Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Espiègle et émouvant.
Bande à part
par Michel Cieutat
Évocation de trois longues amitiés toujours vives et dépourvues de nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garçon
L’amitié ne tient donc pas des affinités électives, encore moins des personnalités connues qui se sont trouvées parmi les amis filmés (tel ou tel écrivain, tel ou tel acteur), elle se prolonge jusqu’au public, anonyme et si possible éloigné, à la porte duquel il s’agit d’aller sonner.
Critikat.com
par Marin Gérard
La démarche pourrait parfois sembler trop anecdotique, si un discret génie n’était pas à l'œuvre. Grâce à lui, le film tire des scènes bouleversantes de moments anodins.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par J. G.
C’est un film sur le temps retrouvé, où l’on chante en yiddish, masse les mains fatiguées, cire les chaussures, joue aux cartes, zigzague avec un fauteuil roulant, fume, boit et en appelle à Dieu. Soixante ans après « le Combat dans l’île », voici la paix dans l’amitié.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ça n'est rien, juste le temps qui passe, un peu de tristesse, des rires qui éclatent, comme des fusées dans la nuit. Cela ne ressemble à rien. Cela s'écrit amitié. Cela se prononce Cavalier. C'est simple comme bonjour. C'est très beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un documentaire magnifique où le cinéaste progresse avec sa douceur et son acuité habituelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Au gré de bavardages ponctués de rires et de silences qui en disent long, Cavalier filme patiemment les visages de ses proches qui racontent le temps qui passe, s'éclairent d'un sourire grâce aux bonheurs ténus du quotidien et s'illuminent de partager tant de complicité avec l’ami derrière la caméra. Un documentaire atypique et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Alain Cavalier croque trois de ses amis, captant avec légèreté visages, lieux, objets, et s’intéressant aux menus détails racontant quelque chose de leur vie, de leur personnalité. En résulte un film tendre et généreux, souvent drôle et résolument singulier.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est de cette pudeur et de cette prosodie, comme un chant doux sans un cri, que naît l’émotion immense que procure le film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Le documentariste, désormais nonagénaire et depuis longtemps libéré de toute contrainte, dépeint les relations qui l’unissent à trois compagnons de route, avec une honnêteté et une simplicité touchantes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cet hymne discret à l’amitié, à la simplicité et aux histoires d’amour mérite d’être découvert séance tenante.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Baurez
Pour visionner ce nouveau film, Alain Cavalier et Françoise Widhoff nous ont ouvert les portes de chez eux. Comme une façon d’amplifier cette sensation que chez le filmeur, l’écran n’est pas une frontière encore moins une surface, mais une fenêtre offrant « des petites révélations du monde. ». Ce cinéma-là tient du miracle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Un documentaire délicat sur ces liens qui nous unissent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Alain Cavalier nourrit la discussion, dirige parfois ses interlocuteurs, capte les regards et les silences. Le spectateur écoute et picore. Son œil s’attarde sur ces décors réels tapissés de fragments d’âme. Une cuisine, un bureau, une chambre… On pénètre des intimités sans avoir l’impression de les violer. Le privilège de l’amitié sans doute. Et sa beauté.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le temps qui décélère, le sanctuaire intime fait de douceur et d’attention aux choses, tendent, une fois de plus, leur miroir à Alain Cavalier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Espiègle et émouvant.
Bande à part
Évocation de trois longues amitiés toujours vives et dépourvues de nostalgie.
Cahiers du Cinéma
L’amitié ne tient donc pas des affinités électives, encore moins des personnalités connues qui se sont trouvées parmi les amis filmés (tel ou tel écrivain, tel ou tel acteur), elle se prolonge jusqu’au public, anonyme et si possible éloigné, à la porte duquel il s’agit d’aller sonner.
Critikat.com
La démarche pourrait parfois sembler trop anecdotique, si un discret génie n’était pas à l'œuvre. Grâce à lui, le film tire des scènes bouleversantes de moments anodins.
L'Obs
C’est un film sur le temps retrouvé, où l’on chante en yiddish, masse les mains fatiguées, cire les chaussures, joue aux cartes, zigzague avec un fauteuil roulant, fume, boit et en appelle à Dieu. Soixante ans après « le Combat dans l’île », voici la paix dans l’amitié.
Le Figaro
Ça n'est rien, juste le temps qui passe, un peu de tristesse, des rires qui éclatent, comme des fusées dans la nuit. Cela ne ressemble à rien. Cela s'écrit amitié. Cela se prononce Cavalier. C'est simple comme bonjour. C'est très beau.
Le Journal du Dimanche
Un documentaire magnifique où le cinéaste progresse avec sa douceur et son acuité habituelles.
Les Echos
Au gré de bavardages ponctués de rires et de silences qui en disent long, Cavalier filme patiemment les visages de ses proches qui racontent le temps qui passe, s'éclairent d'un sourire grâce aux bonheurs ténus du quotidien et s'illuminent de partager tant de complicité avec l’ami derrière la caméra. Un documentaire atypique et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Alain Cavalier croque trois de ses amis, captant avec légèreté visages, lieux, objets, et s’intéressant aux menus détails racontant quelque chose de leur vie, de leur personnalité. En résulte un film tendre et généreux, souvent drôle et résolument singulier.
Les Inrockuptibles
C’est de cette pudeur et de cette prosodie, comme un chant doux sans un cri, que naît l’émotion immense que procure le film.
Libération
Le documentariste, désormais nonagénaire et depuis longtemps libéré de toute contrainte, dépeint les relations qui l’unissent à trois compagnons de route, avec une honnêteté et une simplicité touchantes.
Marianne
Cet hymne discret à l’amitié, à la simplicité et aux histoires d’amour mérite d’être découvert séance tenante.
Première
Pour visionner ce nouveau film, Alain Cavalier et Françoise Widhoff nous ont ouvert les portes de chez eux. Comme une façon d’amplifier cette sensation que chez le filmeur, l’écran n’est pas une frontière encore moins une surface, mais une fenêtre offrant « des petites révélations du monde. ». Ce cinéma-là tient du miracle.
Télérama
Un documentaire délicat sur ces liens qui nous unissent.
La Voix du Nord
Alain Cavalier nourrit la discussion, dirige parfois ses interlocuteurs, capte les regards et les silences. Le spectateur écoute et picore. Son œil s’attarde sur ces décors réels tapissés de fragments d’âme. Une cuisine, un bureau, une chambre… On pénètre des intimités sans avoir l’impression de les violer. Le privilège de l’amitié sans doute. Et sa beauté.
Le Monde
Le temps qui décélère, le sanctuaire intime fait de douceur et d’attention aux choses, tendent, une fois de plus, leur miroir à Alain Cavalier.