Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Diverto
par Élodie Falco
Les décors, costumes et lumières évoquent avec élégance l'atmosphère de Turin en 1938, où Ginia, venue pour réussir sa carrière, se confronte à bien des défis d'ordre divers. Au-delà de la romance, le film explore les rapports familiaux et la quête de soi.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Troisième film de Laura Luchetti, la maîtrise du cadre et de la lumière, de l'exigence de la reconstitution, des décors et des costumes, aspirent l'œil, et entraînent dans un récit où l'amour va avoir fort à faire face à un contexte idéologique moraliste et répressif, où les sentiments sont mis à mal par le pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Nice-Matin
par Célia Mallek
Un film doux en apparence, élégant et d’une fraîcheur inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Ouest France
par La Rédaction
Un joli récit d'émancipation.
Paris Match
par La Rédaction
La réalisatrice Laura Luchetti filme la naissance d’un amour impossible avec un vrai sens de l’érotisme et de la sensualité, en nous faisant épouser le regard de Ginia.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
La Bella estate, à défaut d’être mémorable —il manque certainement un grain à l’image, polie et sans relief significatif— signe une chronique tendre et rayonnante autour d’une relation amoureuse lesbie
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Lumineuse, au moins aussi belle que sa mère à son âge (20 ans), la fille de Monica Bellucci et Vincent Cassel, qui s’illustre comme mannequin depuis qu’elle a 14 ans, irradie l’écran pour ses débuts dans un long-métrage. Un tout premier rôle qui donne envie de la revoir vite dans un film plus flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par La rédaction
[...] une reconstitution historique un peu appliquée, façon téléfilm de qualité, avec de beaux tissus, des décors impeccables, mais pas assez de figurants ni d'emportement.
Première
par Damien Leblanc
En insistant sur l’opposition entre le luxe des villes et la frugalité de la campagne et en esquissant une romance lesbienne, la mise en scène se fait plus universelle et atemporelle que tournée vers le passé. Et la modernité du regard posé sur les personnages et le casting - où apparaît notamment Deva Cassel, fille de Vincent Cassel et Monica Bellucci, dans le rôle d’une jeune femme modèle pour artistes – emporte au final l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette fresque romanesque sage et muséale ne semble avoir d’autre but que de rendre hommage au travail du chef décorateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Pas de sentiments qui dépassent l’intérêt professionnel ou l’ennui poli dans cette adaptation desquamée d’une nouvelle de Pavese : "La Bella estate" se borne à traîner son rythme mollasson, ses intérieurs décatis et ses arcades sépias avec méticulosité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Chloé Delos-Eray
Entre tâtonnements sexuels et émancipation féminine, le scénario était prometteur. Mais la réalisation et la direction d’acteurs demeurent atones. Même la personnalité solaire de Deva Cassel – fille de Monica Bellucci et de Vincent Cassel, qui fait ses premiers pas au cinéma – ne parvient pas à dynamiser l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Abus de Ciné
par Amande Dionne
On est un peu déçu pour cette histoire qui recherche pourtant à dire quelque chose d’intéressant, du désir gluant des hommes, du consentement et de l'éveil d'une femme à sa propre sexualité.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le Monde
par J. Ma.
Confondant délicatesse et atonie, la mise en scène de Laura Luchetti est, hélas, tellement compassée, tellement démunie devant son sujet, que son film ne donne à aucun moment le signe qu’il pourrait prendre vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Le nerf et le style de Pavese sont malheureusement totalement absents de cette adaptation de Laura Luchetti qui respire l’académisme encaustiqué.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Diverto
Les décors, costumes et lumières évoquent avec élégance l'atmosphère de Turin en 1938, où Ginia, venue pour réussir sa carrière, se confronte à bien des défis d'ordre divers. Au-delà de la romance, le film explore les rapports familiaux et la quête de soi.
Franceinfo Culture
Troisième film de Laura Luchetti, la maîtrise du cadre et de la lumière, de l'exigence de la reconstitution, des décors et des costumes, aspirent l'œil, et entraînent dans un récit où l'amour va avoir fort à faire face à un contexte idéologique moraliste et répressif, où les sentiments sont mis à mal par le pouvoir.
Nice-Matin
Un film doux en apparence, élégant et d’une fraîcheur inouïe.
Ouest France
Un joli récit d'émancipation.
Paris Match
La réalisatrice Laura Luchetti filme la naissance d’un amour impossible avec un vrai sens de l’érotisme et de la sensualité, en nous faisant épouser le regard de Ginia.
Culturopoing.com
La Bella estate, à défaut d’être mémorable —il manque certainement un grain à l’image, polie et sans relief significatif— signe une chronique tendre et rayonnante autour d’une relation amoureuse lesbie
Le Parisien
Lumineuse, au moins aussi belle que sa mère à son âge (20 ans), la fille de Monica Bellucci et Vincent Cassel, qui s’illustre comme mannequin depuis qu’elle a 14 ans, irradie l’écran pour ses débuts dans un long-métrage. Un tout premier rôle qui donne envie de la revoir vite dans un film plus flamboyant.
Positif
[...] une reconstitution historique un peu appliquée, façon téléfilm de qualité, avec de beaux tissus, des décors impeccables, mais pas assez de figurants ni d'emportement.
Première
En insistant sur l’opposition entre le luxe des villes et la frugalité de la campagne et en esquissant une romance lesbienne, la mise en scène se fait plus universelle et atemporelle que tournée vers le passé. Et la modernité du regard posé sur les personnages et le casting - où apparaît notamment Deva Cassel, fille de Vincent Cassel et Monica Bellucci, dans le rôle d’une jeune femme modèle pour artistes – emporte au final l’adhésion.
L'Obs
Cette fresque romanesque sage et muséale ne semble avoir d’autre but que de rendre hommage au travail du chef décorateur.
Les Fiches du Cinéma
Pas de sentiments qui dépassent l’intérêt professionnel ou l’ennui poli dans cette adaptation desquamée d’une nouvelle de Pavese : "La Bella estate" se borne à traîner son rythme mollasson, ses intérieurs décatis et ses arcades sépias avec méticulosité.
Télérama
Entre tâtonnements sexuels et émancipation féminine, le scénario était prometteur. Mais la réalisation et la direction d’acteurs demeurent atones. Même la personnalité solaire de Deva Cassel – fille de Monica Bellucci et de Vincent Cassel, qui fait ses premiers pas au cinéma – ne parvient pas à dynamiser l’ensemble.
Abus de Ciné
On est un peu déçu pour cette histoire qui recherche pourtant à dire quelque chose d’intéressant, du désir gluant des hommes, du consentement et de l'éveil d'une femme à sa propre sexualité.
Le Monde
Confondant délicatesse et atonie, la mise en scène de Laura Luchetti est, hélas, tellement compassée, tellement démunie devant son sujet, que son film ne donne à aucun moment le signe qu’il pourrait prendre vie.
Libération
Le nerf et le style de Pavese sont malheureusement totalement absents de cette adaptation de Laura Luchetti qui respire l’académisme encaustiqué.