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    Kinds of Kindness
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    2,8
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    66 critiques spectateurs

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    Adrien J.
    Adrien J.

    52 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    Une œuvre particulièrement bizarre et déconcertante qui parle de relations toxiques et du fait de vouloir tout donner à l’autre. La photo est très belle et certains passages sont vraiment atypiques, mais le film est étiré en longueur de façon déraisonnable. C’est interminable, on s’ennuie un peu trop devant tout ça. Kinds of Kindness est une proposition singulière nulle doute là dessus, mais une proposition sûrement trop excentrique aussi…
    Rodolphe35
    Rodolphe35

    4 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 juin 2024
    Je déteste dire qu’un film est mauvais, mais c’est mon ressenti en sortant de la salle. Le propos du réalisateur est de montrer à quel point l’aliénation est possible dans toutes sociétés mais les choix scenaristiques poussent l’histoire de l’absurde à l’abject voir l’insoutenable et ce dans une mise en scène qui se veut détachée ou spectatrice. Le réalisateur était sans doute fasciné par ses acteurs…il oublié de faire un film
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    307 abonnés 574 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    A voir pour les deux premières histoires ( surtout la premiere). Pas mal de scène un peu sanglantes et violentes qui peuvent choquer le spectateur non averti. Yorgos reste un réalisateur disruptif et qui mérite sa place dans le monde du cinéma
    Lolallociné
    Lolallociné

    25 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2024
    Et si je vous disais que j’ai des sentiments pour Margaret Qualley QUI VA FAIRE QUOI
    d’ailleurs attendez ça me fait penser qu’à un moment le perso d’Emma Stone est au bar rt devinez ce qu’elle boit !

    un/e margerita !!!!!!!!!
    Ouais sinon bah super moment au ciné (quand même un long moment) ma partie préférée c’est la 2 et le générique de fin parce que j’ai eu le déclic et j’ai tout compris. Et j’adore quand je comprends à la fin c’est un magnifique sentiment (laissez tomber les fans de Nolan vous connaissez pas ça vous)
    Hop là toujours glisser un petit tacle discret 👍
    Ai toujours peut de Willem Dafoe ça n’a pas bougé
    Loïc
    Loïc

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    Pas grand chose à ajouter à part l’incompréhension qui nous envahit à la fin de la séance.
    C’est déroutant, certes, et voulu, mais ça n’en fait pas pour autant un bon film…
    Insaf75011
    Insaf75011

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juin 2024
    Le film n'a aucun sens, on n'arrive pas à rentrer dedans car trop de questions sans réponses. Il y a carrément des scènes qu'on a l'impression que Lánthimos a oublié lorsqu'il déroule son recit. Et comme d'habitude avec lui un traitement des VSS ultra problématique.
    Stephane CAZENAVE
    Stephane CAZENAVE

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juillet 2024
    Très difficile à regarder...j'ai été voir le film sans savoir de quoi il retournait, sans voir de bande annonce,once, j'adore Willem Dafoe et Emma Stone,je n'ai pas été déçu!!
    Scènes gore, invraisemblances, j'ai failli sortir plusieurs fois mais j'ai décidé de supporter jusqu'au bout.
    J'ai détesté. Il y a quelques belles images, lais sinon beurkkkk . Déception totale.
    Edith Jacquinot
    Edith Jacquinot

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    J'ai résisté à la tentation de partir en cours de séance sans doute par masochisme devant un film interminable qui accumulé les scènes gorges, et dérangeantes dont aucune émotion ne se dégage et qui est interminable.
    Mariane B.
    Mariane B.

    17 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2024
    le moins bizarre des films de Lanthimos.. c'est bien, ça se regarde, ça diverti mais on rentre pas totalement dedans.. les 3 anecdotes qui évoluent ensemble et parallèlement sont originales mais ne sont pas suffisamment extraordinaires pour porter le film.. ça m'a fait penser à Triangle of sadness de Ostlund en beaucoup moins bien!
    Pierre
    Pierre

    8 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    Le film "Kinds of kindness" est divisé en 3 parties pour 3 histoires. Je l'ai apprécié de le regarder. Je n'étais pas déçu du film.
    Il y a 3 histoires dans le film qui sont indépendants mais ils sont reliés par certains sujets. Surtout les niveaux psychologiques, pour moi c'était très mis en avant sur l'aspect psychologique. Être bien vu par les autres. Faire des choses pour les autres. La limite de l'amour et de la gentillesse.
    Les 2h44 du film passe très bien. C'est bien rythmé, j'étais absorbé par les 3 histoires. Il y a de l'humour qui est très bien passé dans certaines scènes. Même où tu t'attendais pas tout. C'était aussi de l'humour noir à certains moments.
    Emma Stone comme dans son précédent film. Je l'ai adoré elle était excellente, une grande actrice. Jesse Plemons il était excellent, je comprends qu'il a eu le prix d'interprétation Masculine du Festival de Cannes. Je dirais pourquoi pas un Oscar l'année prochaine. Le casting était un gros point positif du film. Ils ont tous fait un super travail.
    Je pense que j'irai le voir une deuxième fois mais en VF cette fois.
    GAA
    GAA

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juin 2024
    J’ai adoré ce film avec ses 3 chroniques sur la dépendance affective et la folie ordinaire. C’est surprenant et dérangeant.
    Miami_Chorize
    Miami_Chorize

    9 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    Le cinéma de Yorgos Lanthimos suscite des réactions très contrastées : en gros, soit on aime beaucoup, soit on déteste. Je me reconnais plutôt dans la première catégorie, depuis "The Lobster".

    Qu'est-ce qui m'a plu dans ce film-ci ? D'abord le jeu des acteurs. Emma Stone est une fois de plus formidable (son importance croissant d'une histoire à l'autre), tout comme Willem Dafoe, Jesse Plemons et Margaret Qualley. Ces acteurs réussissent le tour de force d'interpréter chacun (de manière convaincante) trois personnages différents, puisque le film est divisé en trois.

    J'ai aussi aimé l'espèce de puzzle que représente cette construction en trois parties, chacune étant elle-même quelque peu énigmatique. Cela oblige à faire chauffer les méninges (un peu comme quand on se retrouve face à "Mulholland Drive" de Lynch).

    Je reconnais que c'est parfois un peu brumeux, mais franchement, quand on est bien dedans, cela devient presque un jeu.

    Indice : spoiler: chaque partie illustre une forme d'aliénation mentale, reliée à l'évolution du monde contemporain
    .
    BillBoo
    BillBoo

    8 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    En plus d'être très inégal, le gros défaut de Kinds of Kidness est sa longueur (2 h 44), qui ne donne pas du tout envie de revisionner le film pour tenter d'y comprendre des points de scénario qui nous auraient échappés.

    Lánthimos sépare son récit en trois histoires aux thématiques différentes. La première – peut-être la plus accessible – spoiler: montre la relation toxique entre un cadre et son supérieur. Robert est prêt à se plier aux désirs les plus extrêmes, car il sait que désobéir à son patron le condamnerait à l'ostracisme. Preuve en est, lorsqu'il refuse un service : sa femme le quitte, les gens l'ignorent, les cadeaux qu'on lui a fait lui sont repris. Le pouvoir de vie ou de mort qu'a le patron sur ses salariés est bien amené, car, à l'instar de ceux qui font pendre la menace du licenciement, Raymond met Robert au ban de la société, et le remplace par une autre personne, Rita, qui, elle, acceptera de franchir la ligne rouge.


    La deuxième histoire se penche spoiler: sur une autre relation nauséabonde, avec, cette fois, une femme rescapée d'une île déserte qui revient différente, avec un désir charnel accru pour son mari. On sait qu'en cas de survie, la libido est à son plus bas, mais d'après les dires de Liz, ce sont les rapports sexuels qui lui ont le plus manqués, par-dessus la faim, la soif et la solitude. À son retour, sa relation avec Daniel prend des tournures violentes, masochistes. Daniel finit par sombrer dans la démence.


    La dernière histoire dévoile aussi spoiler: la dépendance d'une personne à un groupe – en l'occurrence, une secte –, et son désir de se purifier du mal qui l'habiterait. Son cas vire au cauchemar lors des retrouvailles avec son mari, qui use de procédés infects pour commettre des atrocités. Et, comble de l'horreur, la secte la rejette d'avoir été "souillée". Culture du viol à lire entre les lignes, bien sûr, couplée au désir d'appartenir à des groupuscules sectaires.




    On retrouve bien un point commun à ces trois histoires : des relations à fuir. Mais on peut avoir du mal à assembler toutes les pièces du puzzle géant de Lánthimos. Je ne pense pas avoir compris les thématiques soulevées par l'intrigue spoiler: autour des nageuses, par exemple, ni la scène de la cassette vidéo, ni pourquoi Daniel demande à Liz de se couper un doigt pour lui.


    Le labyrinthe est trop grand, trop copieux, trop abscons pour ma pauvre petite personne. Mais je reste demandeur de l'originalité du cinéma de Lánthimos !
    Bunny
    Bunny

    10 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    Ce film est comme un médicament pas bon. C'est un miroir qui nous rappelle que nous sommes trop gentils de rester dans la salle jusqu'à la fin.
    Lenny Moland
    Lenny Moland

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Vu lors du festival de Cannes. Lánthimos dresse ici une sorte d'étude et d'exemple du comportement humain dans le sens large du terme.
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