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Votre avis sur Circulez y'a rien à voir! ?
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Finalement le titre de ce film résume parfaitement la critique qui peut en être faite. Réalisée par Patrice Leconte en 1983, cette comédie souffre d’un scénario très besogneux. Un inspecteur de police (Michel Blanc) tombe amoureux d’une propriétaire de galerie d'art (Jane Birkin) qui s’avère être trafiquante de tableaux de maîtres. Bref, si quelques situations finissent par nous arracher un sourire, l’ensemble reste trop poussif sans tomber néanmoins dans le gros navet.
Comédie sympathique des années 80. On suit cette comédie policière sans déplaisir. C'est frais, agréable et les acteurs sont bons.
Ce n'est pas ce qu'à fait de mieux Patrice Leconte! Dans cette comèdie policière de 1983, Michel Blanc s'appelle Leroux, inspecteur de police un peu miteux sur les bords chargè d'enquêter sur une banale affaire de chèques volès! Jacques Villeret (que l'on ne voit malheureusement pas assez dans l'histoire) l'accompagne dans cette enquête mineure où Martin Lamotte et Luis Rego ne font que passer! Blanc aurait dû avoir Rachel Welch comme partenaire! Catherine Deneuve fut aussi pressentie...On lui donna finalement Jane Birkin qui ne colle pas au personnage de Hèlène Duvernet! L'alchimie entre les deux ne convainc qu'à moitiè! Et la charmante Gaëlle Legrand joue une nouvelle fois les utilitès en se retrouvant pour la seconde fois dans le plumard de Blanc (cf. "Viens chez moi j'habite chez une copine") [...] Trente-cinq ans après sa sortie, son rèalisateur classera ce film parmi ses petites erreurs de cinèaste! Rèplique clè de cette production inègale des 80's : « T'as vraiment aucun respect ! » . Et c'est l'excellent Villeret qui la sort à plusieurs reprises...
Alain D.
Un peu déçu en revoyant cette Comédie réalisée par Patrice Leconte en 1983. L'histoire peine à trouver son envol tant le rythme est lent et le scénario léger. Le film est sauvé par ses dialogues hilarants et la qualité de ses interprètes : Jane Birkin est craquante et très classe dans son personnage de jeune femme mi mondaine mi trafiquante. Jacques Villeret se révèle, comme toujours, très juste en inspecteur défenseur des rapports humains. Quand à Michel Blanc, il est tout bonnement excellent dans ce rôle sur mesure d'inspecteur obsédé et à cran.
L'un des très nombreux films avec Michel Blanc parmi lesquels le simple énoncé du titre est une injonction à sa barrer à toute blinde et effectivement, ils ne croient pas si bien dire cette bande de tristes guignols qui ont pondu leur "Circulez y a rien à voir"... Un acte manqué de leur part sans doute ou bien un éclair de lucidité : "comment on va l'appeler notre mauvais film ridicule ?... tiens, avec un nom à rallonge, c'est draule.
Michel Blanc, tout est dit, inutile d'en rajouter... mais la cruche Jane Birkin qui vient en remettre une couche dans cette sinistre débilité, c'est le comble. On se demande jusqu'où ils vont creuser comme ça, jusqu'où ils vont oser... et ça pour oser, ils osent. D'ailleurs c'est bien connu, ça ose tout...
Michel Blanc, tout est dit, inutile d'en rajouter... mais la cruche Jane Birkin qui vient en remettre une couche dans cette sinistre débilité, c'est le comble. On se demande jusqu'où ils vont creuser comme ça, jusqu'où ils vont oser... et ça pour oser, ils osent. D'ailleurs c'est bien connu, ça ose tout...
Yannickcinéphile
Un film qui n’a pas grand-chose de notable. Soyons honnête, Patrice Leconte a accumulé les petites comédies et beaucoup ne sont pas vraiment mémorables. Circulez y a rien à voir est de celles-ci.
Le principal attrait du film c’est son casting. Jane Birkin est très jolie et trouve un rôle qui lui convient bien et valorise son élégance et sa finesse de jeu. Michel Blanc est un clown brillant un peu cabotin certes mais souvent drôle, tandis que Jacques Villeret, pourtant peu présent à l’écran parvient quand même à tirer son épingle du jeu même si, je rejoins l’avis de certains, il est sous-utilisé compte tenu de son potentiel. Autour de ce trio, des seconds rôles totalement inexploités, avec pourtant quelques interprètes sympathiques mais dont la présence ici ne dépasse pas la petite apparition comme guest en général.
Malgré ce beau casting, et cette confrontation réussie entre Jane Birkin et Michel Blanc, le film ne parvient pas vraiment à convaincre. La faute, indubitablement à une intrigue des plus faibles. Le film propose un comique redondant, peu efficace, une intrigue bateau, sans intérêt, on peine à comprendre l’obsession de Michel Blanc, bref, le film n’a pas réellement d’histoire et repose unilatéralement sur le jeu décapant de Michel Blanc et le charme de Birkin. La durée très étriquée du métrage qui dure 1 heure 10 révèle assez la faiblesse scénaristique de ce film qui parfois fait rire, offre un épilogue pas déplaisant, mais n’a aucune constance. Néanmoins c’est vrai que le dernier quart d’heure est le meilleur moment du film et peut mériter de se coltiner 1 heure assez molle.
Coté réalisation bon, rien de spécial à souligner. Patrice Leconte n’a rien d’un esthète en général, sauf exception, et ici on n’est pas dans l’exception. Comédie populaire vite emballée, ce n’est pas laid, grâce à un certain rythme dans la mise en scène qui montre que depuis ses débuts Leconte a progressé, mais pour le reste des décors sans grand relief, une photographie grisâtre avec des teintes acides qui n’a rien de très séduisant. A noter une bande son ultra-ancrée dans les eighties, qui amusera mais ne donne pas une grande modernité à cette comédie qui reste une tranche rétro évidente !
Circulez y a rien à voir n’est pas la moins bonne comédie de Leconte, ce n’est pas non plus sa plus fameuse. C’est un produit assez minime en termes d’intérêt, qui ravira les amateurs de Michel Blanc et ceux de Jane Birkin. 2.
Le principal attrait du film c’est son casting. Jane Birkin est très jolie et trouve un rôle qui lui convient bien et valorise son élégance et sa finesse de jeu. Michel Blanc est un clown brillant un peu cabotin certes mais souvent drôle, tandis que Jacques Villeret, pourtant peu présent à l’écran parvient quand même à tirer son épingle du jeu même si, je rejoins l’avis de certains, il est sous-utilisé compte tenu de son potentiel. Autour de ce trio, des seconds rôles totalement inexploités, avec pourtant quelques interprètes sympathiques mais dont la présence ici ne dépasse pas la petite apparition comme guest en général.
Malgré ce beau casting, et cette confrontation réussie entre Jane Birkin et Michel Blanc, le film ne parvient pas vraiment à convaincre. La faute, indubitablement à une intrigue des plus faibles. Le film propose un comique redondant, peu efficace, une intrigue bateau, sans intérêt, on peine à comprendre l’obsession de Michel Blanc, bref, le film n’a pas réellement d’histoire et repose unilatéralement sur le jeu décapant de Michel Blanc et le charme de Birkin. La durée très étriquée du métrage qui dure 1 heure 10 révèle assez la faiblesse scénaristique de ce film qui parfois fait rire, offre un épilogue pas déplaisant, mais n’a aucune constance. Néanmoins c’est vrai que le dernier quart d’heure est le meilleur moment du film et peut mériter de se coltiner 1 heure assez molle.
Coté réalisation bon, rien de spécial à souligner. Patrice Leconte n’a rien d’un esthète en général, sauf exception, et ici on n’est pas dans l’exception. Comédie populaire vite emballée, ce n’est pas laid, grâce à un certain rythme dans la mise en scène qui montre que depuis ses débuts Leconte a progressé, mais pour le reste des décors sans grand relief, une photographie grisâtre avec des teintes acides qui n’a rien de très séduisant. A noter une bande son ultra-ancrée dans les eighties, qui amusera mais ne donne pas une grande modernité à cette comédie qui reste une tranche rétro évidente !
Circulez y a rien à voir n’est pas la moins bonne comédie de Leconte, ce n’est pas non plus sa plus fameuse. C’est un produit assez minime en termes d’intérêt, qui ravira les amateurs de Michel Blanc et ceux de Jane Birkin. 2.
weihnachtsmann
Birkin et Blanc sont vraiment hilarants dans nombre de leurs dialogues. Villeret avec son "képi"!!!!! Une comédie vraiment sympa qui devient encore plus drôle dans sa dernière partie avec le cadavre. La petite touche romantique en plus.....
"Circulez, y a rien à voir" (1982) Chérie 25 le 18.04.2016
Pourquoi regarder ça alors qu'on vous le déconseille même dans l'affiche publicitaire ! En ce qui me concerne, j'avoue avoir été attiré par le trio d'acteurs principaux ! Probablement comme le million de spectateurs qui sont passés devant le tiroir-caisse des salles pour le voir. Et malheureusement, j'ai été déçu, heureusement, je n'ai pas payé... Le scénario de Patrice Leconte et de Martin Veyron est nul et n'a que pour ambition de permettre à Blanc de briller dans son registre préféré : notamment de parler à la troisième personne du singulier. Ca me fait aujourd'hui tout juste sourire. Quant à Villeret, il est carrément sous-employé dans un rôle stupide, presque inutile. Heureusement, Jane Birkin radieuse apporte beaucoup à ce film avec son charme, son accent, sa (fausse ?) candeur. Même si j'ai eu plaisir à revoir cette histoire, je ne la vois pas figurer dans les plus grandes réussites du cinéma !
willycopreso
Pourquoi regarder ça alors qu'on vous le déconseille même dans l'affiche publicitaire ! En ce qui me concerne, j'avoue avoir été attiré par le trio d'acteurs principaux ! Probablement comme le million de spectateurs qui sont passés devant le tiroir-caisse des salles pour le voir. Et malheureusement, j'ai été déçu, heureusement, je n'ai pas payé... Le scénario de Patrice Leconte et de Martin Veyron est nul et n'a que pour ambition de permettre à Blanc de briller dans son registre préféré : notamment de parler à la troisième personne du singulier. Ca me fait aujourd'hui tout juste sourire. Quant à Villeret, il est carrément sous-employé dans un rôle stupide, presque inutile. Heureusement, Jane Birkin radieuse apporte beaucoup à ce film avec son charme, son accent, sa (fausse ?) candeur. Même si j'ai eu plaisir à revoir cette histoire, je ne la vois pas figurer dans les plus grandes réussites du cinéma !
willycopreso
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Y a pas grand-chose à voir en effet. Force est de constater qu’en 1983, soit cinq ans après le succès des Bronzés, Michel Blanc traine encore les savates d’un certain Jean-Claude Dusse et son physique de winner international. Ici en inspecteur collant aux côtés de Jane Birkin, une femme du monde séduisante, son enquête hasardeuse de trafique d’art tourne un peu en eau de boudin. Michel Blanc possède ce talent inégalable à se moquer de lui-même et de l’image qu’il renvoi. Le contraste entre sa carrure maigrelette et sa fonction intimidante au sein de la police est tout à fait poilant. On regrettera néanmoins le manque de conviction dans l’humour typique de l’époque, et le rôle beaucoup trop secondaire de Jacques Villeret. L’esprit cabotin des années Splendide en perte de vitesse. 2,5/5
Caine78
Correctement écrite et rythmée, cette comédie réalisé par un Patrice Leconte totalement anonyme a ses bons moments et fait parfois vraiment sourire. Dommage que le personnage principal soit à ce point insupportable (je sais, c'est volontaire, mais là, ce n'est juste pas possible), et il faut bien tout le talent de Michel Blanc pour nous le rendre un minimum sympathique. Celui de Jacques Villeret avait, lui, un certain potentiel, mais s'avère, hélas, peu exploité. Comme on dit, ça se regarde sans déplaisir, mais s'oublie très vite aussi.
pierrre s.
Une comédie qui paradoxalement manque d'humour, et qui est plombée par un Michel Blanc en sur-régime de bout en bout.
Ce film est je trouve souvent mal perçu... C'est certes avant tout une comédie, mais pour celui où celle qui ne perçoit que cela, le film sera sans doute ressenti comme plutôt décevant.
Or donc s'il s'agit bien d'une comédie, le film a aussi un côté très psychologique... L'inspecteur collant et un peu raté qui est incarné par Michel Blanc, devant son côté un peu rentre-dedans, il y a aussi dérrière un côté très touchant dans son personnage, un peu également mystérieux ...
Les situations sont donc à la fois cocasses, mais aussi parfois douce-amère...
Les répliques, où les non-dits entre Michel Blanc et Jane Birkin sont un peu tout ça à la fois, drôle et pleine de psychologie... Quant au personnage de Jacques Villeret, sa présence est fait pour renforcer le côté ambigu de Michel Blanc, tout en apportant de bons moments d'humour gentillet... Le personnage de Jacques Villeret est en effet très accéssible, bon enfant, ...
Bref, contrairement à ce que j'entends souvent, il n'y a pas forcément besoin d'un scénario forcément très élaboré pour un bon film... Ce qui compte, ce sont la profondeur des situations et des personnages... Et à ce niveau-là, c'est amplement réussi, le personnage principal qu'est Michel Blanc, est tout, sauf un personnage simple...
Dans bien des situations, on se rend compte que le personnage qu'incarne Michel Blanc est beaucoup plus humain et respectueux qu'il n'y parait, et qu'il prend justement feu par les sentiments qu'il ressent...
Au final, je n'irais pas à dire que c'est un chef-d'oeuvre, mais ça reste un très bon film de comédie, qui va aussi parfois autre part que dans la pure comédie, et c'est ce qui me plait aussi...
Or donc s'il s'agit bien d'une comédie, le film a aussi un côté très psychologique... L'inspecteur collant et un peu raté qui est incarné par Michel Blanc, devant son côté un peu rentre-dedans, il y a aussi dérrière un côté très touchant dans son personnage, un peu également mystérieux ...
Les situations sont donc à la fois cocasses, mais aussi parfois douce-amère...
Les répliques, où les non-dits entre Michel Blanc et Jane Birkin sont un peu tout ça à la fois, drôle et pleine de psychologie... Quant au personnage de Jacques Villeret, sa présence est fait pour renforcer le côté ambigu de Michel Blanc, tout en apportant de bons moments d'humour gentillet... Le personnage de Jacques Villeret est en effet très accéssible, bon enfant, ...
Bref, contrairement à ce que j'entends souvent, il n'y a pas forcément besoin d'un scénario forcément très élaboré pour un bon film... Ce qui compte, ce sont la profondeur des situations et des personnages... Et à ce niveau-là, c'est amplement réussi, le personnage principal qu'est Michel Blanc, est tout, sauf un personnage simple...
Dans bien des situations, on se rend compte que le personnage qu'incarne Michel Blanc est beaucoup plus humain et respectueux qu'il n'y parait, et qu'il prend justement feu par les sentiments qu'il ressent...
Au final, je n'irais pas à dire que c'est un chef-d'oeuvre, mais ça reste un très bon film de comédie, qui va aussi parfois autre part que dans la pure comédie, et c'est ce qui me plait aussi...
Les années 80 reflètent une très bonne époque du cinéma comique français. Même si les acteurs qui ont participés à cette époque formidable font partie du film, ce n'est pas le cas de celui-ci qui reste méconnu. Il est mauvais, lourd et Janne Birkin,ba, il faut la supporté! Un film jamais rediffusé en été sur nos chaines historiques, on comprendra pourquoi. ----Octobre 2013----
Comédie mineure dans la filmographie de Patrice Leconte, ce film, à l'époque, surfait sur le succès de la troupe des bronzés, ici représentée par Michel Blanc et Martin Lamotte. C'est assez poussif, chaque acteur est dans son registre et la trame tient sur un timbre poste. Le titre résume pas mal le film finalement même si un certain charme opère
Comédie mineure et datée d'un Patrice Leconte que l'on a connu bien plus inspiré. Même si ce film dégage un certain charme, le scénario ne casse vraiment pas 3 pattes à un canard. Les acteurs sont également cantonnés dans leur caricature : Michel Blanc en casse pieds moins con qu'il n'en a l'air, Jacques Villeret en bon camarade légèrement benet et Jane Birkin en beauté inaccessible mais qui finit par craquer. Bref, le titre résume pas mal le film
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