J’ai été cueilli! Cueilli par l’émotion, le rire et l’histoire forte de ce film! Agnès Jaoui nous surprend encore et toujours avec une nouvelle facette de son talent (oui c’est possible 😀) et William Lebghil est à la fois tendre et puissant dans son jeu. Un premier film réussi pour Julien Carpentier !
Pépite de cinéma ! Tout ce qu'on attend d'un film, de très bons comédiens, des rires et des larmes, du vrai, du beau, du léger et du profond. Il m'a fallu un temps pour me remettre de mes émotions en sortant de la salle. Cela fait quelques années que je délaisse le cinéma US et ce film ne fait que confirmer mes choix. Ce film s'adresse à tous et fera forcément écho à quelque chose enfoui dans votre âme ou vos souvenirs. A ne pas manquer !
Touchant, juste, émouvant, drôle et sincère. Une histoire d'amour fou, un beau moment de cinéma, des acteurs remarquables et une réalisation pleine de tendresse.
Vu en clôture du festival d’Albi, Film bouleversant empli d’humour, d’émotion et surtout d’humanité sur un sujet difficile et méconnu… À ne surtout pas manquer !
Un film magnifiquement réalisé. Moi qui cherchais à vivre des émotions, j'ai été servi ... Un beau jeu d'acteurs! Bravo au réalisateur et à toute l'équipe ! C'est une pépite remplie d'amour....
Premier Film de Julien Carpentier que j'ai vu à royan en avant première avec de l'émotion, de la justesse dans le jeu des acteurs, une qualité technique au top (belle alchimie de la compréhension des dialogues avec la musique ) .En définitive, ce film mériterait un grand prix et je pense que le réalisateur est promu à un très bel avenir... Merci
J'ai eu la chance de voir ce film en avant première et j'ai été littéralement submergée par de multiples émotions. J'ai souri ri pleuré. Aucun temps mort. Premier long métrage réussi de Julien Carpentier auteur réalisateur. Agnès Jaoui qui interprète la mère et William Lebghil le fils forment un duo époustouflant.
Ce film est pour moi une jolie réussite! Un sujet difficile, abordé spoiler: avec beaucoup de douceur et de bienveillance malgré la dureté évidente de ces quotidiens. Une traversée d'émotions réussie, portée par une Agnès Jaoui délirante et un William Lebghil touchant de pudeur. Bravo Julien Carpentier pour ce premier long métrage.
on a beaucoup aimé vu en avant première hier avec la présence de Julien Carpentier . Base son histoire . j ai trouvé que le message était efficace et que l amour d une mere pour son fils accomplit des miracles . et l amour d un fils pour sa mère même s il se révèle tardivement est un message d espoir. Agnès jaoui nous a révélé tout son registre beaucoup d émotions on se met à la place des personnages . je pense que ce film sera très bien noté car il le mérite. il y a beaucoup de sincérité . les maladresses sont subtiles mais efficaces aussi comme nous en avons tous en croyant bien faire parfois .. c est un tres joli film. je vous le recommande . on voit qu il a été peaufine ds les moindres détails. ca fait du bien de sortir d un cinéma en se disant qu on a bien fait de venir .
J'ai adoré ce film qui parle d'un problème de santé mentale : la bipolarité. Ce sujet compliqué est abordé de manière douce et poétique avec une bonne touche d'humour. Personne n'est stigmatisé, ni la personne malade (ici la mère), ni son entourage (ici le fils).
C'est une histoire d'amour compliqué entre une mère malade et un fils un peu perdu à cause de la maladie de sa mère. Mais l'espace d'une journée, ils vont se retrouver tous les deux et vont partager de bons moment ensemble en se remémorant des souvenirs. La vie reprend le dessus sur la maladie et ce film nous explique qu'il n'est pas grave de se tromper ou de ne pas avoir envie d'affronter cela. Bref, il nous montre avec toute sa poésie et son humour que l'amour se cache partout peu importe les barrières que la vie peu nous imposer.
La photographie de ce film est sublime spoiler: nous offrant un magnifique coucher de soleil sur la dune du Pilat.
"La vie de ma mère" a reçu le prix du public au festival du Film Francophone d'Angoulême.
Le sujet du premier long-métrage de Julien Carpentier, La vie de ma mère, apparaît bien mince, se déroulant sur un peu plus de 24 heures, et existait déjà sous forme d'argument d'un format court, il y a 10 ans, lorsque le cinéaste avait une première fois proposé le projet à Agnès Jaoui. Disons que ces retrouvailles, entre un trentenaire qui tente de vivre de son métier de fleuriste et sa mère, que son fils a délaissé pour cause de caractère impossible de la susdite (excessive est presque un terme trop faible) impliquent un récit dont on se doute qu'il oscillera entre humour et drame, avec, très vraisemblablement, un dénouement positif. Il ne faut donc pas s'attendre à des surprises majeures, dans une histoire menée sur un faux rythme et qui fait confiance à ses deux comédiens principaux sans songer un seul moment à peaufiner la mise en scène. Le problème est que Agnès Jaoui se montre bien outrancière dans son jeu, même si le rôle semble l'exiger, alors que William Lebghil séduit davantage dans la sobriété. Toujours est-il que l'alchimie de ce duo contrasté ne représente pas une évidence à l'écran, mais de cela l'écriture du film, pas très inspirée, en est en grande partie responsable. Un début de commencement de fantaisie semble s'inviter par le biais du langage des fleurs mais cette idée n'est que fort peu utilisée et le film retombe assez vite dans sa morne routine, tout en tentant, sur la fin, de susciter une émotion bien trop forcée.