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    Un jeune chaman
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    3,6
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    27 critiques spectateurs

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    Anne Sigros
    Anne Sigros

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Film tout en finesse, de très belles images, bien joué, émouvant. Bravo d'avoir su montrer un adolescent mongol pris dans ses propres contradictions et celles qui se confrontent entre de la culture traditionnelle familiale et sa vie citadine de collégien.
    P Labarthe
    P Labarthe

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Une immersion en Mongolie entre spiritualité rituelle et adolescence mondialisée.Un scénario difficile à suivre parfois mais des personnages touchants que l'on suit dans leur quotidien à la fois proche et lointain.
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2024
    « Tradition et/ou modernité»
    Des dons de chamanisme à l’épreuve de l’adolescence, avec ses émois et les réseaux sociaux. On plonge dans Oulan-Bator pour ce dilemme d’un jeune chaman mongol pratiquant son don au service des autres tout en voulant vivre sa vie d’homme en devenir…j'aurais aimé le côté chaman plus creusé, mais l'ensemble est une belle histoire bien interprétée.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2024
    On est d'accord, c'est faire preuve d'un peu trop d'égoïsme, mais, lorsqu'on va voir un film provenant d'un pays qu'on connaît mal, on apprécie la part d'exotisme et de dépaysement dont il peut faire preuve. Avec "Un jeune chaman", il faut reconnaître que, de ce point de vue là, on ne trouve pas son compte : mis à part le chamanisme, guère pratiqué dans l'hexagone, et l'habitat dans des yourtes, on voit surtout des élèves qui chahutent au lycée, des centres commerciaux très modernes, et, non pas une, mais ... deux scènes de trémoussage. Au début, bon élève et sérieux dans son comportement, l'évolution du jeune chaman, du fait de l'amour qu'il ressent pour une de ses "patientes", n'est pas inintéressante mais elle est traitée de façon maladroite et elle se termine par ce qui ressemble fort à un retour à la case départ. L'intérêt de ce film est donc inférieur à celui de "Si seulement je pouvais hiberner", autre film mongol sorti récemment, dont le côté social était plus présent. Sinon, ces films souffrent tous les deux d'une trop grande nonchalance dans la réalisation.
    Marine_valette
    Marine_valette

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2024
    Sur un plan « documentaire « , je ne regrette pas un instant d’avoir vu ce film. En même temps, je l’ai trouvé très lent….très long.
    La meilleure scène, à mon avis?
    Évidemment celle du début : lorsque, à l’issue d’une séance chamanique, « Grand Père Esprit » est libéré de son masque de plumes, de son rideau de cheveux, et révèle aux yeux de tous le visage incroyablement jeune d’un grand Ado de 17 ans.
    ( Visage quî pourrait tout aussi bien être celui d’un jeune moine tibétain. Dans mon regard béotien, en tout cas….).
    La suite m’ a paru un peu « prétexte « . Il tombe amoureux, il se disperse…. Boîte de nuit, alcool, musiques tonitruantes … Sans excès irréversibles, certes, mais il n’en perd pas moins la connexion avec ce qui lui donnait un pouvoir de compréhension intime, d’apaisement, de guérison, sur sa communauté.
    Prétexte, en tout cas, à nous montrer une Mongolie partagée entre ce que l’on a coutume d’appeler ( pour faire bref) Tradition et Modernité,,,

    Bref, un film que je ne regrette pas un instant d’avoir vu. Même si je l’ai trouvé un peu trop lent….un peu trop long.
    Kouyere
    Kouyere

    2 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2024
    Un film très sympa qui permet de découvrir la Mongolie sous plusieurs facettes à travers une mignonne histoire d'amour.
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2024
    Quelques mois après la sortie de « Si seulement je pouvais hiberner » de De Zoljargal Purevdash, le cinéma mongol revient sur le déchirement qu’éprouve le pays face à l’abandon possible de ses valeurs traditionnelles. Elle sont cette fois bien marquées dans le film de Lkhagvadulam Purev-Ochir, à travers l’existence d’un jeune chaman qui vient à douter de sa pratique. C’est en quelque sorte défier ses ancêtres, et se tourner vers un monde nouveau. Si l’amour n’est pas étranger à cette faillite intellectuelle, la perte progressive et générale des repères de la société phagocyte le système ancestral, déjà bien fragilisé. Le réalisateur ne fait pas mystère de cette fracture historique de son pays, du tiraillement de cette jeunesse arc-boutée encore un temps aux valeurs traditionnelles . Même dans son lycée, Zé le plus doué, dévisse tranquillement, chahute, conteste. Les examens paraissent secondaires, la vie est ailleurs …
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    LCDC YT
    LCDC YT

    81 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2024
    une œuvre à hauteur d'homme, sur les affres de l'amour face à la spiritualité d'un jeune garçon en plein questionnement. Sans être surprenant, le film fonctionne et offre un portrait attachant, porté par un acteur à suivre
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    351 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2024
    La Mongolie est un pays aux paysages merveilleux, et dont le cinéma peut offrir de vrais coups de cœur. Pour ce drame, on se penche sur un jeune chaman de tout juste 17 printemps. Un aspect spirituel qui aura une grande importance dans le développement du personnage. Alors qu'au départ, on voit cette activité comme assez folklorique, le regard évolue. Plus son premier amour prend forme, moins il sera connecté aux esprits. Comme beaucoup de jeunes, la fougue de l'amour lui fait perdre la raison. Il est alors important pour lui de comprendre que les sentiments sont volatiles et ne doivent pas lui faire perdre le cap. Pour son premier rôle au cinéma, Tergel Bold-Erdene est très convaincant. Sa relation avec Nomin-Erdene Ariunbyamba est adorable. Dommage tout de même que l'aspect culturel chamanique ne soit pas plus exploré, car cela aurait pu être très instructif.
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Bloqué entre modernité et traditions ancestrales, Zé, un jeune adolescent chaman de dix-sept ans, va devoir apprendre à jongler entre les deux afin de satisfaire son entourage. C'est du moins comme ça que commence le film, réalisé par Lkhagvadulam Purev-Ochir, qui va petit à petit se transformer en un espèce de parcours initiatique pour le héros. En effet, le voyage d'épreuves physiques et morales n'est paradoxalement pas mené par le prisme du chamanisme mais par l'exploration du monde moderne, d'une Mongolie en pleine transformation, ce qui va tout de même affecter les pouvoirs de Zé. En effet, l'adolescent est adulé par les habitants du village dans lequel il habite car il aide les gens de sa communauté grâce à l'esprit de ses ancêtres, il est d'ailleurs surnommé "Grand-Père Esprit". Mais ses pouvoirs vont faiblir lorsque le jeune adolescent va s'intéresser à des choses plus matérielles et charnelles comme l'amour, la sexualité, s'amuser avec ses copains, sortir en boite etc. Alors tout de suite, ça peut paraitre moralisateur, on est effectivement, au premier abord, dans une série d'expériences punitives puisque c'est à cause de cela qu'il va perdre son lien si sacré avec le monde des esprits mais qu'il va également mettre en péril sa vie étudiante. Mais lorsque l'on creuse un peu, toutes ces expériences font parties d'un tout et son nécessaires à la construction d'un personnage qui se cherche lui permettant ainsi par la suite "d'améliorer" ses pouvoirs chamaniques, enfin c'est du moins une interprétation possible. Le film montre ainsi qu'il est tout à fait possible d'allier les deux, de garder un pied dans une Mongolie disons traditionaliste tout en ayant l'autre pied dans une réalité plus terre-à-terre, plus physique. Le film en profite également pour montrer le système éducatif mongol (qui ressemble d'ailleurs vachement à celui de la Chine et du Japon) qui est très sévère et surtout très élitiste en leur en demandant toujours plus afin de devenir notamment de grands chefs d'entreprise. Malgré tous ces sujets intéressants, j'ai ressenti quelques longueurs notamment à cause d'un rythme pas toujours soutenu et à cause d'ellipses quelques fois un peu abruptes, rendant l'intrigue un peu floue. "Un jeune chaman" est donc un film aux thématiques intéressantes, sorte de teen movie saupoudré de traditionalisme, mais en n'étant malheureusement pas toujours très captivant.
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2024
    Sur le thème de : comment vivre son adolescence et envisager l'avenir à Oulan-Bator, Un jeune chaman complète et se différencie du récent Si seulement je pouvais hiberner. Le premier film de Lkhagvadulam Purev-Ochir trace le portrait de Zé, lycéen de 17 ans, dans son activité très particulière de chamane, pour lequel il endosse la personnalité de "grand-père esprit" aux yeux des autres. Une double vie, symbole d'une Mongolie en pleine révolution, entre tradition et modernité, comme le veut le cliché, dans un pays où le nomadisme pastoral disparaît peu à peu au profit d'une sédentarisation périurbaine synonyme de précarité. Le long-métrage évoque l'éducation (rigoriste, voir une scène de classe saisissante), l'ostracisme, l'alcoolisme et l'exil, entre autres thèmes marquants. Le film laisse souvent le champ libre au spectateur, privilégiant les ellipses et les interprétations possibles, sans pour autant paraître nébuleux ou opaque, au gré d'un rythme lancinant qui fascine et emporte entre réalisme et onirisme. Ce ne sont pas les grands espaces qui sont montrés, avec une grande sensibilité, dans Un jeune chaman, mais bien les frontières des possibles pour une génération entière aux prises avec les injonctions d'une société et les incertitudes du futur.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    375 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2024
    Dans son premier long métrage qu’elle a réalisé et scénarisé, cette jeune réalisatrice mongole a très bien su restituer la double vie difficile de ce jeune chaman de 17 ans partagé entre sa mission chamanique et sa propre vie d’ado dans son environnement social et amoureux qu’il tente d’assumer tant bien que mal. Ce film très attachant nous fait aussi découvrir les beaux paysages de la Mongolie et ses mœurs.

    Bernard CORIC
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