Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Attention, grand film ! "Lost Country" est un bouleversement immense, par sa puissance, sa maîtrise, son osmose entre destin individuel et grande Histoire, et par le regard frontal et gorgé d’amour de Vladimir Perišić sur son sujet et sur son duo d’interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Histoire de la perdition d’un pays et d’un adolescent tiraillé entre son amour pour sa mère et ses convictions éthiques, le deuxième film de Vladimir Perisic mêle avec une grande justesse le politique et l’intime, nous conduisant dans un passé toujours actuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Si l’intrigue de Lost Country renvoie à la matrice du film de fin d’études de Perisic, Dremanooko (2003), où un enfant était rendu responsable par ses camarades des exactions commises par son père à l’occasion des événements de 1996, sa force se trouve décuplée vingt ans plus tard par la présence d’un duo mère-fils.
Elle
par Françoise Delbecq
Le réalisateur et sa coscénariste, la Française Alice Winocour (réalisatrice de «Revoir Paris »),installent une incroyable tension émotionnelle. Tout en nuances, le jeune Jovan Ginic - dontc est la première apparition à l'écran - est soufflant de délicatesse et de subtilité.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Au centre de Lost Country, il y a Jovan Ginić, un adolescent repéré dans les piscines de water-polo de Belgrade. Tête blonde aux sourcils noirs, la moue dure mais que l’on dirait toujours en passe de fuser. Une de ces découvertes miraculeuses : première fois d’acteur, premier film, prix de la révélation à la Semaine de la critique, et la lumière fut.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une fiction tout en friction où les auteurs laissent une place primordiale au cinéma pour, au travers du cadre et des mouvements contraints de la caméra, capter, de manière douce et abrasive, ce nœud étranglé de ressentis contradictoires qui mettent en pièces Stefan.
Le Monde
par Ma. Mt
D’une esthétique mate et granuleuse, tourné en pellicule 16 millimètres, le film s’enfonce au rythme de la chronique dans les demi-teintes automnales, tout en fines nuances d’amertume et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film subtil et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Avec une lucidité implacable, qui combine la tragédie à la délicatesse du récit d’apprentissage, Vladimir Perišić conduit son film avec cette contradiction qui porte toute sa richesse et son ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Frédéric Mercier
Perisic réussit de cette façon à injecter un romantisme bienvenu dans ce film bouleversant et subtil qui renoue, au meilleur sens du terme, avec le réalisme critique.
Première
par Estelle Aubin
Chaque scène est un tableau, ou une nature morte. Il y a des cloisons (une vitre, un mur), des mouvements fluides et colorés, et toujours cette lumière qui vient d’on-ne-sait-où. Récompensé du Prix de la Révélation à la Semaine de la Critique de Cannes, Lost country fait de l’adolescence, un abyme silencieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Coécrit avec la réalisatrice Alice Winocour (Revoir Paris), et baigné de couleurs sourdes et froides qui, comme l’époque elle-même, évoquent aussi bien l’aube que le crépuscule, ce film âpre expose magistralement le désespoir d’une génération empoisonnée par la précédente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Valentin Denis
Avec précision, Lost Country filme l’élite bureaucratique des régimes post-soviétiques comme vidée de sa substance idéologique et acquise, sans s’en rendre compte, aux modes de vie occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
De la cime ensoleillée du noisetier de son grand-père aux rivages sombres du Danube, c’est la chute morale de Stefan, et de son pays, que filme Perisic sous la forme d’un ressac destructeur (entre attachement familial et ostracisme des camarades) dont l’aspect répétitif se pare de nuances de plus en plus tragiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Vladimir Perisic a une connaissance intime de la république serbe de Bosnie dans les années Milosevic. Il en tire un récit très sombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Si la reconstitution historique frôle la perfection – les très réussies scènes de manifestations en mettent plein les yeux et les oreilles, on est moins convaincus par les moues boudeuses du jeune comédien Jovan Ginic (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Malgré un regard inspiré sur la Serbie du mitan des années 1990, le récit d’un adolescent déchiré entre ses convictions politiques et l’amour pour sa mère se perd dans des scènes inutilement étirées où les personnages s’étiolent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Attention, grand film ! "Lost Country" est un bouleversement immense, par sa puissance, sa maîtrise, son osmose entre destin individuel et grande Histoire, et par le regard frontal et gorgé d’amour de Vladimir Perišić sur son sujet et sur son duo d’interprètes.
Les Fiches du Cinéma
Histoire de la perdition d’un pays et d’un adolescent tiraillé entre son amour pour sa mère et ses convictions éthiques, le deuxième film de Vladimir Perisic mêle avec une grande justesse le politique et l’intime, nous conduisant dans un passé toujours actuel.
Cahiers du Cinéma
Si l’intrigue de Lost Country renvoie à la matrice du film de fin d’études de Perisic, Dremanooko (2003), où un enfant était rendu responsable par ses camarades des exactions commises par son père à l’occasion des événements de 1996, sa force se trouve décuplée vingt ans plus tard par la présence d’un duo mère-fils.
Elle
Le réalisateur et sa coscénariste, la Française Alice Winocour (réalisatrice de «Revoir Paris »),installent une incroyable tension émotionnelle. Tout en nuances, le jeune Jovan Ginic - dontc est la première apparition à l'écran - est soufflant de délicatesse et de subtilité.
L'Humanité
Au centre de Lost Country, il y a Jovan Ginić, un adolescent repéré dans les piscines de water-polo de Belgrade. Tête blonde aux sourcils noirs, la moue dure mais que l’on dirait toujours en passe de fuser. Une de ces découvertes miraculeuses : première fois d’acteur, premier film, prix de la révélation à la Semaine de la critique, et la lumière fut.
La Septième Obsession
Une fiction tout en friction où les auteurs laissent une place primordiale au cinéma pour, au travers du cadre et des mouvements contraints de la caméra, capter, de manière douce et abrasive, ce nœud étranglé de ressentis contradictoires qui mettent en pièces Stefan.
Le Monde
D’une esthétique mate et granuleuse, tourné en pellicule 16 millimètres, le film s’enfonce au rythme de la chronique dans les demi-teintes automnales, tout en fines nuances d’amertume et de mélancolie.
Les Echos
Un film subtil et émouvant.
Les Inrockuptibles
Avec une lucidité implacable, qui combine la tragédie à la délicatesse du récit d’apprentissage, Vladimir Perišić conduit son film avec cette contradiction qui porte toute sa richesse et son ambiguïté.
Positif
Perisic réussit de cette façon à injecter un romantisme bienvenu dans ce film bouleversant et subtil qui renoue, au meilleur sens du terme, avec le réalisme critique.
Première
Chaque scène est un tableau, ou une nature morte. Il y a des cloisons (une vitre, un mur), des mouvements fluides et colorés, et toujours cette lumière qui vient d’on-ne-sait-où. Récompensé du Prix de la Révélation à la Semaine de la Critique de Cannes, Lost country fait de l’adolescence, un abyme silencieux.
Télérama
Coécrit avec la réalisatrice Alice Winocour (Revoir Paris), et baigné de couleurs sourdes et froides qui, comme l’époque elle-même, évoquent aussi bien l’aube que le crépuscule, ce film âpre expose magistralement le désespoir d’une génération empoisonnée par la précédente.
Critikat.com
Avec précision, Lost Country filme l’élite bureaucratique des régimes post-soviétiques comme vidée de sa substance idéologique et acquise, sans s’en rendre compte, aux modes de vie occidentaux.
L'Obs
De la cime ensoleillée du noisetier de son grand-père aux rivages sombres du Danube, c’est la chute morale de Stefan, et de son pays, que filme Perisic sous la forme d’un ressac destructeur (entre attachement familial et ostracisme des camarades) dont l’aspect répétitif se pare de nuances de plus en plus tragiques.
Le Figaro
Vladimir Perisic a une connaissance intime de la république serbe de Bosnie dans les années Milosevic. Il en tire un récit très sombre.
Le Parisien
Si la reconstitution historique frôle la perfection – les très réussies scènes de manifestations en mettent plein les yeux et les oreilles, on est moins convaincus par les moues boudeuses du jeune comédien Jovan Ginic (...).
Libération
Malgré un regard inspiré sur la Serbie du mitan des années 1990, le récit d’un adolescent déchiré entre ses convictions politiques et l’amour pour sa mère se perd dans des scènes inutilement étirées où les personnages s’étiolent.