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    Hors-saison
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    Fabrice Jaillet
    Fabrice Jaillet

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mars 2024
    J'adore Guillaume Canet, mais après ''Acide'' qui m'avait déjà fortement déplu, voilà qu'il nous présente le film le plus soporifique au monde ! Pourquoi autant de longueur ? Tant de plans inutiles et sans fin ! On le voit ouvrir et fermer une porte électrique avec une télécommande pendant combien de temps ? on le voit lire…. on le voit penser… On voit des paysages pendant de longues minutes… il ne se passe rien. Ce film, c'est du rien. 1h55 de rien. Le néant, l'ennui total… Je ne comprend pas le projet du réalisateur ! Par chance je me suis endormi, mais j'aurai du partir … je m'en veux.
    bref, fuyez.
    cyrano123
    cyrano123

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2024
    Très beau film. Tout en délicatesse. Peu de mots mais tout est dit. Quel talent de la part du réalisateur de savoir ainsi jouer des silences dans son film, des silences très évocateurs. De l'humour aussi. De la légèreté et de la profondeur. J'ai adoré.
    Gisou56
    Gisou56

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2024
    J'ai adoré... Guillaume Canet touchant et drôle parfois ..Alba R. sublime émouvante naturelle..
    Une belle histoire filmé dans une belle région...
    A voir absolument...
    Frédérique l
    Frédérique l

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2024
    Un film émouvant que j'ai eu la chance de voir en avant première. Le début un peu lent avec beaucoup de silence m'a fait un peu peur, mais ensuite je suis tombée sous le charme des acteurs et d'une histoire banale qui peu arriver à tout le monde. Un film magnifique, émouvant avec des acteurs formidables. J'ai découvert Alba Rohrwacher, sublime dans son rôle. Pour le décor, le réalisateur nous montre une Bretagne grise avec une mer démontée sur la côte sauvage de Quiberon. Heureusement pour nous, la Bretagne est souvent avec un ciel bleu mais pour le film, ce ciel gris allait à merveille. A découvrir dans modération.
    Naud5
    Naud5

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Long, plat, ennuyeux …
    On attend une action, un rebondissement, qui ne vient jamais.
    Des personnes sont même parties avant la fin du film…
    Isabelle Barbé
    Isabelle Barbé

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 mars 2024
    nullissime, il ne se passe rien. D'un ennui mortel. j'ai même été tentée de quitter la salle avant la fin, mais il y avait du monde de chaque côté.
    Catherinefonbard79
    Catherinefonbard79

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2024
    J'aime en général les films de Brizet mais je suis déçue. Le scénario manque de rythme. On s’ennuie on ne s’accroche à pas grand chose
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2024
    J’ai trouvé le film par moments ambigu. Guillaume Canet semble vraiment dépressif pendant le film, et cette dépression m’a gagné peu à peu....La première demie heure est bien longue, puisque GC reçoit deux coups de fil, fait de la thalasso et du café, sans voir personne...Dépression vous dis je, pendant trente minutes.
    C’est alors qu’arrive Alba Rohrwacher, ( elle m’a fait penser à une relation de fac, Hélène) et je comprends que le film raconte une histoire d’amour, il était temps l’émotion me gagne, et cette histoire est d’une rare délicatesse, d’une grande pudeur, on pense à Lelouch (un homme et une femme) ;..Le passé ressurgit, les fantômes aussi, on comprend aussi que l’amour rend toujours malheureux l’un ou l’autre....Un peu d’humour ( les poissons )au restaurant, pour ne pas sombrer dans le pathos, le film se termine avec une vraie émotion....Chacun revit une histoire, l’amour est universel et éternel, ce film le prouve, avec beaucoup de tendresse....Je conseille sans insister...
    Pierre C
    Pierre C

    56 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2024
    Des plans courts serrés au plans larges, Stéphane Brizé nous offre de longs plans aériens magnifié par un paysage somptueux, avec en ligne de mire l’océan à perte de vue, comme s’il nous disait que Laurent n’a d’autre issue que d’affronter son destin en se retournant vers Hélène. Amour retrouvé, ils réapprennent à se connaitre, se pardonne mais ils ne doivent pas se revoir… Et pourtant ils vont le faire, tout en se demandant si les choix effectués 15 ans auparavant étaient les bons et s’il avait été différents, qu’en serait-il de nos jours. Impressionnant de maitrise, Brizé à cette capacité de nous faire comprendre la pensée des personnages juste en concentrant sa caméra sur leur visage, et en floutant tout ce qu’il y a autour, comme lors d’un repas entre amis où la caméra reste fixée de longues secondes sur Hélène. Il réitère ce geste plusieurs fois pendant le film notamment avec Laurent, lorsqu’il écoute une symphonie de piano dans ses écouteurs, mais que nous n’entendons rien. Aucun bruit, le silence, juste l’expression sincère de Canet. Cela renforce les émotions entre nos deux protagonistes tout en laissant une marge de manœuvre confortable aux comédiens pour démontrer leur talent. La musique de Delerm colle parfaitement et fusionne avec ces performances tout en unissant les sentiments.
    Mais souvent lorsqu’il s’agit d’histoires comme celles-ci, le rythme est parfois ralenti, et ici on peu dire qu’il est lent. Comme évoqué plus haut, le traitement des silences et des plans étirés sur l’écume des vagues est une des qualités du film mais le fait de les faire durer plusieurs minutes le dessert également, cela décorrèle fréquemment les dialogues.
    Hors Saison est plein de sensualité mais qui, malheureusement, manque quand même de rythme et d’intensité dans son histoire. Lenteur, complexité et beautés des images en sont les maitres mots. Le cinéaste décrit combien le rythme de l’intime diffère de celui de la société actuelle, et au final, on obtient un joli film capable de susciter des émotions et des sentiments
    Boby 53
    Boby 53

    18 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2024
    "Un homme et une femme" sous anxiolytiques, autant préférer l'original ! Des plans interminables sur le tourisme breton hors saison, ça on avait compris, un acteur dépressif qui se regarde le nombril, seul bon moment ( mais sur joué) la fête à l'EPHAD, et surtout la confession de la vieille dame sur son homosexualité enfin admise et révélée. Le reste, les retrouvailles, téléphonees, sont sans intérêt.
    Roger D
    Roger D

    80 abonnés 895 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2024
    Première chose ne soyez pas trop fatigué pour voir ce film sinon vous risquez de faire un petit roupillon. Oui ok le film n'est pas là pour vous en mettre plein les yeux mais faut avouer qu'il faut se taper le début même si cela commence sur un ton léger. Puis lorsqu'il se voit et ben au fur et à mesure il arrive ce qui arrive entre deux ex pas bien dans leur peau. C'était pas si mal et disons que certaines scènes gâchent l'ensemble comme celle où ils couchent ensemble...était ce bien nécessaire alors qu'un départ sur une belle soirée était certes triste mais bien meilleur que de les faire coucher ensemble. Surtout qu'ensuite on repart sur des discussions, une embrouille et un rabibochage qui était obligatoire...donc le films est en 3 partie... 1) zzzzzzz 2) pas mal 3) rerererevu...dommage c'est inconstant pourtant je trouve car Canet et Rorhwacher sont bien dans leur et n'en font pas des tonnes.
    NOTE : 5.5/10
    Ciné-13
    Ciné-13

    124 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2024
    Déprime assistée par cinéma!
    Cette romance s'étire à force de longueurs ou de langueurs peut-être évitables...
    ROHRWACHER est sensible, attachante, émouvante, saturée de remords enfouis spoiler: (l'épilogue de la rupture est magnifique : elle a organisé ces retrouvailles pendant 15 ans)
    . Il y a 3 belles séquences : le coach sportif sur la plage de Quiberon en plein vent, la confession de la pensionnaire de l'Ehpad et le show des imitateurs d'oiseaux.
    Mais le reste est monotonie, mélancolie, tristesse, frustration,...
    carole B.
    carole B.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Je me suis ennuyée pendant tout le film. Il ne se passe rien ou presque rien. La caméra s'arrête sur des objets, des personnages.
    selenie
    selenie

    6 342 abonnés 6 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2024
    On est presque en huis clos dont les deux autres personnages principaux sont les deux décors "uniques", l'hôtel thalasso et la station balnéaire et surtout son bord de mer. Des décors en adéquation avec la mélancolie du personnage et à son introspection. Malheureusement le récit reste aussi monotone que monocorde et il ne se passe rien de bien intéressant pendant une bonne demi-heure. En résumé un client seul qui fait un massage, un soin ou autre et qui s'énerve sur une cafetière bêtement alors qu'il s'avère assez con pour ne pas simplement débrancher la machine. L'intelligence du réalisateur est aussi dans le choix de sa mise en scène, beaucoup plus statique et posé qu'à son habitude ce qui s'explique par un choix technique malin et logique, celui de délaisser la caméra à l'épaule pour la placer sur un pied. Ce choix permet d'imposer une certaine immobilité qui correspond aussi à l'esprit de Mathieu/Canet, celui d'un homme paumé, seul, qui s'est cloisonné loin de sa vie parisienne pour tenter de se retrouver. Mais si on comprend les choix technique du réalisateur on reste perplexe sur le fond de l'histoire qui manque de chair et d'enjeu, on dirait du Claude Lelouch apathique. En tant que grand amateur de Stephane Brizé c'est la plus grande déception de sa filmo à ce jour.
    Site : Selenie.fr
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2024
    Mathieu (Guillaume Canet quasiment dans son propre rôle) est un acteur célèbre en pleine crise de la quarantaine. Noué par la peur de l’échec, il vient de laisser en plan la pièce de théâtre qu’il devait interpréter deux semaines avant la première. Loin de Paris, il se réfugie à Quiberon pour une semaine de thalassothérapie. Alice (Alba Rohrwacher) l’y retrouve. Elle fut son amoureuse quinze ans plus tôt avant de venir s’installer en Bretagne, s’y marier et y avoir un enfant.

    Stéphane Brizé délaisse « les terres brûlantes du cinéma social et engagé » (l’expression est superbe, mais hélas Télérama l’a écrite avant moi). Il délaisse aussi Vincent Lindon, son acteur fétiche. Après "La Loi du marché" (2015), "En guerre" (2018) et "Un autre monde" (2021), une trilogie qui, à mes yeux, compte parmi les meilleurs films réalisés en France ces dernières années, Stéphane Brizé revient à une veine intimiste, qu’il avait déjà fait résonner avec l’adaptation du roman de Eric Holder, "Mademoiselle Chambon", que j’avais elle aussi adorée.

    "Hors-saison" renferme deux films en un. Le premier a pour seul héros Guillaume Canet, dans un registre autobiographique proche de celui qu’il avait déjà emprunté pour l’hyper-réussi "Rock’n Roll" et le terriblement raté "Lui". C’est l’histoire houellebecquienne d’une star triste qu’une cafetière détraquée fait fondre en larmes : la monotonie des soins, les repas pris seul à table, les rares conversations téléphoniques avec sa femme à Paris (Marie Drucker, star du 20h, qui a cosigné le scénario avec Stéphane Brizé) les clients de l’hôtel et ses employés qui lui demandent timidement un selfie que Mathieu/Guillaume accepte de bonne grâce…

    Avec l’arrivée d’Alba Rohrwacher commence un second film. Il est frappé au sceau de la nostalgie, celle des amours passées, des regrets sinon des remords. Quinze ans plus tôt, Mathieu a quitté Alice. Fatalement blessée, elle a quitté Paris et s’est lentement reconstruite dans cette petite ville littorale de Bretagne. Tandis que Mathieu volait de succès en succès, devenait la star qu’il avait vocation à être, Alice s’est éteinte dans une vie routinière de professeure de piano, d’épouse et de mère, dont elle ne parvient pas à déterminer si elle la comble ou la frustre. Les anciens amants se retrouvent, se réconcilient, se pardonnent, caressent l’espace d’une nuit l’espoir de renouer la chaîne des temps, avant de finalement se quitter. Mais j’en ai peut-être trop dit…

    Je suis un fan de la première heure de Guillaume Canet. J’ai le sentiment, totalement fantasmagorique, qu’on pourrait devenir les meilleurs amis du monde (quel intérêt pourrait-il trouver à un conseiller d’Etat narcissique ?!). J’aime son humour, ses yeux étrécis, sa barbe de trois jours, son auto-dérision…. Je trouve qu’il fait des choix de carrière intelligents et qu’il accepte de prendre des risques. J’aime la lucidité dont il fait preuve sur la célébrité dont il jouit, ses ressorts et aussi sa fragilité. "Rock’n Roll" précité restera pour moi l’un des films les plus culottés qui soit.
    Au contraire, je n’étais jusqu’à présent guère convaincu par Alba Rohrwacher. Réincarnation contemporaine de la Gelsomina de "La Strada", je lui reprochais d’être dans l’excès. Je l’ai au contraire trouvée impeccable, plus taiseuse, plus retenue, dans Hors-saison. Elle n’a pas un rôle facile. Elle le joue pourtant à la perfection.

    Je comprends fort bien qu’on puisse ne pas aimer ce film, qu’on puisse même s’y ennuyer, comme l’ont manifesté plusieurs spectateurs de la salle où je l’ai vu qui l’ont quittée en soupirant bruyamment. Une amie a même parlé d’un « kolossal NAVET » (en majuscules).
    Pour autant, je le conseille chaleureusement à tous mes amis un peu neurasthéniques qui, lorsqu’ils jettent un regard rétrospectif sur leur vie, jugent lucidement, comme Mathieu/Guillaume que « tout ne va pas bien mais que le tout va bien ».
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