Salah Issaad donne une piètre image des hommes algériens, tous prédateurs sexuels en puissance (à 3 exceptions près)
Les femmes ne sont guère mieux loties : des mères qui trahissent leur fille, des prostituées ou des maquerelles...
Cette critique en règle de la société algérienne semble placée sous le regard dur de Houari Boumédiène, ce "père la morale" de l'histoire algérienne...
Sans l'amour de Soula pour sa fille -et le regard tendre et amical d'uu chauffeur de taxi- ce film, assez trash, serait définitivement négatif.
La fin dérangeante mérite débats
En Algérie il y aurait chaque année 7000 enfants nés hors mariage et entre 3 et 5000 abandons d'enfant...