Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Feel good movie, Comme un Prince est porté par son bon esprit, son humour bien dosé et sa fraternité sincère.
Elle
par Julia Dion
Scénario original, ce "Million Dollar Baby" à la sauce frenchy confirme le talent discret d'Ahmed Sylla, très à l'aise dans le registre de la comédie romantique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette gentille comédie de mœurs atteint son but : elle fait souvent sourire, parfois rire, avec une légèreté sans prétention. Sympathique.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ahmed Sylla, affûté comme jamais, a pris des kilos de muscles et suivi un entraînement à la dure pour se donner une carrure de boxeur de haut niveau et de l’équipe de France. Et donner corps au rôle soigneusement écrit par le jeune réalisateur Ali Marhyar, qui signe son premier long-métrage.
Paris Match
par Christophe Carrière
La bonne idée est de ne pas avoir inscrit « Comme un prince » dans la case attendue de la « success story », mais dans celle du « feel good movie », ces films qu’on a envie de conseiller à ses amis à peine sorti de la salle.
Télé 2 semaines
par C.M.
Quelle bonne surprise que cette comédie touchante et sincère, portée par Ahmed Sylla, parachuté dans un monde qui lui est inconnu.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Peut-être que le film, au sous-texte explicitement social, n’appuie pas assez ses coups. Quelques séquences burlesques tombent un peu à plat (un drôle de tournoi médiéval). Mais l’ensemble est soigné.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Dans le rôle d’un champion de boxe condamné à des travaux d’intérêt général, l’acteur porte cette comédie grâce à son charme et sa drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Comme il se doit, Ahmed Sylla (Inséparables, Un petit frère) ne force pas son tempérament comique quand il se transforme en valet de pied à perruque ou enfile l'armure pour un duel à cheval d'époque. Tout est prétexte à rire en compagnie de Jonathan Cohen et de Julia Piaton.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
S’il ne manque pas de charme, le premier long métrage de l’acteur Ali Marhyar manque franchement de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Elodie Bardinet
Il y a bien sûr du Rocky dans cette « dramédie » sur la transmission. Il y a aussi une « vibe » british, cette pointe d'humour qui parcourt le cinéma anglais, même dans ses drames sociaux les plus poignants mais accompagné par un mélange d'humours à la française.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par C.M.
Cette comédie touchante et sincère, portée par un Ahmed Sylla parachuté dans un monde qui lui est inconnu, s'avère une bonne surprise.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Comédie sur la transmission, ce premier film alternant le drôle et le moins drôle est trop balisé et prévisible, mais il peut compter sur Ahmed Sylla, entouré par des seconds rôles convaincants [...].
Le Parisien
par Renaud Baronian
Comédie qui cherche à valoriser l’ascenseur social, « Comme un Prince » manque de punch et cumule les gags lourdauds, les dialogues au ras des pâquerettes, les situations abracadabrantes, pour ne pas dire embarrassantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le scénario de cette comédie bon enfant se disperse pour faire exister son joli casting (Julia Piaton, Jonathan Cohen), et passe donc à côté de son vrai sujet : le mentor et son élève, le sauvetage réciproque.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Encore un machin produit par et pour la télé. Ce n’est même pas nul, c’est rien. Une enfilade de scènes molles à l’humour plat et aux émotions frelatées, sans l’ombre d’une trace de cinéma mais avec Jonathan Lambert et l’inévitable Jonathan Cohen, qui passent une tête en guest-stars le temps de se demander ce qu’ils font là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Joseph Boinay
Si l’intrigue réunit les ingrédients d’un parfait conte de fées, la magie n’opère pas. La naïveté du propos et de la mise en scène laisse le spectateur sur le bord du ring.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Feel good movie, Comme un Prince est porté par son bon esprit, son humour bien dosé et sa fraternité sincère.
Elle
Scénario original, ce "Million Dollar Baby" à la sauce frenchy confirme le talent discret d'Ahmed Sylla, très à l'aise dans le registre de la comédie romantique.
Femme Actuelle
Cette gentille comédie de mœurs atteint son but : elle fait souvent sourire, parfois rire, avec une légèreté sans prétention. Sympathique.
Le Dauphiné Libéré
Ahmed Sylla, affûté comme jamais, a pris des kilos de muscles et suivi un entraînement à la dure pour se donner une carrure de boxeur de haut niveau et de l’équipe de France. Et donner corps au rôle soigneusement écrit par le jeune réalisateur Ali Marhyar, qui signe son premier long-métrage.
Paris Match
La bonne idée est de ne pas avoir inscrit « Comme un prince » dans la case attendue de la « success story », mais dans celle du « feel good movie », ces films qu’on a envie de conseiller à ses amis à peine sorti de la salle.
Télé 2 semaines
Quelle bonne surprise que cette comédie touchante et sincère, portée par Ahmed Sylla, parachuté dans un monde qui lui est inconnu.
La Voix du Nord
Peut-être que le film, au sous-texte explicitement social, n’appuie pas assez ses coups. Quelques séquences burlesques tombent un peu à plat (un drôle de tournoi médiéval). Mais l’ensemble est soigné.
Le Figaro
Dans le rôle d’un champion de boxe condamné à des travaux d’intérêt général, l’acteur porte cette comédie grâce à son charme et sa drôlerie.
Le Point
Comme il se doit, Ahmed Sylla (Inséparables, Un petit frère) ne force pas son tempérament comique quand il se transforme en valet de pied à perruque ou enfile l'armure pour un duel à cheval d'époque. Tout est prétexte à rire en compagnie de Jonathan Cohen et de Julia Piaton.
Les Fiches du Cinéma
S’il ne manque pas de charme, le premier long métrage de l’acteur Ali Marhyar manque franchement de surprises.
Première
Il y a bien sûr du Rocky dans cette « dramédie » sur la transmission. Il y a aussi une « vibe » british, cette pointe d'humour qui parcourt le cinéma anglais, même dans ses drames sociaux les plus poignants mais accompagné par un mélange d'humours à la française.
Télé Loisirs
Cette comédie touchante et sincère, portée par un Ahmed Sylla parachuté dans un monde qui lui est inconnu, s'avère une bonne surprise.
Le Journal du Dimanche
Comédie sur la transmission, ce premier film alternant le drôle et le moins drôle est trop balisé et prévisible, mais il peut compter sur Ahmed Sylla, entouré par des seconds rôles convaincants [...].
Le Parisien
Comédie qui cherche à valoriser l’ascenseur social, « Comme un Prince » manque de punch et cumule les gags lourdauds, les dialogues au ras des pâquerettes, les situations abracadabrantes, pour ne pas dire embarrassantes.
Télé 7 Jours
Le scénario de cette comédie bon enfant se disperse pour faire exister son joli casting (Julia Piaton, Jonathan Cohen), et passe donc à côté de son vrai sujet : le mentor et son élève, le sauvetage réciproque.
L'Obs
Encore un machin produit par et pour la télé. Ce n’est même pas nul, c’est rien. Une enfilade de scènes molles à l’humour plat et aux émotions frelatées, sans l’ombre d’une trace de cinéma mais avec Jonathan Lambert et l’inévitable Jonathan Cohen, qui passent une tête en guest-stars le temps de se demander ce qu’ils font là.
Télérama
Si l’intrigue réunit les ingrédients d’un parfait conte de fées, la magie n’opère pas. La naïveté du propos et de la mise en scène laisse le spectateur sur le bord du ring.