Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Libération
par Laura Tuillier
Un long métrage mongol mettant en scène un ado magnifiquement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
par Nadia Meflah
Sensible portrait d’un jeune homme au destin particulier, ce premier film dune jeune cinéaste mongole est aussi une élégie à la vie et à ses renoncements.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Un film subtil et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une grande douceur et d’une spiritualité enchanteresse.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une histoire touchante de Lkhagvadulam Purev-Ochir, portée par un acteur débutant, Tergel Bold-Erdene, très charismatique.
Première
par Nicolas Moreno
Un jeune chaman aussi, peut rencontrer une fille, en tomber amoureux, devenir un peu bê-bête et ne plus penser qu’à ça. La grande qualité de ce premier film récompensé à Venise réside dans le renversement des valeurs qu’il opère entre le chamanisme et un premier amour (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
L’envoûtement que produit ce premier long métrage délicat, inspiré autant d’un fait réel que du premier épisode du "Décalogue" d’Andrej Kieslowski, repose sur une quête d’indicible au cœur des réflexions contemporaines sur le retour à la spiritualité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si la fin s’effiloche un peu, le film restitue avec adresse l’hésitation impassible du héros, impeccablement campé par le jeune Tergel Bold-Erdene, récompensé cette année au Festival de Venise (Orizzonti).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Dans une Mongolie entre tradition ancestrale et modernité galopante, dont il dresse un portrait critique, notamment concernant une jeunesse croulant sous les attentes de leurs aînés, ce joli film à la mise en scène un peu sage coche toute les cases du récit de formation, mais le transcendant éveil amoureux de son héros touche, comme la vérité qui se dégage de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Faire l’amour, boire et sortir jusqu’à point d’heure ? Ou rester sur le chemin tracé par la communauté ? L’envie d’ausculter ce mal-être a été le moteur du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Le portrait émouvant d'une jeunesse désemparée face aux complexités du monde moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Film de rencontre et de tissage plutôt que d’opposition, Un jeune chaman trouve dans ces images un naturalisme empreint d’une spiritualité intensément magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Fascinée par ces beaux visages, la réalisatrice ne développe sans doute pas assez son scénario, mais la douceur rêveuse du film raconte joliment la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’écartèlement d’un adolescent entre les référents culturels traditionnels et les codes de sa génération est traité avec une mise en scène sincère et courageuse mais un peu linéaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
Un long métrage mongol mettant en scène un ado magnifiquement interprété.
Bande à part
Sensible portrait d’un jeune homme au destin particulier, ce premier film dune jeune cinéaste mongole est aussi une élégie à la vie et à ses renoncements.
Franceinfo Culture
Un film subtil et poétique.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une grande douceur et d’une spiritualité enchanteresse.
Ouest France
Une histoire touchante de Lkhagvadulam Purev-Ochir, portée par un acteur débutant, Tergel Bold-Erdene, très charismatique.
Première
Un jeune chaman aussi, peut rencontrer une fille, en tomber amoureux, devenir un peu bê-bête et ne plus penser qu’à ça. La grande qualité de ce premier film récompensé à Venise réside dans le renversement des valeurs qu’il opère entre le chamanisme et un premier amour (...).
Culturopoing.com
L’envoûtement que produit ce premier long métrage délicat, inspiré autant d’un fait réel que du premier épisode du "Décalogue" d’Andrej Kieslowski, repose sur une quête d’indicible au cœur des réflexions contemporaines sur le retour à la spiritualité.
L'Obs
Si la fin s’effiloche un peu, le film restitue avec adresse l’hésitation impassible du héros, impeccablement campé par le jeune Tergel Bold-Erdene, récompensé cette année au Festival de Venise (Orizzonti).
Le Journal du Dimanche
Dans une Mongolie entre tradition ancestrale et modernité galopante, dont il dresse un portrait critique, notamment concernant une jeunesse croulant sous les attentes de leurs aînés, ce joli film à la mise en scène un peu sage coche toute les cases du récit de formation, mais le transcendant éveil amoureux de son héros touche, comme la vérité qui se dégage de ses interprètes.
Le Monde
Faire l’amour, boire et sortir jusqu’à point d’heure ? Ou rester sur le chemin tracé par la communauté ? L’envie d’ausculter ce mal-être a été le moteur du film.
Le Point
Le portrait émouvant d'une jeunesse désemparée face aux complexités du monde moderne.
Les Inrockuptibles
Film de rencontre et de tissage plutôt que d’opposition, Un jeune chaman trouve dans ces images un naturalisme empreint d’une spiritualité intensément magnétique.
Télérama
Fascinée par ces beaux visages, la réalisatrice ne développe sans doute pas assez son scénario, mais la douceur rêveuse du film raconte joliment la jeunesse.
aVoir-aLire.com
L’écartèlement d’un adolescent entre les référents culturels traditionnels et les codes de sa génération est traité avec une mise en scène sincère et courageuse mais un peu linéaire.