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Votre avis sur Hors-saison ?
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Comédie dramatique de Stéphane Brizé qui n'a pas choisi Vincent Lindon, acteur fétiche, mais Guillaume Canet, qui nous transporte dans un centre de remise en forme en Bretagne et ses environs ( comme l'affiche le suggère ). Attention, ce n'est pas un film d'action, plutôt à l'opposé, qui va laisser une énorme place à la réflexion et l'introspection... Quelques scènes font écho aux productions de Claude Lelouch, tant par le décor de mer, que par les dialogues mesurés voire millimétrés. Face à Mathieu, un acteur déprimé et perdu, admirablement joué par G Canet, Alice ( Alba Rohrwacher ) quant à elle, en toute modestie et résignée, forte de son accent et de sa douceur, nous tient en haleine, car tout repose sur elle, malgré un scénario très lent et limite ennuyeux. Cependant, je la trouve attachante et même surprenante et touchante. Un film psychologique qui ne peut plaire à tous, mais qui possède quelques atouts certains....!!**
Beau mélodrame de Stéphane Brizé sur sur l'amour et les choses de la vie qui parfois nous submergent . Alba Rohrwacher et Guillaume Canet sont parfait dans leurs rôle mais ce que je retiendrais en 1er c'est le très beau thème musical signé Vincent Delerm !
"Hors saison" de Stéphane Brizé, avec Guillaume Canet, est un film qui promet plus qu'il ne livre. L'histoire suit Mathieu, un acteur en crise cherchant refuge dans une thalassothérapie, mais malgré une performance sincère de Canet, le film peine à captiver. La lenteur du rythme et l'introspection constante rendent le visionnage parfois laborieux. Bien que Brizé parvienne à créer une atmosphère intimiste et certains moments touchants, l'ensemble manque de dynamisme et de surprise. Le film est une réflexion honnête sur la solitude et les conflits internes, mais son approche trop pesante et monotone le rend difficile à apprécier pleinement. En somme, "Hors saison" est un effort louable mais décevant, méritant une note de 2/5.
Un mélodrame efficace ! Hors saison est film mélangeant plusieurs genres. On bascule entre l'histoire dramatique et la romance. J'adore voir Guillaume Canet dans ce genre de rôle. Je trouve que c est dans ce genre de rôle où il est exploite au mieux son talent. L'actrice qui l accompagne est très bien aussi ! Après une première partie très convainquante, la seconde est assez "longue" en termes de ressentie. Si on s accroche aux personnages, on passera par toutes les émotions. Pour ma part, j ai trouvé l'histoire touchante même si le film m'a paru assez long. Un bon film tout de même
Très bon film, qui n'a pas plu à tout le monde, étant donné son rythme, et son manque d'action. Mais j'ai beaucoup apprécié cette introspection et ces retrouvailles, des années + tard, après une histoire mal terminée ...
Mathieu est un célèbre comédien, qui enchaîne les succès au cinéma. Alors qu’il abandonne son premier projet au théâtre, il se réfugie dans une balnéothérapie pour faire le point sur son parcours et retrouve Alice, une ancienne compagne quittée avant de connaître la gloire. L’occasion de revenir sur cette romance passée. C’est touchant mais un peu fade…
Hors-Saison est un film doux, bercé par la musique de Vincent Delerm (principalement piano, la chanson avec sa voix n'est pas présente dans le film).
Guillaume Canet est assez touchant en comédien connu mais déprimé.
Intéressantes retrouvailles avec une ancienne amoureuse de 16 ans auparavant.
Quelques longueurs toutefois.
Guillaume Canet est assez touchant en comédien connu mais déprimé.
Intéressantes retrouvailles avec une ancienne amoureuse de 16 ans auparavant.
Quelques longueurs toutefois.
Mais qu’est il donc arrivé à Stéphane Brize qui nous avait passionné dans nombre de films très forts ?
Assez nombriliste , enchaînant les clichés et les images de plage vues mille fois , ce film m’a terrassé d’ennui et je l’ai abandonné assez vite.
Sûr le diagnostic final, un gros doute : est ce un film comique au second degré ou du Lelouch anémié ?
Une petite étoile pour Alba, comédienne toujours inspirée
Assez nombriliste , enchaînant les clichés et les images de plage vues mille fois , ce film m’a terrassé d’ennui et je l’ai abandonné assez vite.
Sûr le diagnostic final, un gros doute : est ce un film comique au second degré ou du Lelouch anémié ?
Une petite étoile pour Alba, comédienne toujours inspirée
Film lent, mais pas trop long, comme je le craignais. Cette lenteur sert bien le scénario avec des acteurs au top dans un cadre enchanteur de la Bretagne sud.
Stephane bride nous avais habitué depuis quelques années de réaliser des films sur les luttes sociales avec son acteur fétiche Vincent Lindon ( en guerre, la loi du marché ).
Hors saison est un mélodrame qui a pour principal thème la.nostalgie, les regrets d une vie, fait on les bons choix. Guillaume canet joue un acteur de cinéma célèbre qui doit faire une cure de repos, dont il s ennuit à mourir et d une solitude avérée. Un matin il reçoit un message a la réception d une femme qui était son premier amour.
Ces retrouvailles vont raviver les bon moments mais peu à peu les remontrances et l amour vont se mêlet et va provoquer un tsunami sentimental qui peut bouleverser leur vie qu il et elle a construit.
Une musique doucereuse, de beaux décors et surtout l interprétation d alba rorhrwachter magnifique jouant une femme déchirée, malheureuse et à la fois si rayonnante, elle m a impressionné.
Au-delà de ça le film est assez mou et assez sentencieux parfois avec de nombreuses longueurs qui peut-être harassante.
Hors saison est un mélodrame qui a pour principal thème la.nostalgie, les regrets d une vie, fait on les bons choix. Guillaume canet joue un acteur de cinéma célèbre qui doit faire une cure de repos, dont il s ennuit à mourir et d une solitude avérée. Un matin il reçoit un message a la réception d une femme qui était son premier amour.
Ces retrouvailles vont raviver les bon moments mais peu à peu les remontrances et l amour vont se mêlet et va provoquer un tsunami sentimental qui peut bouleverser leur vie qu il et elle a construit.
Une musique doucereuse, de beaux décors et surtout l interprétation d alba rorhrwachter magnifique jouant une femme déchirée, malheureuse et à la fois si rayonnante, elle m a impressionné.
Au-delà de ça le film est assez mou et assez sentencieux parfois avec de nombreuses longueurs qui peut-être harassante.
Un film très long . Le réalisateur confond lenteur et longueur .. heureusement que cette œuvre est rattrapée par le charme de l’actrice qui crève l’écran .
Un film hélas très moyen. Malgré les intentions d'imiter Lellouche, Canet n'est pas Trintignant et la mayonnaise ne prend pas malgré quelques passages touchants. Le film est trop lent et sans gaité du tout.
J’avais beaucoup aimé Je ne suis pas là pour être aimé et les films de Brizé sur le monde du travail. Hors saison, film sur les frustrations et les déceptions d’un comédien gâté et égocentrique et ses retrouvailles avec un amour de jeunesse devenue une bourgeoise de province m’a vraiment déçu. C’est le moins bon de sa filmographie. Long et sans surprise mais, comme toujours, la bande-musicale et chanson de Vinvcent Delerm sont superbes. Quel talent ! Malheureusement, ça ne suffit pas à sauver un film interminable où on s’ennuie beaucoup.
On a adoré ! Film d’une grande sensibilité. Façon de filmer, musique, paysages, complicité des acteurs… on a ri et souri et presque pleuré.
Merci pour ce beau moment !
Merci pour ce beau moment !
Le creux de la vague
J’adore le cinéma de Stéphane Brizé. Soyons précis, j’aime surtout le Brizé de son triptyque social, La loi du marché, En guerre et Un autre monde, pour lequel il a été qualifié de Ken Loach français. Avec ces 106 minutes, on a l’impression de retrouver le cinéaste de 2009 dans la veine de Mademoiselle Chambon. Bien, mais on regrette le Brizé plus engagé. Mathieu habite Paris, Alice vit dans une petite cité balnéaire dans l’ouest de la France. Il caresse la cinquantaine, c’est un acteur connu. Elle a dépassé la quarantaine, elle est professeure de piano. Ils se sont aimés il y a une quinzaine d’années. Puis séparés. Depuis, le temps est passé, chacun a suivi sa route et les plaies se sont refermées peu à peu. Quand Mathieu vient diluer sa mélancolie dans les bains à remous d’une thalasso, il retrouve Alice par hasard. De la comédie dramatique solide, très bien écrite et très bien interprétée.
Comme dans tous ses films, ce cinéaste met en scène « la désillusion ». Tous ses personnages ont cru en quelque chose, ils avaient toutes et tous une certaine idée du monde et de l’Homme. Et puis, leur regard a été changé par la trahison ou l’abandon. Après ses trois films durs, âpres et politiquement engagés, Brizé avoue lui-même un besoin de questionner ce moment où j’étais épuisé par la colère sur laquelle s’étaient construits mes films. Alors, on comprend mieux le choix de d’un cadre paisible, sans tumulte. En vérité, cette thalasso hors saison, cette cité balnéaire endormie, sonne comme une parenthèse dans un cycle. Autre signe de ce moment d’apaisement, le réalisateur délaisse son habituelle caméra à l’épaule pour la poser sur un pied. Bref, un joli moment d’élégance de poésie et d’autodérision mêlées qui se laisse déguster comme une confiserie, c’est bon, mais ça passe vite sans laisser de souvenirs impérissables.
Le film repose évidemment sur le duo formé par Guillaume Canet et Alba Rohrwacher. Lui confirme que c’est un excellent acteur et elle, a cette présence lumineuse qui nous fait regretter qu’on ne la voit pas plus souvent dans d’aussi beau rôle. La romance est à la fois souriante et mélancolique, le drame est laissé en sourdine soutenu par la musique de Vincent Delherm – qui n’est évidemment pas une garantie de joie de vivre -. Ce film n’est pas seulement hors saison, mais aussi hors mode, mais c’est un moment de quiétude qui fait du bien.
J’adore le cinéma de Stéphane Brizé. Soyons précis, j’aime surtout le Brizé de son triptyque social, La loi du marché, En guerre et Un autre monde, pour lequel il a été qualifié de Ken Loach français. Avec ces 106 minutes, on a l’impression de retrouver le cinéaste de 2009 dans la veine de Mademoiselle Chambon. Bien, mais on regrette le Brizé plus engagé. Mathieu habite Paris, Alice vit dans une petite cité balnéaire dans l’ouest de la France. Il caresse la cinquantaine, c’est un acteur connu. Elle a dépassé la quarantaine, elle est professeure de piano. Ils se sont aimés il y a une quinzaine d’années. Puis séparés. Depuis, le temps est passé, chacun a suivi sa route et les plaies se sont refermées peu à peu. Quand Mathieu vient diluer sa mélancolie dans les bains à remous d’une thalasso, il retrouve Alice par hasard. De la comédie dramatique solide, très bien écrite et très bien interprétée.
Comme dans tous ses films, ce cinéaste met en scène « la désillusion ». Tous ses personnages ont cru en quelque chose, ils avaient toutes et tous une certaine idée du monde et de l’Homme. Et puis, leur regard a été changé par la trahison ou l’abandon. Après ses trois films durs, âpres et politiquement engagés, Brizé avoue lui-même un besoin de questionner ce moment où j’étais épuisé par la colère sur laquelle s’étaient construits mes films. Alors, on comprend mieux le choix de d’un cadre paisible, sans tumulte. En vérité, cette thalasso hors saison, cette cité balnéaire endormie, sonne comme une parenthèse dans un cycle. Autre signe de ce moment d’apaisement, le réalisateur délaisse son habituelle caméra à l’épaule pour la poser sur un pied. Bref, un joli moment d’élégance de poésie et d’autodérision mêlées qui se laisse déguster comme une confiserie, c’est bon, mais ça passe vite sans laisser de souvenirs impérissables.
Le film repose évidemment sur le duo formé par Guillaume Canet et Alba Rohrwacher. Lui confirme que c’est un excellent acteur et elle, a cette présence lumineuse qui nous fait regretter qu’on ne la voit pas plus souvent dans d’aussi beau rôle. La romance est à la fois souriante et mélancolique, le drame est laissé en sourdine soutenu par la musique de Vincent Delherm – qui n’est évidemment pas une garantie de joie de vivre -. Ce film n’est pas seulement hors saison, mais aussi hors mode, mais c’est un moment de quiétude qui fait du bien.
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