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    Règlements de comptes à O.K. Corral
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    105 critiques spectateurs

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    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2021
    Un très bon western classique de John Sturgess. Loin des épopées et chevauchées héroïques, il s’intéresse avant tout à ses personnages, complexes, avec leurs forces et leurs travers, et à leurs relations, amicales, sociales, familiales ou amoureuses. Les situations sont toujours intéressantes et les dialogues très travaillés (voir les deux scènes entre le sheriff Wyatt Earp et John « Doc » Holliday où le dialogue de la première est repris dans la seconde, avec inversion des rôles). Dans une ambiance « crépusculaire » (les différents personnages longent souvent les cimetières, dans des lieux dont les noms évoquent la mort ; la maladie de John rappelant son imminence), c’est d’abord d’une histoire d’amitié qu’il s’agit, entre ce sheriff au passé peut être pas si clair, qui s’attache à se faire une vertu et cet ex-dentiste joueur de cartes (tricheur surtout), alcoolique, au passé criminel, qui se rachète sans calcul, par de simples valeurs humaines. Au terme de l’excellent moment passé, on se dit que l’on se souviendra longtemps de ce dernier, impeccablement campé par Kirk Douglas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mars 2021
    Que d'hommes, des vrais ! Les personnages féminins ? Une mère incapable d'élever ces enfants, une prostituée alcoolique et une joueuse prête à tout abandonner pour un homme : au secours ! patriarcat !
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    Classique du genre western spaghetti dans sa composition, scénario et mise en scène mais qui s’attache à analyser les personnages et leurs failles. Ce qui donne plus de dialogues et moins de scènes d’action. La fusillade finale est un pur chef-d’œuvre où excellent 2 monuments que sont Kirk Douglas et Burt Lancaster.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 février 2020
    Premier film que je vois avec le regretter Kirk Douglas, même s'il s'agit d'un western et que j'en ai horreur après en avoir vu plusieurs lamentable et pourtant culte, j'ai voulu faire l'exception. Un acteur déjà plus tous jeune mais qui mani le jeux pédagogique avec talent, un acteur dont le personnage est très sympas et qui donne clairement l'envie d'être son pote. Quant au film en lui-même, il y à et c'est très rare dans ce registre, une bonne répartition entre les scène de script et scènes d'action. Ces dernières se déroulant dans des décors hyper beau mais sachant que le film date, la question qui s'impose est : "Est-ce qu'il à été tourné en studio et le reste est en effets spéciaux pour compléter ou tout est vrai ?". Une partition musicale très bonne et énergique qui donne enfin un dynamisme au genre. Par la suite, une scène de combat générale dans un bar démente, une fusillade en extérieur en fin de film très bonne mais beaucoup d'acteurs principaux ou secondaires surjouaient leur action de "mort", ce qui est limite comique. Dans l'ensemble un bon western et un bon perso pour Douglas. Très curieux de découvrir 2 autres grosses affiches.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2020
    Un grand classique du Western avec deux monstres du cinéma américain, Burt Lancaster et Kirk Douglas, le premier en shérif ténébreux et intègre, le second en joueur invétéré, alcoolique, misanthrope qui joue à je t'aime, moi non plus avec une femme fatalement fatale et infidèle et qui joue aussi du couteau ou du révolver....Les deux héros au contact rugueux laisseront au cours des événements naitre une amitié à la fois solide et désabusée, et c'est là le vrai sujet du film. Les autres, les méchants, les rustres ne servent au fond qu'à souder cette amitié dans l'adversité partagée et les confrontations souvent sanglantes, dont et surtout la dernière avec les fermiers voleurs et trafiquants de troupeaux.
    J'aurais sans doute adoré ce film si je l'avais vu en 1957 à sa sortie, mais maintenant il faut bien admettre, que même avec une copie superbement restaurée, ça fait date, c'est souvent lent, un peu ampoulé avec des enchainements pas très bien montés.. restent quand même de belles images; une prise de vue dynamique, et la superbe chanson qui ouvre le film, rythme le passage entre les différentes parties et ponctue le générique.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    691 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2020
    Bel hommage à Kirk Douglas dans ce western très maîtrisé qui offre une conclusion explosive pour des personnages et des acteurs iconiques.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2020
    Deux rôles superbes dans ce film tendu sur un règlement de compte entre bandes rivales.
    Le sujet est fort et la réalisation intense avec en plus les grands thèmes du western. L'amitié, la vengeance et la traque.
    Très bon
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2019
    Un des plus grands et des plus célèbres westerns du cinéma américain, remake de « La poursuite infernale » de John Ford. Histoire archi-classique, certes, mais admirablement tournée par John Sturges un très grand ! Et puis quelle interprétation avec ce duo mythiqe Burt Lancaster-Kirk Douglas – ils se sont retrouvés par la suite avec. beaucoup moins de réussite.
    Des scènes d'action d'anthologie, une musique légendaire, des décors (naturels) fantastiques. Et comme il n'y a pas que les coups de feu dans la vie, une constante réflexion sur l'alchimie de l'amitié mais aussi sur la mort. Un chef d'œuvre du genre.
    Eselce
    Eselce

    1 390 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2017
    Un western grand classique avec Burt Lancaster dans le rôle du shériff et Kirk Douglas dans celui de DoC Holliday. UIn bon scénario, peut-être un peu long aujourd'hui mais agréable à revoir en HD. Très bons décors, costume et ambiance. Immanquable à la filmographie des deux acteurs cités. A voir jusqu'au bout, pour le fameux règlement de compte.
    Antoine D.
    Antoine D.

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    Le scénario raconte la rencontre entre Doc Holliday et Wyatt Earp. Malheureusement, l'amitié n'est pas retranscrit à l'écran, on a l'impression que le film est un duel entre 2 acteurs, Kirk Douglas et Burt Lancaster.
    Le réalisateur des 7 mercenaires ne possède pas le talent de la mise en scène d'autres cinéastes du western comme John Ford ou même Howard Hawks. Le film est très célèbre grâce à son casting hors norme et sa chanson d'ouverture, qu'on retrouve à d'autres moments dans le film. Puis, une fois toute l'intrigue placé on arrive au moment que l'on attendait tous, la fusillade qui est la meilleure séquence du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    « Règlement de compte à O.K. Corral ».
    En effet, ce nom-là, personne ne l’a oublié. Personne ne connaît la vérité historique du lieu sur lequel s’est déroulé le fameux duel. Personne. Et pourtant, ce lieu-dit, que tout le monde semble apparemment connaître, résonne comme une partie de la légende du Far West. Car, si l’on s’étend à la ville (je peux la nommer, je ne risque rien), il s’agit de Tombstone. Quand même ! Tombstone. Et rien que de la mentionner, cette cité des morts nous rappelle combien l’Ouest a changé la face du monde. Wyatt Earp, les Clanton, cowboys et voyageurs solitaires, et même les vautours !, rejaillissent de notre mémoire. Un pan de l’Histoire s’est directement passé dans cette ville mortifère que nous semblons nous approprier à chaque fois que l’on évoque le mythe. Et quel mythe. Diable !
    C’est donc à John Sturges, réalisateur déjà passé à la postérité grâce à « Fort Bravo », de malmener les faits historiques et la réalité pour le plus grand bonheur des spectateurs, auquel je fais décidément bien partie (merci John !).
    Synopsis : Dodge City. Wyatt Earp apprend que l’un de ses amis shérifs vient de laisser passer dans sa ville le misérable Ike Clanton. Doc Holliday, lui, termine la besogne en tuant le frère (un certain Lee Van Cleef, si !!) d’un de ses ennemis. Entre Wyatt et Doc, les aventures ne font que commencer… jusqu’à aboutir au fameux duel épique et final.
    Le scénario (les aventures) écrit par Georges Scullin et Leon Uris (signataire de « L’étau » d’Hitchcock) fouille à merveille tous les personnages. Les deux écrivains se penchent davantage sur la psychologie des personnages que sur la vérité historique. Mais qu’importe, car ici, les scénaristes poussent au paroxysme la personnalité de chacun. Wyatt Earp en shérif incorruptible et loyal, Doc Holliday l’aristocrate déchu penché sur l’alcool, Billy le benjamin des Clanton ne reprenant que le flambeau familial, Johnny Ringo le bandit-truand voulant tuer l’alcoolique Holliday…, tout cela fait que du point de vue scénaristique, « Règlement de compte à O.K. Corral » tient du drame humain. De plus, l’ouverture avec les plans-raccord des trois cowboys arrivant à Dodge City ainsi que la fermeture du film s’échappant du traditionnel happy ending hollywoodien anticipe la voie du western crépusculaire. Dans la veine de « L’homme qui n’a pas d’étoile » (toujours avec Kirk Douglas), « Règlement… » peut se targuer d’être le petit frère des Peckinpah ou Leone à l’image de « La horde sauvage » ou du « Bon, la brute et le truand ». Très bon de la part du metteur en scène des « Sept mercenaires », non ?
    Ce qui m’amène ainsi à parler de l’ambiance. Toujours plus tendue au fur et à mesure que l’intrigue avance, elle est maintenue par les magnifiques paysages tournés en Vistavision par le réalisateur John Sturges, le chef opérateur n’étant que Charles Lang, le directeur photo de « Zaza » et de « Charade » !! De plus, la musique posée délicatement de temps à autre par Dimitri Tiomkin est onctueuse, à l’image de la chanson de générique chantée par Frankie Laine qui nous invite dans sa balade chevaleresque et ô combien country. Merci Franckie ! Et merci Dimitri de nous offrir une nouvelle fois une mélodie lyrique collant parfaitement au western. Faut-il rappeler qu’il est le compositeur de « La vie est belle » de Capra, du « Train sifflera trois fois », de « Géant »… ? Bien sûr que non. Mais voilà, je viens de le rappeler.
    Toujours pour parler ambiance, l’action est ici mesurée même si l’on attend avec impatience le duel que va se livrer les deux bandes. Maîtrisée, la violence est à son comble dans le duel final. L’intensité, aussi. La scène, millimétrée et jouissive au possible, est celle que l’on attend tous. Le dénouement. Qui va survivre à ce moment précis de l’Histoire, à Tombstone Arizona ? Wyatt ? Les Clanton ? Mystère… . Les moments d’action, allongés de moments toujours plus intimes, notamment dans l’avancement de l’intrigue, sont millimétrés au possible, tout comme les cartouches de Wyatt. . Ici, le futur réalisateur de « La grande évasion » fait preuve de rigueur et de maîtrise car il est aidé de Warren Low au montage, parfaitement équilibré. Le monteur de « La main qui venge » de Dieterle, c’est lui. La maitrise de la mise en scène (et du montage) est donc flagrante. Non pas que John soit un vrai maître en terme de cinéma, mais bien l’artisan du western moderne, au contraire du classicisme fordien porté par sa magnifique « Prisonnière du désert » (Natalie Wood, la ‘propriété interdite’ de Sydney Pollack).
    Après, pour parler casting, tous les shérifs de l’Ouest peuvent s’aligner pour revendiquer tous les as que Doc a substitués durant toutes les parties qu’il a jouées dans tous les casinos de l’Ouest. Pour ainsi dire, l’interprétation est excellente, d’autant que toutes les générations se succèdent. Tout d’abord, le roi du poker, Kirk Douglas, dans un excellent rôle (pour changer !). Le seul ami qu’il va se faire se prénomme Burt Lancaster. Génial, Wyatt ! Ou devrais-je dire Monsieur le ‘Guépard’ ? John Ireland campe l’irascible Johnny Ringo quand il a déjà joué Billy Clanton pour John Ford dans « La poursuite infernale », alors que le tout jeune ‘rider’ Dennis Hopper tient ici ce rôle. Etonnant, non ? On peut également citer des grands du cinéma qui se font ici seconds voir derniers couteaux : Lyle Bettger (Ike Clanton), Whit Bissel (Clum), Lee Van Cleef (le premier mort du film, et déjà cité plus haut), Brian G. Hutton (le futur réalisateur de « Quand les aigles attaquent » !) et Jack Elam (l’inoubliable gueule d’introduction de « Il était une fois dans l’Ouest »).
    Pour conclure, « Gunfight at the O.K. Corral », l’un des premiers westerns à gros budget qui fût une réussite au box-office mondial grâce au bouche à oreille, reste et restera ce film d’anthologie signé par l’artisan Sturges. Un film de légende également car emporté par les Douglas, Van Cleef, Lancaster… . Un monument du cinéma logiquement aujourd’hui considéré comme un classique.
    Pour tous les amateurs de western.
    Spectateurs, quand la réalité devient légende, la poussière devient misère, les balles remplacent l’épitaphe… et l’Ouest se manifeste ...par l’artiste. Sturges !
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2017
    un excellent western qui montre que ce genre est vraiment un genre qui manque au cinéma avec beaucoup de action et d'émotion et du bon spectacle avec des grand acteur et une chanson qu'on a envie de frodoner et qui reste dans la tête .
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Réalisé avec rigueur par John Sturges, Réglement de compte à O.K Corral s'inscrit parmi les classiques du western des années 1950. Burt Lancaster est superbe en homme de loi tout en émotion contenu face à un étonnant Kirk Douglas incarnant son contraire exact en un Johnny Holliday désabusé, cynique et suicidaire allant presque jusqu'à l'éclipser. Un tandem en or. Le film est cependant par moment un peu trop lent et un peu trop bavard quoique les dialogues sont loin d'être banals. Mais quand vient l'affrontement final, on a la sensation de ne pas avoir attendu inutilement la venue de cette scène. Réglement de compte à O.K Corral demeure un western solide et maitrisé quoiqu'il n'égale pas les chefs-d'oeuvre de John Sturges à savoir le Dernier Train de Gun Hill et les Sept Mercenaires.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2016
    Bon western au scénario classique qui repose surtout sur le talent (et il est énorme) de ses deux acteurs principaux. Pas mal de défauts néanmoins, les scènes avec les deux femmes principales n'apportent pas grand choses à l'intrigue, la personnalité des méchants est trop mise de coté et la scène finale, tant attendu tout au long du film, est finalement un peu décevante. Un western qui a plutôt mal vieillit au final, on est très loin de l’extrême tension dramatique des œuvres de Sergio Leone qui viendront quelques années plus tard.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2016
    Wyatt Earp, shériff de la légende de l'ouest. On ne compte plus les films où il apparait. John Sturges montre son savoir-faire, mais aussi ses limites. L'action aurait mérité d'être resserrée. La mise en scène manque d'énergie. L'affrontement final tient ses promesses, mais c'est le duo Lancaster/Douglas qui tient le baraque. Solidement.
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