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Au lieu de traiter du thème du divorce en dramatisant les étapes successives de la séparation d'un couple face à leur enfant, Sômai en fera une force climatique qui dilate les durées habituelles, étire les perspectives des lieux autour d'eux, inscrit dans chaque mot une sourde résonnance.
Par sa beauté triste et la simplicité pourtant virtuose de sa mise en scène, le film de Shinji Somai ressemble aux prémices du meilleur cinéma japonais contemporain. Déménagement peut donc être considéré sans excès comme une œuvre séminale.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La caméra de Somai elle-même est entraînée, happée, par le mouvement de ses personnages. Sa prédilection va aux longues prises filées, aux plans-séquences scénographiés, où les acteurs peuvent jouer d’une traite, investir tout l’espace déployé par les aventures du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette merveille de mise en scène et de sensibilité était passée inaperçue. Gageons qu’aujourd’hui, ce film où chagrin, tendresse et vitalité saisissent à chaque scène ne laissera plus indifférent.
Film de 1993 resté inédit en France, ce récit d’initiation d’une jeune fille sur fond de divorce est la révélation tardive d’un chef-d’œuvre du cinéaste japonais Shinji Somai, disparu en 2001.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Au-delà de ses morceaux de bravoure, le film brille surtout par ses incursions documentaires imprévues, dont la beauté renforce paradoxalement le côté rêveur de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les mouvements de caméra emprisonnent les êtres sans pour autant les bâillonner. Dans la dernière partie, dans une formidable mise en abîme du regard, le film touche carrément au sublime. Il est plus que temps de découvrir Shinji Sômai.
La critique complète est disponible sur le site Première
Tout en révélant le dysfonctionnement familial, les frustrations de chacun, la place compliquée à trouver pour l’enfant — on comprend pourquoi l’auteur d’Une affaire de famille aime tant Shinji Sômai —, le film reste volubile et vivant malgré la tristesse, étranger à tout pathos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un grand film sur l’enfance et la famille, peut être un peu déstabilisant sur la fin en raison d’une rupture de ton poétique, certes maîtrisée, mais qui à mon sens, lui fait perdre une partie de sa puissance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Au lieu de traiter du thème du divorce en dramatisant les étapes successives de la séparation d'un couple face à leur enfant, Sômai en fera une force climatique qui dilate les durées habituelles, étire les perspectives des lieux autour d'eux, inscrit dans chaque mot une sourde résonnance.
Culturopoing.com
Par sa beauté triste et la simplicité pourtant virtuose de sa mise en scène, le film de Shinji Somai ressemble aux prémices du meilleur cinéma japonais contemporain. Déménagement peut donc être considéré sans excès comme une œuvre séminale.
Le Monde
La caméra de Somai elle-même est entraînée, happée, par le mouvement de ses personnages. Sa prédilection va aux longues prises filées, aux plans-séquences scénographiés, où les acteurs peuvent jouer d’une traite, investir tout l’espace déployé par les aventures du cadre.
Les Fiches du Cinéma
Cette merveille de mise en scène et de sensibilité était passée inaperçue. Gageons qu’aujourd’hui, ce film où chagrin, tendresse et vitalité saisissent à chaque scène ne laissera plus indifférent.
Les Inrockuptibles
Véritable révélation, “Déménagement”, à la fois cruel et mystérieux, s’inscrit, sans forcer, dans la cohorte des grands films d’enfance.
Libération
Film de 1993 resté inédit en France, ce récit d’initiation d’une jeune fille sur fond de divorce est la révélation tardive d’un chef-d’œuvre du cinéaste japonais Shinji Somai, disparu en 2001.
Paris Match
[Un] petit chef d’œuvre.
Critikat.com
Au-delà de ses morceaux de bravoure, le film brille surtout par ses incursions documentaires imprévues, dont la beauté renforce paradoxalement le côté rêveur de l'ensemble.
L'Obs
Impossible d’oublier le visage de la petite Tomoko Tabata, son pep dévastateur et ses larmes discrètes.
Première
Les mouvements de caméra emprisonnent les êtres sans pour autant les bâillonner. Dans la dernière partie, dans une formidable mise en abîme du regard, le film touche carrément au sublime. Il est plus que temps de découvrir Shinji Sômai.
Télérama
Tout en révélant le dysfonctionnement familial, les frustrations de chacun, la place compliquée à trouver pour l’enfant — on comprend pourquoi l’auteur d’Une affaire de famille aime tant Shinji Sômai —, le film reste volubile et vivant malgré la tristesse, étranger à tout pathos.
aVoir-aLire.com
Un grand film sur l’enfance et la famille, peut être un peu déstabilisant sur la fin en raison d’une rupture de ton poétique, certes maîtrisée, mais qui à mon sens, lui fait perdre une partie de sa puissance.