AlloCiné
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Votre avis sur Terminator ?
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Quelle classe ! C'est indéniable, malgré le petit budget, les faiblesses de réalisation d'un tout jeune J. Cameron, Terminator respire la SF classe, brute, crade, des années 80 !
On est loin de la métaphysique de 2001, de la poésie de Blade Runner, ici la SF est centré autour des scènes d'action, d'une intrigue simple : un androïde quasi-indescructible chargé de tuer dans le passé la mère du leader de la résistance du futur...
Evidemment avec les 6 petits millions de dollars de budget, et ce jeune réalisateur, la réalisation et les effets spéciaux sont un peu vieillis, un peu dépassés, mais c'est aussi ce qui fait le charme !
Toujours est-il que rares sont les figures emblématiques de la SF capables de rivaliser avec le Terminator, qui est je pense aux premières loges avec Dark Vador, l'Alien ou encore Robocop.
Terminator est à voir, on s'en met plein les yeux et c'est rythmé...
On est loin de la métaphysique de 2001, de la poésie de Blade Runner, ici la SF est centré autour des scènes d'action, d'une intrigue simple : un androïde quasi-indescructible chargé de tuer dans le passé la mère du leader de la résistance du futur...
Evidemment avec les 6 petits millions de dollars de budget, et ce jeune réalisateur, la réalisation et les effets spéciaux sont un peu vieillis, un peu dépassés, mais c'est aussi ce qui fait le charme !
Toujours est-il que rares sont les figures emblématiques de la SF capables de rivaliser avec le Terminator, qui est je pense aux premières loges avec Dark Vador, l'Alien ou encore Robocop.
Terminator est à voir, on s'en met plein les yeux et c'est rythmé...
La preuve qu’avec un relativement petit budget, on peut faire un chef-d’œuvre de science-fiction. Certains évoquent des effets spéciaux qui auraient mal vieilli ; il n’en est rien. Mais là n’est pas l’essentiel de ce magnifique film. James Cameron fait déjà preuve d’une maestria qui deviendra célèbre. Le scénario, le casting et la musique sont tout simplement parfaits. L’histoire de Kyle et Sarah est une des grandes histoires d’amour du cinéma. Très touchante ! Finalement, la saga Terminator est une magnifique parabole sur l’humain, ce grand primate dont le cerveau n’a pas évolué depuis la préhistoire, et sa quête de destruction massive de la planète ; « Qu’est-ce qu’il dit !? Ah, il dit : La grande tempête…elle arrive ! ». Magistral !
Un choc évidemment.Le "Terminator"de James Cameron fut tout simplement une révolution lors de sa sortie en 1984.De la science-fiction à l'état brute,qui ne s'embarrasse pas de vraisemblance,mais toujours spectaculaire et nerveuse.Avec peu de moyens,Cameron nous entraine dans un monde sombre ou Sarah Connor,une simple serveuse et Kyle Reese,un anarchiste venu du futur,doivent contrer l'assaut d'un cyborg programmé pour tuer la jeune femme.Postulat très simple,qui fonctionne parfaitement à l'écran,avec son lot de gunfights,de courses poursuites et de sursauts.L'adrénaline à son maximum durant 1h40.Son coté vintage ne le rend que plus mythique encore,avec sa musique reconnaissable et ses répliques cultes.
Grand classique de la science-fiction des années 1980, Terminator constitue le premier film majeur de James Cameroun (Aliens le retour, Abyss, True Lies), et traite du danger des robots intelligents et du voyage dans le passé. Envoyé de 2029 à 1984, le Terminator est programmé pour tuer Sarah Connor, une jeune femme dont l'enfant à naître a sauvé l'humanité dans le futur. Brillamment interprété par Arnold Schwarzenegger (Hercule à New York, Conan le Barbare), ce modèle de cyborg bien difficile à différencier des humains va chercher à supprimer une par une les trois Sarah Connor de l'annuaire afin d'être sûr d'avoir accompli sa mission. Afin de contrer cette dangereuse menace, Kyle Reese, un résistant humain, est envoyé à la même époque afin de protéger la jeune femme et de trouver un moyen d'anéantir le robot.
Le film alterne bien les scènes posées et les séquences d'action avec une trame scénaristique intéressante et un scénario assez poussé qui se dévoile petit à petit. Si Kyle Reese est un héros assez effacé, Sarah Connor s’impose comme une héroïne emblématique de l’histoire du cinéma grâce à l’interprétation de Linda Hamilton, ses péripéties et sa romance inscrites dans le futur s’avérant correctes. Les coiffures de l'époque et sa sortie finale à la Mad Max lui donnent en tout cas un certain style. Schwarzenegger manque pas mal d'expression faciale pendant les scènes d'action en voiture mais ces dernières sont bien rythmées, tandis qu'il se montre badass à mobylette. Les explosions et les effets spéciaux à la pointe de l’époque donnent un cachet particulier à la réalisation.
Le Terminator apparaît d'abord nu comme s'il venait d'être créé et de découvrir son existence, se déplace et parle de manière très carrée comme un robot et apprend à utiliser intelligemment le langage (imitation de voix, insulte au bon moment, humour avec son « I'll be back »). Son visage devient de plus en plus méconnaissable tandis qu'il subit des dégâts : d'abord légèrement brûlée, sa face paraît écrasée avant que son œil et sa joue gauches ne ressortent, devenant ainsi toujours plus monstrueux et insensible à la douleur. La moitié de son visage arrachée et son œil rouge ont alors inspiré le personnage de Kano dans la série de jeux Mortal Kombat, jusqu'à sa fatalité où il arrache le cœur de son adversaire.
Il apparaît finalement entièrement robotique lorsque son enveloppe charnelle a fondu et le plan qui le montre la première fois lui suggère une grande taille pour le rendre encore plus difforme et effrayant. Ce type de robot aura su inspirer de nombreuses œuvres, allant jusqu'à des séries animées comme Batman où l'homme chauve-souris est amené à affronter des androïdes très similaires, sans oublier le Capitaine Clown du Joker (qu'il vainc spoiler: en l'écrasant après lui avoir frappé le visage avec une barre de fer comme dans le film
) et son propre double. Assez ambitieux pour l'époque, Terminator a marqué le meilleur rôle de la carrière de Schwarzenegger et a su s'imposer comme un incontournable de son époque.
Le film alterne bien les scènes posées et les séquences d'action avec une trame scénaristique intéressante et un scénario assez poussé qui se dévoile petit à petit. Si Kyle Reese est un héros assez effacé, Sarah Connor s’impose comme une héroïne emblématique de l’histoire du cinéma grâce à l’interprétation de Linda Hamilton, ses péripéties et sa romance inscrites dans le futur s’avérant correctes. Les coiffures de l'époque et sa sortie finale à la Mad Max lui donnent en tout cas un certain style. Schwarzenegger manque pas mal d'expression faciale pendant les scènes d'action en voiture mais ces dernières sont bien rythmées, tandis qu'il se montre badass à mobylette. Les explosions et les effets spéciaux à la pointe de l’époque donnent un cachet particulier à la réalisation.
Le Terminator apparaît d'abord nu comme s'il venait d'être créé et de découvrir son existence, se déplace et parle de manière très carrée comme un robot et apprend à utiliser intelligemment le langage (imitation de voix, insulte au bon moment, humour avec son « I'll be back »). Son visage devient de plus en plus méconnaissable tandis qu'il subit des dégâts : d'abord légèrement brûlée, sa face paraît écrasée avant que son œil et sa joue gauches ne ressortent, devenant ainsi toujours plus monstrueux et insensible à la douleur. La moitié de son visage arrachée et son œil rouge ont alors inspiré le personnage de Kano dans la série de jeux Mortal Kombat, jusqu'à sa fatalité où il arrache le cœur de son adversaire.
Il apparaît finalement entièrement robotique lorsque son enveloppe charnelle a fondu et le plan qui le montre la première fois lui suggère une grande taille pour le rendre encore plus difforme et effrayant. Ce type de robot aura su inspirer de nombreuses œuvres, allant jusqu'à des séries animées comme Batman où l'homme chauve-souris est amené à affronter des androïdes très similaires, sans oublier le Capitaine Clown du Joker (qu'il vainc spoiler: en l'écrasant après lui avoir frappé le visage avec une barre de fer comme dans le film
) et son propre double. Assez ambitieux pour l'époque, Terminator a marqué le meilleur rôle de la carrière de Schwarzenegger et a su s'imposer comme un incontournable de son époque.
Le premier épisode de la saga culte , un pure chef-d’œuvre . Du grand art .
Un film d'action spectaculaire, aux maquillages intemporels, mené par un scénario magistrale et des acteurs légendaires. James Cameron signe ici une oeuvre majeure du cinéma de SF, qui parcoure le temps sans s'affaiblir.
Roub E.
Une manière d'être sur en parlant d'un film que c'est un grand film, c'est de le trouver toujours aussi bon à chaque vision. C'est le cas de Terminator qui reste plus de 30 ans après sa sortie un classique de la science fiction. Schwarzenegger trouvant ici ce qui est sûrement le rôle de sa vie, le scénario est malin, l'action est menée tambour battant comme dans la scène de l'attaque du commissariat encore très impressionnante. Un mot aussi sur les effets spéciaux et les maquillages qui tiennent encore la route les années passant. Une grande réussite sur toute la ligne.
Arnold Schwarzenegger m'a beaucoup fait rire dans ce film, le voir jouer un cyborg est un régal. Pas de sentiments possibles et ni de douleurs, c'est une machine et il doit réussir sa mission coute que coute. Le scénario est plutôt bon, la bande originale est réussi. Pourtant, ce film ne m'a jamais véritablement emballé et il devient vite répétitif. Un film surestimé, comme beaucoup d'autres de James Cameron.
J'ai vu le film "Terminator" après le deuxième, j'ai moins aimé car l'action n'est pas aussi impressionante que l'épisode 2 et l'histoire est moins interessante. le film de Cameron est tout de même bon avec de bonnes actions et un Terminator explosif autant au sens figuré qu'au sens propre. Et puis j'aime pas mal scwarzenegger dans ce genre de rôle.
Ce film a pour grand atout la performance d'Arnold Schwarzenegger et les effets spéciaux réussis pour l'époque. Sinon, l'histoire est somme toute guère originale. Les scènes d'actions sont néanmoins correctes et les dialogues pas trop mauvais. L'ensemble reste divertissant mais a incontestablement perdu en crédibilité du fait qu'il date un peu.
A l'époque, James Cameron n'avait réalisé qu'un film et il ignorait sûrement l'immense impact qu'aurait son film sur le cinéma de science-fiction. Avec "Terminator", le cinéaste crée tout un univers qui est désormais devenu culte. Pourtant quand on redécouvre le film aujourd'hui, c'est avant tout sa simplicité qui frappe. En effet, le scénario a beau être bien trouvé et plutôt ingénieux, il ne s'encombre pas trop de psychologie et préfère aller au plus simple, c'est à dire vers des dialogues très premier degré et des scènes d'actions qui fonctionnent encore très bien de nos jours. Car il faut dire que Cameron est loin d'être un manche quand il s'agit de mettre en scène et il esquisse ici tout ce qui fera sa carrière avec un savoir-faire qui ne se démentira jamais. Si les effets spéciaux ont désormais pris un léger coup de vieux, le film est prenant de bout en bout et installe une mythologie dont le succès ne se démentira jamais, offrant au passage à Arnold Schwarzenegger l'un des rôles les plus célèbres de sa carrière, l'acteur étant parfait avec sa silhouette de culturiste pour incarner l'impitoyable Terminator. Mais Linda Hamilton et Michael Biehn ne sont pas en reste, se montrant tous deux excellents et il est dommage de se dire qu'ils n'ont pas eu la carrière qu'ils méritaient.
Il a dit qu'une tempête arrive. "Je sais".
Terminator, grand classique de science fiction, est un chef d'oeuvre des années 80, qui lança la carrière de James Cameron, et par la même occasion, celle de Schwarzenegger, jusqu'alors inconnu.
Terminator innove par son concept de narration, grâce à un scénario d'action sans zéro temps mort.
Si le thème, celui de l'homme contre la machine, n'était déjà pas nouveau à l'époque, James Cameron le revisite comme une grande bande dessiné cinématographique. 32 ans plus tard, Terminator, premier du nom, n'a rien perdu de sa superbe. L'ancêtre de Matrix et de X-Files s'impose toujours comme un monument du cinéma.
Les rares CGi ont très mal vieilli au point de faire exploser de rire un petit jeune de nos jours.
Côté casting, on y trouve la mythique Linda Hamilton, connue pour avoir interprété le rôle culte de Sarah Connor. Une jeune serveuse sans histoires maladroite, et peureuse, qui au fil du film se transformera en amazone guerrière.
Michael Biehn interprète Kyle Reese, un soldat venu du futur, pour sauver Sarah des griffes d du Terminator.
Enfin Scharzy campe dans le rôle du Terminator himself, machine cybernétique à tuer impitoyable, qui ne connait ni la peur ni le doute. Ces deux là sont malheureusement tombé dans la case "que sont-ils devenus ?" depuis longtemps.
Le thème musical de Terminator quand à lui, est des plus reconnaissables, parmi des centaines d'autres.
Le scénario décrit une vision d'un futur effrayant, celui ou skynet, un super ordinateur, a finit par accéder à l'intelligence artificielle, a pété un câble, puis a reglé le sort de l'humanité en une micro seconde.
Skynet, dont nous avons étés plus proche que jamais, dans un univers mondialisé, où tout est connecté. Nous savons déjà que les machines produisent plus d'information que l'homme lui-même. Enfin, nous avons les drones, les pilotes automatiques d'avions, de voiture, l'ordinateur quantique qui va bientôt arriver. L'intelligence artificielle arrive dans quelques décénies, et posera alors d'énormes problèmes.
Il faudrait être fou pour donner à un ordinateur une conscience humaine, car alors, Skynet sera devenu une réalité.
Quoiqu'il arrive, dans dix ans, Terminator sera encore et toujours d'actualité.
Terminator, grand classique de science fiction, est un chef d'oeuvre des années 80, qui lança la carrière de James Cameron, et par la même occasion, celle de Schwarzenegger, jusqu'alors inconnu.
Terminator innove par son concept de narration, grâce à un scénario d'action sans zéro temps mort.
Si le thème, celui de l'homme contre la machine, n'était déjà pas nouveau à l'époque, James Cameron le revisite comme une grande bande dessiné cinématographique. 32 ans plus tard, Terminator, premier du nom, n'a rien perdu de sa superbe. L'ancêtre de Matrix et de X-Files s'impose toujours comme un monument du cinéma.
Les rares CGi ont très mal vieilli au point de faire exploser de rire un petit jeune de nos jours.
Côté casting, on y trouve la mythique Linda Hamilton, connue pour avoir interprété le rôle culte de Sarah Connor. Une jeune serveuse sans histoires maladroite, et peureuse, qui au fil du film se transformera en amazone guerrière.
Michael Biehn interprète Kyle Reese, un soldat venu du futur, pour sauver Sarah des griffes d du Terminator.
Enfin Scharzy campe dans le rôle du Terminator himself, machine cybernétique à tuer impitoyable, qui ne connait ni la peur ni le doute. Ces deux là sont malheureusement tombé dans la case "que sont-ils devenus ?" depuis longtemps.
Le thème musical de Terminator quand à lui, est des plus reconnaissables, parmi des centaines d'autres.
Le scénario décrit une vision d'un futur effrayant, celui ou skynet, un super ordinateur, a finit par accéder à l'intelligence artificielle, a pété un câble, puis a reglé le sort de l'humanité en une micro seconde.
Skynet, dont nous avons étés plus proche que jamais, dans un univers mondialisé, où tout est connecté. Nous savons déjà que les machines produisent plus d'information que l'homme lui-même. Enfin, nous avons les drones, les pilotes automatiques d'avions, de voiture, l'ordinateur quantique qui va bientôt arriver. L'intelligence artificielle arrive dans quelques décénies, et posera alors d'énormes problèmes.
Il faudrait être fou pour donner à un ordinateur une conscience humaine, car alors, Skynet sera devenu une réalité.
Quoiqu'il arrive, dans dix ans, Terminator sera encore et toujours d'actualité.
Un chef-d'oeuvre qui a ouvert les portes au grand James Cameron ! Bien que très inscrit dans les années 80, Terminator est toujours un film culte, où brille le talentueux Michael Biehn et où Arnold Schwarzenegger fait vraiment et installe une tension qui ne vous lâche plus jusqu'à la fin.
Qui aurait pu croire que cette série B des 80's révélerait un des plus grand réalisateur du monde .
Film oh combien culte pour toute une génération, et qui révolutionna les film d'action, mais aussi d'anticipation.
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