Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec Jusqu’au bout de monde, Viggo Mortensen livre un film passionnant qui est aussi une belle histoire d’amour.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sans esbroufe, avec une mise en scène tout en retenue où la caméra prend le temps de capturer les prestations des acteurs, Mortensen construit un univers palpable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un beau film rude et simple, qui apporte une perspective féminine rarement vue dans les histoires du Far West.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C'est dans le traitement du temps que Jusqu'au bout du monde gagne ses galons de grand film. Le rappel médiéval introduit une construction qui ne cesse de jongler avec le passé, le présent et le futur, en enchaînant flash-back et flash-fowards, sans jamais nous perdre, tout en requérant l'attention du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Un beau film rude et simple, qui apporte une perspective féminine rarement vue dans les histoires du Far West.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Etienne Sorin
Mortensen emmène le western sur son terrain. Ou plutôt à sa façon, mélange de douceur et de révolte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Viggo Mortensen se fait plaisir en mettant en scène un western dans la plus pure tradition qui parle d’amour, de culpabilité et de vengeance, dans des décors magnifiques au diapason des deux interprètes dont l’alchimie crève l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Le western, réalisé et interprété par Viggo Mortensen, offre à Vicky Krieps un beau rôle féminin dans un univers masculin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Dans ce western féministe, Mortensen ne se donne donc pas le beau rôle, mais livre une œuvre de toute beauté, à la fois classique dans sa forme et transgressive sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
L'actrice de Phantom Thread et des Trois Mousquetaires confère un charme fou à cette Vivienne qui ne se contente pas de servir à boire aux hommes du saloon et échappe aux conventions de l'époque. Quant à Viggo Mortensen, il évite l'exercice de style pour signer non sans une certaine candeur ce beau western au féminin.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un western où le classicisme formel est le meilleur allié de l'audace thématique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Viggo Mortensen n’est pas seulement un acteur hors pair, mais aussi un cinéaste singulier. Quatre ans après Falling, son beau premier film, il signe son retour des deux côtés de la caméra avec Jusqu’au bout du monde, un western romanesque où il s’interroge (entre autres) sur la culture de la violence aux États-Unis.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pierre Lunn
Pour sa deuxième réalisation, Viggo Mortensen s'essaie avec réussite au western, en posant un regard féministe sur la conquête de l'Ouest. Un pied dans la traditon, l'autre dans la modernité.
Sud Ouest
par La rédaction
L’acteur et réalisateur Viggo Mortensen signe un western respectueux des codes du genre, qui a le mérite de brosser un très beau portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sans esbroufe, avec une sincérité désarmante, notre homme orchestre (Viggo Mortensen est à la fois réalisateur, scénariste et acteur principal) opte pour une mise en scène sobre et s’éloigne de la linéarité inhérente au western.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Outre l'Amérique encore sauvage, le véritable monde au bout duquel s’achemine le film est un espace mental et mémoriel : le récit finit par prendre la forme d’un pêle-mêle de fragments qu’il appartient au spectateur de coller les uns aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Tantôt rude et sensible, réaliste et romanesque, ce western dépeint de façon crédible la vie des immigrés de l'époque.
Mad Movies
par V.M
Une fresque qui vaut essentiellement par la puissance de son cadre (...). Niveau réalisation, Mortensen offre le minimum syndical : de belles images bien cadrées qui peinent à se mettre en mouvement et à épouser la tension de plus en plus oppressante qui restreint le Vivienne, livré à lui-même une fois son mari parti au front.
Première
par Frédéric Foubert
On peut aussi y voir la réactivation d’une certaine idée du grand cinéma hollywoodien à la Sydney Pollack, engagé, romantique, et sachant sublimer ses stars.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Tourné entre le Canada et le Mexique, Jusqu’au bout du monde, d’une grande beauté plastique, prend son temps sans nous perdre sur les chemins poussiéreux du Far West.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Plutôt que d’épouser l’expérience de son beau personnage féminin, de s’en contenter, Viggo Mortensen la noie dans des détails sociohistoriques, qui dissolvent toute notion de point de vue
La Croix
par Céline Rouden
Pour sa deuxième réalisation, Viggo Mortensen réalise un western aux accents féminins et féministes où il se met en scène face à l’actrice Vicky Krieps mais peine à renouveler le genre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Impression d’un film pour rien, quasi irréprochable dans son costume de mélo historique néo-académique, mais parfaitement stérile.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Tentative lourdaude de western féministe, réalisé et interprété par le sympathique Viggo Mortensen, Jusqu’au bout du monde ne nous veut aucun mal, mais n’est vraiment pas à marquer d’une pierre blanche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Avec Jusqu’au bout de monde, Viggo Mortensen livre un film passionnant qui est aussi une belle histoire d’amour.
CinemaTeaser
Sans esbroufe, avec une mise en scène tout en retenue où la caméra prend le temps de capturer les prestations des acteurs, Mortensen construit un univers palpable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un beau film rude et simple, qui apporte une perspective féminine rarement vue dans les histoires du Far West.
Franceinfo Culture
C'est dans le traitement du temps que Jusqu'au bout du monde gagne ses galons de grand film. Le rappel médiéval introduit une construction qui ne cesse de jongler avec le passé, le présent et le futur, en enchaînant flash-back et flash-fowards, sans jamais nous perdre, tout en requérant l'attention du spectateur.
Le Dauphiné Libéré
Un beau film rude et simple, qui apporte une perspective féminine rarement vue dans les histoires du Far West.
Le Figaro
Mortensen emmène le western sur son terrain. Ou plutôt à sa façon, mélange de douceur et de révolte.
Le Journal du Dimanche
Viggo Mortensen se fait plaisir en mettant en scène un western dans la plus pure tradition qui parle d’amour, de culpabilité et de vengeance, dans des décors magnifiques au diapason des deux interprètes dont l’alchimie crève l’écran.
Le Monde
Le western, réalisé et interprété par Viggo Mortensen, offre à Vicky Krieps un beau rôle féminin dans un univers masculin.
Le Parisien
Dans ce western féministe, Mortensen ne se donne donc pas le beau rôle, mais livre une œuvre de toute beauté, à la fois classique dans sa forme et transgressive sur le fond.
Le Point
L'actrice de Phantom Thread et des Trois Mousquetaires confère un charme fou à cette Vivienne qui ne se contente pas de servir à boire aux hommes du saloon et échappe aux conventions de l'époque. Quant à Viggo Mortensen, il évite l'exercice de style pour signer non sans une certaine candeur ce beau western au féminin.
Les Echos
Un western où le classicisme formel est le meilleur allié de l'audace thématique.
Marianne
Viggo Mortensen n’est pas seulement un acteur hors pair, mais aussi un cinéaste singulier. Quatre ans après Falling, son beau premier film, il signe son retour des deux côtés de la caméra avec Jusqu’au bout du monde, un western romanesque où il s’interroge (entre autres) sur la culture de la violence aux États-Unis.
Ouest France
Pour sa deuxième réalisation, Viggo Mortensen s'essaie avec réussite au western, en posant un regard féministe sur la conquête de l'Ouest. Un pied dans la traditon, l'autre dans la modernité.
Sud Ouest
L’acteur et réalisateur Viggo Mortensen signe un western respectueux des codes du genre, qui a le mérite de brosser un très beau portrait de femme.
aVoir-aLire.com
Sans esbroufe, avec une sincérité désarmante, notre homme orchestre (Viggo Mortensen est à la fois réalisateur, scénariste et acteur principal) opte pour une mise en scène sobre et s’éloigne de la linéarité inhérente au western.
Critikat.com
Outre l'Amérique encore sauvage, le véritable monde au bout duquel s’achemine le film est un espace mental et mémoriel : le récit finit par prendre la forme d’un pêle-mêle de fragments qu’il appartient au spectateur de coller les uns aux autres.
Femme Actuelle
Tantôt rude et sensible, réaliste et romanesque, ce western dépeint de façon crédible la vie des immigrés de l'époque.
Mad Movies
Une fresque qui vaut essentiellement par la puissance de son cadre (...). Niveau réalisation, Mortensen offre le minimum syndical : de belles images bien cadrées qui peinent à se mettre en mouvement et à épouser la tension de plus en plus oppressante qui restreint le Vivienne, livré à lui-même une fois son mari parti au front.
Première
On peut aussi y voir la réactivation d’une certaine idée du grand cinéma hollywoodien à la Sydney Pollack, engagé, romantique, et sachant sublimer ses stars.
Rolling Stone
Tourné entre le Canada et le Mexique, Jusqu’au bout du monde, d’une grande beauté plastique, prend son temps sans nous perdre sur les chemins poussiéreux du Far West.
Cahiers du Cinéma
Plutôt que d’épouser l’expérience de son beau personnage féminin, de s’en contenter, Viggo Mortensen la noie dans des détails sociohistoriques, qui dissolvent toute notion de point de vue
La Croix
Pour sa deuxième réalisation, Viggo Mortensen réalise un western aux accents féminins et féministes où il se met en scène face à l’actrice Vicky Krieps mais peine à renouveler le genre.
Les Inrockuptibles
Impression d’un film pour rien, quasi irréprochable dans son costume de mélo historique néo-académique, mais parfaitement stérile.
Libération
Tentative lourdaude de western féministe, réalisé et interprété par le sympathique Viggo Mortensen, Jusqu’au bout du monde ne nous veut aucun mal, mais n’est vraiment pas à marquer d’une pierre blanche.