AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,7
982 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Hors-saison ?
5
25 critiques
4
73 critiques
3
43 critiques
2
37 critiques
1
25 critiques
0
31 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Les acteurs sont remarquables, les paysages magnifiques. C’est un film d’une grande sensibilité tout en nuances . La musique est très belle! Bref c’est à voir!!!
Stéphane Brize est sans doute un des ( rares ) cinéastes français en activité a disposer d'une filmographie de qualité ( la trilogie du travail constitue sans doute un marqueur qui restera dans les mémoires).
Malheureusement avec " hors saison" le cinéaste trébuche et rate complètement son affaire.
Faisant parfois penser ( en beaucoup moins réussi) à " Lost in translation" de S. Coppola ou au récent " past lives" , " hors saison" repose pourtant sur un pretexte prometteur.
Un acteur à succès, marié, qui connait une période d'instabilité intérieure retrouve par hasard une ancienne petite amie, mariée elle aussi, qu'il avait plaquée dans le passé.
La difficulté de ce genre de proposition qui repose essentiellement sur les dialogues, c'est qu'elle doit permettre de dessiner un portrait intime au moins partiellement fouillé des personnages, pour susciter l'intérêt.
Or, à l'écran rien de tout çà. Quelques vagues pistes suggérées certes, mais rien de profond au point qu'on a l'impression que de nombreuses scènes sont improvisées ( et pas très bien).
Canet n'est pas au mieux, voire même pas bon ( son personnage n'est ( à mes yeux du moins) même pas intéressant) tandis que A.Rorhwacher, elle, beaucoup plus à son aise est handicapée par un fort accent qui rend certains échanges étirés inaudibles.
Quelques scènes fonctionnent tout de même ( l'interview de la dame âgée - sans doute le moment le plus intéressant) qui évitent le naufrage total.
Bref depuis le réussi " Mme Chambon" qui remonte à une quinzaine d'années, on a affaire ici à l'opus largement le plus faible du cinéaste.
Malheureusement avec " hors saison" le cinéaste trébuche et rate complètement son affaire.
Faisant parfois penser ( en beaucoup moins réussi) à " Lost in translation" de S. Coppola ou au récent " past lives" , " hors saison" repose pourtant sur un pretexte prometteur.
Un acteur à succès, marié, qui connait une période d'instabilité intérieure retrouve par hasard une ancienne petite amie, mariée elle aussi, qu'il avait plaquée dans le passé.
La difficulté de ce genre de proposition qui repose essentiellement sur les dialogues, c'est qu'elle doit permettre de dessiner un portrait intime au moins partiellement fouillé des personnages, pour susciter l'intérêt.
Or, à l'écran rien de tout çà. Quelques vagues pistes suggérées certes, mais rien de profond au point qu'on a l'impression que de nombreuses scènes sont improvisées ( et pas très bien).
Canet n'est pas au mieux, voire même pas bon ( son personnage n'est ( à mes yeux du moins) même pas intéressant) tandis que A.Rorhwacher, elle, beaucoup plus à son aise est handicapée par un fort accent qui rend certains échanges étirés inaudibles.
Quelques scènes fonctionnent tout de même ( l'interview de la dame âgée - sans doute le moment le plus intéressant) qui évitent le naufrage total.
Bref depuis le réussi " Mme Chambon" qui remonte à une quinzaine d'années, on a affaire ici à l'opus largement le plus faible du cinéaste.
Très beau film tout en sensibilité. J'ai eu peur que Canet joue du Canet, un personnage centré sur lui-même, mais pas du tout. Une belle mise en scène, de beaux paysages.
J'ai adoré, un film touchant comme on n'en fait plus. Merci à Gaumont de prendre le risque de produire et distribuer ce genre de films intimistes et romantiques (tout en étant loin du cliché du prince charmant).
Un genre de films qui marche de moins en moins au box-office dans un monde qui se radicalise d'année en année, en espérant que celui-ci rencontre son public, en tout cas il à tout les atouts pour que ça soit le cas !
Un genre de films qui marche de moins en moins au box-office dans un monde qui se radicalise d'année en année, en espérant que celui-ci rencontre son public, en tout cas il à tout les atouts pour que ça soit le cas !
Grande fan de Guillaume Canet, je suis allée voir Hors saison avec un apriori positif. Quelle déception ! Rien à dire concernant le jeu d’acteur, Guillaume Canet et son acolyte Alba Rohrwacher nous délivrent un talentueux spectacle. Malheureusement le scénario manque cruellement de matière et de rythme. On s’ennuie et on se demande où l’histoire va nous mener car même si on perçoit dès le départ le mélodrame amoureux on s’accroche à un petit espoir de voir un moment quelque chose se passer. Mais non, on restera dans le mélo toxique jusqu’au bout entre « je te veux » « mais non laisse moi ». Les inconnus avaient parodié ce genre de film, au moins ils nous faisaient rire. Ici on rit peu et on s’ennuie beaucoup.
Grosse déception, film tres très lent, scénario inexistant, on attend que le film commence pendant 1h55 sans succès. C'est la première fois depuis longtemps que je ressors du cinéma avec le sentiment d'avoir perdu mon temps.....
film très ennuyeux ,les dialogues sont pauvres ils ne se passe rien, l'histoire est très banale, même Canet a l'air de s'ennuyer. passez votre chemin !
Je suis actuellement en pleine séance et je lutte pour ne pas m'endormir ou partir. Les longueurs sont abominables, l'action inexistante, le scénario absent ... Pas beaucoup d'humour et surtout beaucoup de mélancolique, trop morne et fade ...
Un scénario léger, un rythme extrêmement lent ou chaque scène tirent en longueur. La musique colle très bien à l'esprit du film et les images sont jolies.
Film un peu simpliste qui effleure de façon superficielle plusieurs sujets et assez pessimiste sur une relation toxique ou chacun apporte ses problèmes sans se retrouver
De plus en plus égocentrique!
Déception Longueurs ! J’ai quitté la salle avant la fin ! Dommage pour un si bon acteur
Déception Longueurs ! J’ai quitté la salle avant la fin ! Dommage pour un si bon acteur
Je me suis ennuyé fermé pendant toute la projection. Il ne se passe pas grand chose. En plus une petite ville breton ne sans charme. Même la mer et la côte rocheuse n' ont aucun attrait. Tout est sec comme l'âme du personnage principal. En bref très peu d interet.
Après sa trilogie sur le travail (La loi du marché, En guerre et Un autre monde), Stéphane Brizé nous offre un film sans son acteur fétiche, Vincent Lindon, et revient à un style plus intimiste, proche de Mademoiselle Chambon, à travers les retrouvailles inattendues entre un acteur célèbre et une femme qu'il a aimée quinze ans plus tôt.
Trois sentiments contradictoires se mélangent devant ce film :
- s'amuser de voir Guillaume Canet choisir une nouvelle fois un rôle quasi auto-biographique, dans lequel il fait preuve de beaucoup d'auto-dérision, dans une première partie plutôt drôle;
- s'agacer d'avoir l'impression d'être entraîné dans un drame bourgeois, à travers la crise existentielle d'un acteur en burnout, seul dans la suite deluxe d'un complexe de thalasso en bord de mer et dont l'un des problèmes majeurs est de ne pas parvenir à faire fonctionner la machine à café;
- finalement se laisser embarquer par ces paysages pluvieux et tomber sous le charme de cette histoire d'amour toute en retenue et pleine de mélancolie, notamment grâce au très beau thème musical signé Vincent Delerm, qui revient sans cesse comme une ritournelle entêtante.
L'on est également frappé par le calme que le film dégage, le temps qu'il prend pour capter les émotions contenues de ses deux personnages, dans une mise en scène très posée, bien loin de la caméra à l'épaule nerveuse de la trilogie précédente.
Le film propose également quelques moments de grâce comme la confession face caméra de cette vieille dame et la scène pleine de poésie de son mariage.
Si Canet surprend par son charme et le naturel de son jeu, conférant au film une dimension quasi documentaire, Alba Rohrwacher crève l'écran dans la peau de cette femme pleine de résilience, voire de résignation. Le film doit beaucoup à ses regards et à sa performance toute en profondeur.
Marie Drucker (qui a également co-écrit le scénario) est moins convaincante que dans le précédent film de Brizé, dans le rôle trop caricatural d'une épouse distante, insensible et carriériste que l'on n'entendra qu'au téléphone.
Un mélo délicat qui ne parvient toutefois pas à embarquer totalement.
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
Trois sentiments contradictoires se mélangent devant ce film :
- s'amuser de voir Guillaume Canet choisir une nouvelle fois un rôle quasi auto-biographique, dans lequel il fait preuve de beaucoup d'auto-dérision, dans une première partie plutôt drôle;
- s'agacer d'avoir l'impression d'être entraîné dans un drame bourgeois, à travers la crise existentielle d'un acteur en burnout, seul dans la suite deluxe d'un complexe de thalasso en bord de mer et dont l'un des problèmes majeurs est de ne pas parvenir à faire fonctionner la machine à café;
- finalement se laisser embarquer par ces paysages pluvieux et tomber sous le charme de cette histoire d'amour toute en retenue et pleine de mélancolie, notamment grâce au très beau thème musical signé Vincent Delerm, qui revient sans cesse comme une ritournelle entêtante.
L'on est également frappé par le calme que le film dégage, le temps qu'il prend pour capter les émotions contenues de ses deux personnages, dans une mise en scène très posée, bien loin de la caméra à l'épaule nerveuse de la trilogie précédente.
Le film propose également quelques moments de grâce comme la confession face caméra de cette vieille dame et la scène pleine de poésie de son mariage.
Si Canet surprend par son charme et le naturel de son jeu, conférant au film une dimension quasi documentaire, Alba Rohrwacher crève l'écran dans la peau de cette femme pleine de résilience, voire de résignation. Le film doit beaucoup à ses regards et à sa performance toute en profondeur.
Marie Drucker (qui a également co-écrit le scénario) est moins convaincante que dans le précédent film de Brizé, dans le rôle trop caricatural d'une épouse distante, insensible et carriériste que l'on n'entendra qu'au téléphone.
Un mélo délicat qui ne parvient toutefois pas à embarquer totalement.
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
Film soporifique au possible ! il faut vraiment s accrocher à son fauteuil pour ne pas tomber dans les bras de Morphée : scénario bateau, lent, insipide se déroulant dans une Bretagne hors saison ce qui n'aide pas du tout à s'accrocher, séquences hyper trop longues, notamment celle où est interviewée l'amie d'Alice dans l'ehpad, et je ne parle pas de la soi-disant musique qui n'est même pas digne de figurer au catalogue des berceuses. Bref, à éviter sauf si on aime Canet et encore !!
Très déçu. Scénario superficiel, des lenteurs malgré de belles images, dont on ne profite finalement pas.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse