrifier 3 pèche toujours côté découpage avec des alternances de scènes scolaires et prévisibles, et perd surtout le côté « Magicien d’Oz splatterpunk » du deuxième film.
Première
Chargé en gags burlesques, Terrifier 3 est aussi un vrai film de duo, la petite amie démoniaque devenant ici l’un des personnages principaux. Une relation Joker/Harley Quinn sous amphétamines - très perturbante scène de masturbation avec un morceau de verre - qui apporte beaucoup à une mythologie un peu bancale.
Cahiers du Cinéma
David Howard Thornton approfondit sa dimension de mime grotesque et s’inscrit dans l’histoire d’une horreur burlesque qui remonte au cinéma des premiers temps.
Critikat.com
Après un Terrifier 2 assez réjouissant, le troisième volet des aventures d’Art le clown s’apparente à une régression esthétique.
Télérama
Le personnage frappe, déchiquette et zigouille, parce que c’est sa seule raison d’être dans un film presque suranné, rempli d’effets aussi vilains que joyeusement dégoulinants.