Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Closer
par J.B.
Un trésor de poésie, d'autodérision et d'élégance.
Ouest France
par Philippe Lemoine
Dans Hors-saison, le temps s'écoulent et les sentiments ressurgissent.
20 Minutes
par Caroline Vié
Hors-saison est proche du plaisir délicat qu’on éprouve à titiller une écorchure, une plaie sans gravité qu’on ne laisse pas tout à fait se refermer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une œuvre drôle et émouvante, sur l'amour et les choses de la vie qui parfois nous submergent et nous fracassent.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Françoise Delbecq
On nage certes dans des images clichés mais elles nourrissent un mélo fort réussi.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un beau film d'amour, à la fois drôle et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Soutenu par un très beau thème musical signé Vincent Delerm, ce drame en sourdine doit beaucoup à Alba Rohrwacher, capable d’inscrire dans la variété bouleversante de ses regards – incroyables bulletins météorologiques – toute la tristesse d’une femme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Françoise Dargent
Un mélodrame réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Stéphane Brizé signe un film très émouvant, existentiel, dont le ton se révèle très éloigné de celui de ses films sociaux avec Vincent Lindon (« La Loi du marché », « En guerre », « Un autre monde »). Face à une Alba Rohrwacher lumineuse, Guillaume Canet est drôle et charmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Sur ce fil ténu des sentiments enfouis et qui renaissent, Stéphane Brizé joue une partition délicate, sensible, bien servie par le duo Alba Rohrwarcher-Guillaume Canet : elle fragile, dotée d'un charme fou, presque résignée sur sa vie ; lui, insatisfait, cafardeux et qui culpabilise de ne pas avoir été élégant lors de leur séparation, autrefois.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste de « La Loi du marché » met en scène les retrouvailles inattendues entre un acteur célèbre et une femme qu'il a aimée quinze ans plus tôt. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film hors-saison, hors mode et, surtout, profondément juste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Cette autopsie d'un couple en miettes opère grâce au charme de ses interprètes [...].
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Tout dans ce film est plein de douceur et de solitude, de volets fermés et de vies évanouies.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
"Hors-saison" est le film de Stéphane Brizé où le feuilletage entre le réel et la fiction est le plus subtil, où l'émotion est la plus intense.
Première
par Thierry Chèze
Guillaume Canet a certes déjà joué des doubles de lui-même dans Rock n’roll et Lui mais jamais depuis des années, il n’était apparu aussi lumineux, aussi à nu devant la caméra d’un réalisateur. Et face à lui, les mots manquent pour qualifier l’interprétation si juste, si précise, si dépouillée, si profonde d’Alba Rohrwacher.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Stéphane Brizé sonde au scalpel les non-dits d'une histoire d'amour. Il préfère la lucidité au mélo. Un film juste, âpre, émouvant, aussi mélancolique et propice au retour sur soi qu’une station balnéaire hors saison.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le talent de Brizé à construire des personnages complexes, dont les histoires peuvent aussi être les nôtres, fait mouche : qui, au cours de sa vie, ne s’est jamais demandé s’il avait fait les bons choix ?
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans la bulle intime d'un temps suspendu, Guillaume Canet retrouve son amour perdu. L'éclat oblique d'Alba Rohrwacher nimbe leur histoire d'une douce lumière.
La Croix
par Céline Rouden
Après sa trilogie sur le monde du travail, Stéphane Brizé revient à l’atmosphère douce-amère de ses débuts et signe un drame sentimental sensible sur un homme et une femme qui se retrouvent quinze ans après s’être aimés. Dans un registre nostalgique parfois déconcertant, le film doit beaucoup à la puissance émotionnelle d’Alba Rohrwacher.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Sur le papier, le nouveau film de Stéphane Brizé apparaît comme le paradigme souvent décourageant du drame bourgeois feutré et en huis clos. Sauf qu’à l’écran la délicatesse de son auteur et l’(im)pertinence de ses deux scénaristes (Marie Drucker est venue lui prêter main douce et forte) font la différence.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il faut accepter la règle du jeu : celle du temps qui passe, du temps des regrets, du temps sans dialogues. Un cinéma à contre-courant pour une romance inachevée qui reste solide sur ses fondations. Par la grâce de ses interprètes aussi.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Calme, mélancolique et hanté, le dixième long-métrage de Stéphane Brizé est une romance traversée par des courants souterrains contraires : les illusions perdues et retrouvées.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le parfum d'autrefois qui s'en dégage séduit, comme son beau duo d'interprètes à l'évidente complicité.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
À la fois faux documentaire sur Guillaume Canet et état des lieux de la vie de deux anciens amants, le nouveau Stéphane Brizé séduit par sa délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un beau film sur l’amour, le temps qui passe, le passé qui ne passe pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Un fantôme d’amour, pas si différent de tous ceux que le cinéma a pu invoquer, ni plus original que les éternels regrets des Feuilles mortes, mais dominé par la grâce pudique d’Alice. Où la comédienne italienne Alba Rohrwacher nous bouleverse, « tout doucement, sans faire de bruit ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Plongé dans ce bain d’ennui et d’humilité érigés en gages d’authenticité, et loin d’un hors-champ esquissé comme un cliché (le monde exténuant et impitoyable du show-biz parisien), Mathieu recevra la grande leçon de la classe moyenne provinciale telle qu’aime la fantasmer le cinéma français : la vie n’est pas un roman, messieurs-dames.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Brizé s’est fourvoyé dans cette rom-com ratée, à contre-courant de sa filmographie passée en faisant preuve d’une condescendance nauséeuse et choquante pour cette bourgeoisie qu’il a tant attaquée, et dont il s’amuse ici avec prétention et rancœur. Pire, lui qui a tant défendu « le peuple » le filme ici avec malveillance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Cl. F.
C’est à cet endroit du récit, par petites touches de musique servies par Vincent Delerm, que le spectateur dit adieu au burlesque et bonjour à l’ennui. La matière de ces retrouvailles n’est pas assez forte pour nous sortir du creux de la vague.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Aussi longue dans l'écriture que dans la mise en scène, cette comédie dramatique poussive tourne souvent en rond et donne l'impression de ne pas savoir où elle va.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Stéphane Brizé est célèbre entre autre pour avoir su aborder avec délicatesse les méandres de la relation amoureuse. Ici, le récit s’égare dans un long, trop long, mélodrame où les sanglots semblent moins sincères que complaisants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Une satire qui tourne vite à la détestation rageuse et déplaisante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Closer
Un trésor de poésie, d'autodérision et d'élégance.
Ouest France
Dans Hors-saison, le temps s'écoulent et les sentiments ressurgissent.
20 Minutes
Hors-saison est proche du plaisir délicat qu’on éprouve à titiller une écorchure, une plaie sans gravité qu’on ne laisse pas tout à fait se refermer.
CNews
Une œuvre drôle et émouvante, sur l'amour et les choses de la vie qui parfois nous submergent et nous fracassent.
Elle
On nage certes dans des images clichés mais elles nourrissent un mélo fort réussi.
Franceinfo Culture
Un beau film d'amour, à la fois drôle et mélancolique.
L'Obs
Soutenu par un très beau thème musical signé Vincent Delerm, ce drame en sourdine doit beaucoup à Alba Rohrwacher, capable d’inscrire dans la variété bouleversante de ses regards – incroyables bulletins météorologiques – toute la tristesse d’une femme.
Le Figaro
Un mélodrame réussi.
Le Parisien
Stéphane Brizé signe un film très émouvant, existentiel, dont le ton se révèle très éloigné de celui de ses films sociaux avec Vincent Lindon (« La Loi du marché », « En guerre », « Un autre monde »). Face à une Alba Rohrwacher lumineuse, Guillaume Canet est drôle et charmant.
Le Point
Sur ce fil ténu des sentiments enfouis et qui renaissent, Stéphane Brizé joue une partition délicate, sensible, bien servie par le duo Alba Rohrwarcher-Guillaume Canet : elle fragile, dotée d'un charme fou, presque résignée sur sa vie ; lui, insatisfait, cafardeux et qui culpabilise de ne pas avoir été élégant lors de leur séparation, autrefois.
Les Echos
Le cinéaste de « La Loi du marché » met en scène les retrouvailles inattendues entre un acteur célèbre et une femme qu'il a aimée quinze ans plus tôt. Une réussite.
Marianne
Un film hors-saison, hors mode et, surtout, profondément juste.
Marie Claire
Cette autopsie d'un couple en miettes opère grâce au charme de ses interprètes [...].
Paris Match
Tout dans ce film est plein de douceur et de solitude, de volets fermés et de vies évanouies.
Positif
"Hors-saison" est le film de Stéphane Brizé où le feuilletage entre le réel et la fiction est le plus subtil, où l'émotion est la plus intense.
Première
Guillaume Canet a certes déjà joué des doubles de lui-même dans Rock n’roll et Lui mais jamais depuis des années, il n’était apparu aussi lumineux, aussi à nu devant la caméra d’un réalisateur. Et face à lui, les mots manquent pour qualifier l’interprétation si juste, si précise, si dépouillée, si profonde d’Alba Rohrwacher.
Sud Ouest
Stéphane Brizé sonde au scalpel les non-dits d'une histoire d'amour. Il préfère la lucidité au mélo. Un film juste, âpre, émouvant, aussi mélancolique et propice au retour sur soi qu’une station balnéaire hors saison.
Télé 7 Jours
Le talent de Brizé à construire des personnages complexes, dont les histoires peuvent aussi être les nôtres, fait mouche : qui, au cours de sa vie, ne s’est jamais demandé s’il avait fait les bons choix ?
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans la bulle intime d'un temps suspendu, Guillaume Canet retrouve son amour perdu. L'éclat oblique d'Alba Rohrwacher nimbe leur histoire d'une douce lumière.
La Croix
Après sa trilogie sur le monde du travail, Stéphane Brizé revient à l’atmosphère douce-amère de ses débuts et signe un drame sentimental sensible sur un homme et une femme qui se retrouvent quinze ans après s’être aimés. Dans un registre nostalgique parfois déconcertant, le film doit beaucoup à la puissance émotionnelle d’Alba Rohrwacher.
La Septième Obsession
Sur le papier, le nouveau film de Stéphane Brizé apparaît comme le paradigme souvent décourageant du drame bourgeois feutré et en huis clos. Sauf qu’à l’écran la délicatesse de son auteur et l’(im)pertinence de ses deux scénaristes (Marie Drucker est venue lui prêter main douce et forte) font la différence.
La Voix du Nord
Il faut accepter la règle du jeu : celle du temps qui passe, du temps des regrets, du temps sans dialogues. Un cinéma à contre-courant pour une romance inachevée qui reste solide sur ses fondations. Par la grâce de ses interprètes aussi.
Le Dauphiné Libéré
Calme, mélancolique et hanté, le dixième long-métrage de Stéphane Brizé est une romance traversée par des courants souterrains contraires : les illusions perdues et retrouvées.
Le Journal du Dimanche
Le parfum d'autrefois qui s'en dégage séduit, comme son beau duo d'interprètes à l'évidente complicité.
Les Fiches du Cinéma
À la fois faux documentaire sur Guillaume Canet et état des lieux de la vie de deux anciens amants, le nouveau Stéphane Brizé séduit par sa délicatesse.
Les Inrockuptibles
Un beau film sur l’amour, le temps qui passe, le passé qui ne passe pas.
Télérama
Un fantôme d’amour, pas si différent de tous ceux que le cinéma a pu invoquer, ni plus original que les éternels regrets des Feuilles mortes, mais dominé par la grâce pudique d’Alice. Où la comédienne italienne Alba Rohrwacher nous bouleverse, « tout doucement, sans faire de bruit ».
Cahiers du Cinéma
Plongé dans ce bain d’ennui et d’humilité érigés en gages d’authenticité, et loin d’un hors-champ esquissé comme un cliché (le monde exténuant et impitoyable du show-biz parisien), Mathieu recevra la grande leçon de la classe moyenne provinciale telle qu’aime la fantasmer le cinéma français : la vie n’est pas un roman, messieurs-dames.
Culturopoing.com
Brizé s’est fourvoyé dans cette rom-com ratée, à contre-courant de sa filmographie passée en faisant preuve d’une condescendance nauséeuse et choquante pour cette bourgeoisie qu’il a tant attaquée, et dont il s’amuse ici avec prétention et rancœur. Pire, lui qui a tant défendu « le peuple » le filme ici avec malveillance.
Le Monde
C’est à cet endroit du récit, par petites touches de musique servies par Vincent Delerm, que le spectateur dit adieu au burlesque et bonjour à l’ennui. La matière de ces retrouvailles n’est pas assez forte pour nous sortir du creux de la vague.
Télé Loisirs
Aussi longue dans l'écriture que dans la mise en scène, cette comédie dramatique poussive tourne souvent en rond et donne l'impression de ne pas savoir où elle va.
aVoir-aLire.com
Stéphane Brizé est célèbre entre autre pour avoir su aborder avec délicatesse les méandres de la relation amoureuse. Ici, le récit s’égare dans un long, trop long, mélodrame où les sanglots semblent moins sincères que complaisants.
Libération
Une satire qui tourne vite à la détestation rageuse et déplaisante.