AlloCiné
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Votre avis sur Les Choses simples ?
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Éric Besnard nous offre un film assez moyen, déjà la réalisation est plutôt bonne avec de très beaux décors et des costumes acceptables, la BO est juste oubliable et la photographie n’est pas très remarquable. Mais ce que je ne vais pas oublier c’est Lambert Wilson, car il est quand même très au centre du récit, c’est un peu un film sur Lambert Wilson et de plus son jeu d’acteur n’a aucune nuance ni émotion, on ne s’attache a aucun des personnages. Le scénario est quand même très basique avec quelques incohérences, les personnages ne sont pas bien écrits et surtout très mâles développés. Le long métrage se fini sur une fin pourri et dans plusieurs jours, j’aurais complètement oublié ce film inutile, dommage parce qu’il était plein de bons sentiments et ce n’est pas les comédies bien grasses qu’on a l’habitude de produire en France.
Une bonne surprise. Je dois avouer que je m'attendais à un nième film nian nian sur la vie artificielle moderne et la "vraie" vie proche de la nature, alors qu'en fait, il s'agit surtout d'une rencontre entre deux hommes illustrant chacun les dérives du système productiviste et qui se nourrissent tous deux du regard de l'autre. Légèrement satirique, drôle avec une dose de comédie familiale sociale, j'ai passé un bon moment.
Affligeant à mes yeux, le décors respirant pourtant la fraîcheur ne suffit malheureusement pas à rehausser le niveau du film qui n'est autre qu'une succession de lignes de dialogues bourrées de clichés, de scènes invraisemblables, de personnages caricaturaux que l'on ne regrette pas de quitter à la fin de la séance. Il y avait pourtant tant à faire sur le sujet mais ce dernier est si mal exploité et amené que l'on croirait à une parodie. Les vannes m'ont fait l'effet d'un montagne coincée en travers de ma gorge tellement je les ai trouvées pataudes. Oh j'ai tout de même rigolé une fois. Partageant un fou rire magistral avec ma voisine (nous avons presque du quitter la salle oui oui) lors de la scène sensée être la plus dramatique du film
spoiler:
(quand l'atelier se transforme en barbecue
). Je ne suis pas sûre que c'était l'effet escompté mais l'apogée caricaturale nous a achevé. spoiler: (Mention spéciale aussi au jeté de paniers de picnic dans le vide avec le hurlement bestial qui va avec).
Bon, puisqu'il faut toujours une note positive, je dirai que les plans de nature sont réussis.
). Je ne suis pas sûre que c'était l'effet escompté mais l'apogée caricaturale nous a achevé. spoiler: (Mention spéciale aussi au jeté de paniers de picnic dans le vide avec le hurlement bestial qui va avec).
Bon, puisqu'il faut toujours une note positive, je dirai que les plans de nature sont réussis.
J´ai eu de la chance d'avoir pu être invité avant, l´avant-première et qu'après le film nous avons pu poser des questions au realisateur https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ric_Besnard_%28r%C3%A9alisateur%29?wprov=sfla1
Au début nous avons été honoré de la présence de l´acteur Gregory Gadebois qu´on peut aussi retrouver avec le même réalisateur le film de 2021 délicieux.
Une des questions était sur les animaux. Il y aurais eu un aigle dont je n´ai pas remarquer tellement le décor est naturel et hyper accrochant.
Pour un autre animal il fallait plein de coques au chocolat.
Le réalisateur n´etait pas du tout intéresser d´avoir un budget de blockbuster comme avatar ou astérisque, effectivement le décor si naturel n´a pas de prix.
Le réalisateur a très bien fait sont travail car on a pu voir qu´un acteur volé dans le ciel au moment de prononcer la phrase.
Étant autiste asperger il y avait une scène qui me chagrine, car je n´en comprenait pas la logique du sens de la voiture ??? Heureusement que cette intrigue à mes yeux à été clarifiée dans le film mais pour moi c´etait long d´avoir la réponse.
La dessus le réalisateur en a profiter de me demander si j´avais pu visionner un de ses films de 2015 avec Virginie Effira "le goût des merveilles".´ Louise découvre peu à peu que Pierre est un autiste Asperger plein de tics et d'angoisses, mais également un redoutable observateur et un calculateur prodige qui analyse tout à l'aide de son ordinateur´. Du coup je vais en parler augroupe d'autistes et ai hâte de voir les films du réalisateur Éric Besnard. Je m´étais préparer aux questions pour Mary Gillain, mais malheureusement absente. Par contre le réalisateur fût étonné lorsqu'il lui proposa le rôle que l'alignement fût point couper. Une scène de danse qui a l´air anodin à mes yeux car j´aime. Danser, cela a tracasser l´acteur durant 4 semaines, mais le sourire Marie Gillain à rendue cette scène inoubliable. Eric Besnard à aussi du se battre avec la nature qqch qui devait tomber ne tomba pas. En principe vous penser avoir reçu des indices sur le film…. Sauf si je vous ai mis sur de fausses pistes car quiconque peut se déguiser…. En diable hihihi
Au début nous avons été honoré de la présence de l´acteur Gregory Gadebois qu´on peut aussi retrouver avec le même réalisateur le film de 2021 délicieux.
Une des questions était sur les animaux. Il y aurais eu un aigle dont je n´ai pas remarquer tellement le décor est naturel et hyper accrochant.
Pour un autre animal il fallait plein de coques au chocolat.
Le réalisateur n´etait pas du tout intéresser d´avoir un budget de blockbuster comme avatar ou astérisque, effectivement le décor si naturel n´a pas de prix.
Le réalisateur a très bien fait sont travail car on a pu voir qu´un acteur volé dans le ciel au moment de prononcer la phrase.
Étant autiste asperger il y avait une scène qui me chagrine, car je n´en comprenait pas la logique du sens de la voiture ??? Heureusement que cette intrigue à mes yeux à été clarifiée dans le film mais pour moi c´etait long d´avoir la réponse.
La dessus le réalisateur en a profiter de me demander si j´avais pu visionner un de ses films de 2015 avec Virginie Effira "le goût des merveilles".´ Louise découvre peu à peu que Pierre est un autiste Asperger plein de tics et d'angoisses, mais également un redoutable observateur et un calculateur prodige qui analyse tout à l'aide de son ordinateur´. Du coup je vais en parler augroupe d'autistes et ai hâte de voir les films du réalisateur Éric Besnard. Je m´étais préparer aux questions pour Mary Gillain, mais malheureusement absente. Par contre le réalisateur fût étonné lorsqu'il lui proposa le rôle que l'alignement fût point couper. Une scène de danse qui a l´air anodin à mes yeux car j´aime. Danser, cela a tracasser l´acteur durant 4 semaines, mais le sourire Marie Gillain à rendue cette scène inoubliable. Eric Besnard à aussi du se battre avec la nature qqch qui devait tomber ne tomba pas. En principe vous penser avoir reçu des indices sur le film…. Sauf si je vous ai mis sur de fausses pistes car quiconque peut se déguiser…. En diable hihihi
"Chouette, chouette, chouette", comme le disait un canard de dessin animé bien connu. Une bonne daubasse comme notre cinéma les adore. Tu sais, l'oeuvre d'un mec qui n'oublie pas de foutre tout le conventionnel possible et inimaginable. Le bourgeois gavé d'oseille qui connaît peau de balle à part ce qui se trouve entre les murs du 16e arrondissement parisien, le péquenaud mal baisé qui n'arrive pas à séduire sa belle, du happy end lisse comme un cul (pour peu que celui-ci ne soit pas le théâtre d'une éruption cutanée invasive), de la question existentielle (gnia gnia gnia, mène-je vraiment la vie que je voulais mener ?) et bien sûr, ce qu'il faut d'écologie puisque c'est en vogue, que ça plaît et que ça fait gagner des points auprès des "grands penseurs" de notre temps. J'ai du mal à voir en Wilson et Gadebois des pointures dans leur domaine, mais quand même, ils méritent mieux, non ? Et après, on vient s'étonner que les salles sont boudées.
Quand le golden boy et insupportable Lambert Wilson rencontre le rustique et taiseux homme des bois Gregory Gadebois autour d'une omelette, on se dit que le scénario aura donné toute son originalité dès les 5 premières minutes ! Et c'est bien vrai ! Situations ultra convenues, servies par des dialogues sans aucun relief, et des acteurs emprisonnés dans leur partition sclérose ; sur ce point Wilson s'en sort mieux que Gadebois, dans le genre tête à claques. Quelques subtilités scenaristiques en cours de route, notamment sur le côté machiavélique du golden boy, mais même le sourire de Marie Gillain ne rachète pas cette fade comédie où on regarde plus souvent sa montre que l'on ne sourit.
Petit film sympa, même si on évite pas quelques clichés... la scène de la danse à la fin, bof, bof... les paysages superbes apportent je pense, beaucoup à ce film...
Lambert Wilson excellent, Grégory Gatebois aussi mais attention. On commence à le voir trop, à l'instar de Virginie Effira ou Laure Calamy...
Lambert Wilson excellent, Grégory Gatebois aussi mais attention. On commence à le voir trop, à l'instar de Virginie Effira ou Laure Calamy...
Chouette film. Du contemplatif mais aussi de chouettes discussions. Lambert Wilson et Grégory Gadebois font un chouette tandem et je me suis laissé prendre parleur complicité naissante. Ça fait du bien.
Caricatural. Long. Ennuyeux. Dommage.
Un Lambert Wilson peu convaincant.
Film frustrant.
1 étoile pour le cadre magnifique.
...
Un Lambert Wilson peu convaincant.
Film frustrant.
1 étoile pour le cadre magnifique.
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Caricatural. Tout sonne faux : les dialogues sont mièvres ,les personnages sont attendus . Heureusement, la nature est belle.
velocio
Il y a des jours où des cinéphiles « purs et durs », fatigués de ne voir que de grandes œuvres plus ou moins alambiquées réalisées par des metteurs en scènes géniaux, ont envie de se laver la tête avec des films plus faciles à approcher sans pour autant verser dans la futilité, voire la pure bêtise. Il fut un temps, pas si lointain, où le cinéma français avait une offre très riche en la matière. Même si, en cherchant bien, on arrive encore à trouver de tels films, il faut reconnaître qu’il y en a moins qu’avant et, que, en plus, une certaine critique prend trop souvent un malin plaisir à les rejeter avec mépris. "Les choses simples", film qui prend la suite de "Délicieux" dans la filmographie d’Eric Besnard, trouve sa place dans cette catégorie. Si vous admettez qu’il est possible de vivre loin du Boulevard Saint-Michel, si vous aimez les paysages que nous offre le Massif alpin, si vous les aimez encore plus lorsqu’ils sont excellemment mis en valeur par un Directeur de la photographie de talent comme l’est Jean-Marie Dreujou, si vous êtes sensible à la présence dans un film de deux grands comédiens comme Lambert Wilson et Grégory Gadebois, si une potentielle histoire d’amour entre un nounours bourru interprété par Gadebois et une jeune veuve interprétée par Marie Gillain ne vous laisse pas indifférent, si vous êtes sensible à l’écologie et, surtout, s’il vous arrive de vous interroger sur votre mode de vie, trop connecté, trop agité, trop urbain, ou, au contraire, trop loin de tout, trop plan-plan, "Les choses simples" ne manquera pas d’être pour vous un havre sympathique vous permettant de vous divertir tout en vous poussant à la réflexion.
Jorik V
Eric Besnard persiste et signe dans une sorte de cinéma quelque peu passéiste à la Jean Becker avec « Les choses simples ». Un cinéma presque moribond actuellement et représenté quasiment uniquement par le cinéaste nonagénaire. On y entretient les clichés d’une certaine France rurale avec un côté Madeleine de Proust pour les plus âgés et un goût prononcé pour le terroir hexagonal. Des œuvres comme « Les Enfants du marais », « Effroyables jardins » ou encore « Un crime au Paradis » avaient d’ailleurs été de gros succès en vantant la France d’antan dans un souvenir baguette et béret parfois un peu douteux. Après « Délicieux » l’an passé, qui revenait sur la naissance du premier restaurant français avec ses odeurs de cuisine séculaire et déjà avec Grégory Gadebois, il revient à notre époque avec « Les choses simples ». Le titre est piqué aux fameuses pub Herta qui justement vantaient le retour à l’essentiel par le biais de la nourriture et le mode de vie avec des images profondément (et volontairement) surannées, voire proche du cliché et de l’image d’Épinal, sur une France qui n’existe plus, presque réactionnaire.
Ici, davantage qu’un film du genre auquel la promotion voulait nous faire croire c’est avant tout un feel-good movie et la rencontre de deux contraires à laquelle nous convie Besnard et c’est tant mieux. « Les choses simples » n’en demeure pas moins une belle ode à la nature où les plans sur la montagne sont magnifiques mais davantage par ce qu’il montre que par la mise en scène un peu paresseuse de Besnard. On plébiscite le calme et le fait de prendre son temps, de vivre. En cela, c’est une œuvre aux vertus presque apaisantes et c’est vraiment un film qui fait du bien au moral. On sort de la séance comme on sortirait d’un séminaire de bien-être. Et le fait de prendre deux excellents comédiens antinomiques incarnés par Gadebois donc et Lambert Wilson, dont les personnages et le jeu frôle parfois un peu la caricature mais n’y tombe jamais, est un total plaisir. Pour le spectateur mais aussi le plaisir de la comédie et celui de jouer ensemble. Leur duo et leur métier font beaucoup dans la réussite du film car l’osmose entre les deux est indéniable et cela se ressent.
Le happy-end est quelque peu cousu de fil blanc mais si « Les choses simples » se terminait autrement, cela ne collerait pas à la note d’intention de l’ensemble. Les dialogues sont aux petits oignons que ce soit sur leur versant comique (on ne rit pas à gorge déployée certes mais on sourit tout du long) ou sur le versant moral, les valeurs et les petites vérités édictées ici sont belles et sincères. Alors si le film va finalement plus loin que son retour à l’essentiel, aux choses simples et à la nature, sujet qu’il touche de loin dans la première partie et qu’on aurait aimé parcourir durant tout le film, la direction qu’il prend est tout aussi satisfaisante et le contexte montagnard est de toute beauté. Du cinéma en pantoufles qui donne au spectateur son quota de dopamine avec deux excellents acteurs, c’est déjà pas mal.
Plus de critiques cinéma su ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Ici, davantage qu’un film du genre auquel la promotion voulait nous faire croire c’est avant tout un feel-good movie et la rencontre de deux contraires à laquelle nous convie Besnard et c’est tant mieux. « Les choses simples » n’en demeure pas moins une belle ode à la nature où les plans sur la montagne sont magnifiques mais davantage par ce qu’il montre que par la mise en scène un peu paresseuse de Besnard. On plébiscite le calme et le fait de prendre son temps, de vivre. En cela, c’est une œuvre aux vertus presque apaisantes et c’est vraiment un film qui fait du bien au moral. On sort de la séance comme on sortirait d’un séminaire de bien-être. Et le fait de prendre deux excellents comédiens antinomiques incarnés par Gadebois donc et Lambert Wilson, dont les personnages et le jeu frôle parfois un peu la caricature mais n’y tombe jamais, est un total plaisir. Pour le spectateur mais aussi le plaisir de la comédie et celui de jouer ensemble. Leur duo et leur métier font beaucoup dans la réussite du film car l’osmose entre les deux est indéniable et cela se ressent.
Le happy-end est quelque peu cousu de fil blanc mais si « Les choses simples » se terminait autrement, cela ne collerait pas à la note d’intention de l’ensemble. Les dialogues sont aux petits oignons que ce soit sur leur versant comique (on ne rit pas à gorge déployée certes mais on sourit tout du long) ou sur le versant moral, les valeurs et les petites vérités édictées ici sont belles et sincères. Alors si le film va finalement plus loin que son retour à l’essentiel, aux choses simples et à la nature, sujet qu’il touche de loin dans la première partie et qu’on aurait aimé parcourir durant tout le film, la direction qu’il prend est tout aussi satisfaisante et le contexte montagnard est de toute beauté. Du cinéma en pantoufles qui donne au spectateur son quota de dopamine avec deux excellents acteurs, c’est déjà pas mal.
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Yetcha
Une comédie sympathique et que le duo d'acteurs portent à merveille avec en plus une Marie Gillain qui fait plaisir à voir. Certes le pitch n'est pas très original, mais la tournure que prend le film avec un twist plutôt inattendu au premier tiers apporte le petit plus qui fait de ce film une belle petite pépite abordant le thème de la modernité et l'ultra connexion dans notre monde si beau et agréables avec des choses... Simples.
Une comédie de retour aux sources sans étincelles mais qui se regarde gentiment pour son duo attachant de comédiens. 2,25
Pudiquement touchante cette histoire d'amitié improbable contourne les clichés du montagnard bourru et du business man hautain en incorporant blessures enfantines et romance à l'évolution psychologique voire idéologique des deux protagonistes auxquels un délicat Lambert Wilson et un surprenant Grégory Gadebois confèrent une jolie densité. Amusante, cette ode à la nature (sublime Auvergne!) loue la beauté des choses vraies - sans mièvrerie. Souriant...
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