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C’est l’histoire véridique des sœurs PEYNET qui, malgré leur handicap, cherchent à tout prix à devenir ensemble de grandes pianistes de grande renommée. Ce premier long-métrage des frères POTIER est réalisé avec beaucoup de subtilité et d’émotions. La qualité de l’interprétation aide beaucoup à la réussite de ce beau film avec un Frank DUBOSC étonnant et à contre emploi dans le rôle du père autocrate et protecteur mais finalement plein d’humanité. L’émotion dans ce film est palpable et bien entretenue tout au long du film. En résumé, c’est un biopic touchant et inspirant qui devrait plaire à un large public.
Bernard CORIC
(Film visionné le 28/10/2024 au Club Lincoln à PARIS)
Bernard CORIC
(Film visionné le 28/10/2024 au Club Lincoln à PARIS)
J’ai beaucoup apprécié ce film. Une histoire incroyable qui incarne à merveille l’expression même du mot « résilience ». Un photographie très esthétique. Un casting très juste et sans défaut. Et, un Franck Dubosc (dans un rôle sérieux) qui nous livre une très belle prestation - qui ne serait sans rappeler celle de Coluche dans Ciao Patin. Vas y Franck ! Le drame te réussit très bien.
Freakin Geek
L'un des pires films que j'ai pu voir cette année ! J'aime habituellement les films sur la musique mais là le scénario, le choix des acteurs (à part Isabelle Carré), les personnages allemands qui se parlent entre eux en français, il n'y a rien qui va ! Pourquoi avoir voulu inventer cette fiction débile plutôt que de rester fidèle à la vraie histoire de ses deux sœurs ? Tout bonnement affligeant !
selenie
Au départ les réalisateurs cherchaient de vraies jumelles pianistes mais après des recherches vaines ils ont dû passer au casting classique, et on choisit Camille Razat et Mélanie Robert et ce fut un coup de chance inouï puisqu'elles sont très amies depuis leurs années lycée et ont même vécu en colocation. Une complicité réelle et inattendue qui sert merveilleusement leurs rôles. Evidemment, pour ce qui est du piano, des doublures ont été utilisé mais les deux actrices ont tout de même pris 8 mois de cours intensifs au point qu'elles ont souffert de tendinite. Si les deux jeunes actrices sont merveilleuses, dans l'émotion ou la crédibilité artistique on reste largement plus dubitatif concernant le papa joué par Franck Dubosc. En effet, le contre-emploi n'est pas bien folichon, même dans es scènes les plus sérieuses on voit le comique qui force son talent, un talent qui ne lui permet pas de faire son "Tchao Pantin". On ne perçoit pas clairement la part de fiction, surtout en ce qui concerne ce prof tyrannique à l'égo démesuré. Mais le film reste avant tout une belle histoire de sororité où les jumelles portent haut la résilience et l'abnégation au féminin. Ca se regarde comme on dit.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Réalisation et narration assez classique mais on se laisse emporté par cette histoire et la musique.
D'après une histoire vraie, celle d'Audrey et Diane Pleynet, qui ont fait de leur handicap une force : elles sont les seules à "se soutenir" tout en effleurant les touches de leur piano. Un joli projet mené par Camille Razat et Mélanie Robert, meilleures amies dans la vie. Quelques longueurs et autres problèmes de justesse viennent obscurcir le tableau, mais la morale est trop belle pour se laisser enquiquiner par des choix de mise en scène.
Tirée d’une histoire vraie ( en général j’aime plutôt ce type de scénario ) , ce film original aborde le problème de ces parents qui projettent sur leurs enfants leurs propres espoirs déçus de carrière sportive ou musicale ….mais également de la compétition, de ce qui pousse certains à se transcender, au prix de nombreux sacrifices, pour être les meilleurs …pour être des rois…
Une belle interprétation des deux actrices , qui ont su se fondre dans un rôle de jumelle….c’est bluffant…
Bien rythmé….
Une belle interprétation des deux actrices , qui ont su se fondre dans un rôle de jumelle….c’est bluffant…
Bien rythmé….
Film qui ne manque pas de charme. Beethoven et Rachmaninov, il y a pire comme compagnie. Le scénario tient la route et les acteurs sont convaincants. J’ai passé un moment agréable , un peu conventionnel.
Tiré d’´une histoire réellement vécue, ce film aurait gagné à être interprété par des acteurs moins connus que Franck Dubosc qui surjoue son rôle et manque ainsi de crédibilité. Par contre les deux actrices qui incarnent les sœurs jumelles, par leur fraîcheur et la justesse de leur jeu, particulièrement dans les scènes musicales, sauvent largement le film.
Un très bon film, porté par le charme délicat des deux actrices et parfaitement filmé. Le suspens et les rebondissements en maintiennent l’intérêt jusqu’à la fin qui est bouleversante.
Film issu d'une histoire et ca marche car on le ressent que les 2 pianistes jumelles ont participées activement au film.
Eu la chànce de voir le film en avànt première au pathe conventiôn de Paris avec l'équipe du film et une des jumelles pianistes. Superbe échange.
Bluffée par le travail fait de ses 2 pianistes, comment elles ont persévéré. Pas de lenteur dans le film les morceaux de musique choisis le sont avec soin et reste peu présent dans le film car en fait c'est surtout comment elles en ont bavé pour arriver à ceux qu'elles font.
France dubosq en père rustre s'en sort très bien pour ce type de rôle ou on le voit que très rarement. Il arrive malgré tout à mettre une petite touche de sa "folie" habituelle de manière très subtiles à 3-4 moments dans le film
Bravo
Eu la chànce de voir le film en avànt première au pathe conventiôn de Paris avec l'équipe du film et une des jumelles pianistes. Superbe échange.
Bluffée par le travail fait de ses 2 pianistes, comment elles ont persévéré. Pas de lenteur dans le film les morceaux de musique choisis le sont avec soin et reste peu présent dans le film car en fait c'est surtout comment elles en ont bavé pour arriver à ceux qu'elles font.
France dubosq en père rustre s'en sort très bien pour ce type de rôle ou on le voit que très rarement. Il arrive malgré tout à mettre une petite touche de sa "folie" habituelle de manière très subtiles à 3-4 moments dans le film
Bravo
Frédéric et Valentin Potier ( Père et fils = plutôt rare ) ont repris une histoire réelle, de deux sœurs jumelles pour réaliser une comédie "Prodigieuses" et le qualificatif n'est pas surfait. "Virtuoses" aurait tout à fait convenu, tant ce film est émouvant ! ! Le casting est parfait pour les 2 jeunes filles qui passent sans problème pour des jumelles : Camille Razat ( Claire ) et Melanie Robert ( Jeanne ) vous emportent non seulement dans la ( belle ) musique, mais dans une vie pétillante. Leurs parents ( Franck Dubosc et Isabelle Carré ) sont également touchants, avec un décor du pavillon certes "kitsch" mais tellement véridique, et une vie toute consacrée à leurs 2 filles. Deux jeunes interprètes qui ont appris le piano, incroyable, et qui donnent le change, particulièrement dans les conditions... chut ! Ce film solaire est une pépite qui apporte la lumière à ceux qui doutent, est un modèle concentré de Bonheur avec ces deux jeunes filles "Valllois" avec 2 "L" - Les réalisateurs en jouent habilement - ou 2 ailes certainement leur permettant de voler littéralement. Bravo à la symbolique et à la fantastique danse des avant-bras et des mains au dessus du clavier....Mais allez le voir, Il devrait vous transporter...... !!**
Un jolie film tiré d'une histoire vrai de ses soeurs dont le père à tout fait pour leur réussite (quitte à sacrifier leur enfance et adolescence) et dont le destin va être stopper net. On suit leur début d'ascension et ce coup qui va mettre à mal la relation dans cette famille. Les passages au piano sont vraiment agréable et que soit les demoiselles Razat et Robert ou Dubosc et Carré sont vraiment bien. Même mention à Dubosc en père intraitable. Et puis j'ai apprécié la fin qui même si elle douche passablement leur destin promis permet d'avoir cette légèreté...
NOTE : 8/10
NOTE : 8/10
Bon scénario, bonne interprétation, on entre de plain pied dans cette histoire de gémellité artistique, seule la fin m'a un peu déçu avec son ultime rebondissement dont on aurait pu se passer et qui est posé là alors qu'on l'attendait bien avant. L'interprétation est réussie et le film montre bien quelles difficultés peuvent être celles d'une carrière d'artiste, avec les tensions, les sacrifices, les coups du sort et les rivalités du milieu. L'histoire est émouvante et la bande originale est un régal. Un très bon moment de cinéma.
« Tout ce qui existe dans l’univers est le fruit du hasard et de la nécessité ».
Cette citation, attribuée au philosophe grec Démocrite n’a cessé, depuis plus de vingt-trois siècles, d’alimenter les écrits de nombreux penseurs, polémistes, scientifiques et même politiques...
Que le 4ème Art et le 7ème Art se croisent sur le grand écran, depuis plusieurs décennies, j’aime l’idée que cela relève plus de la nécessité que du hasard.
En sortant de la projection de « Prodigieuses », cette pensée est la première qui m’est venue à l’esprit avant d’en parler autour de moi et d’écrire ces quelques lignes.
Frédéric et Valentin Potier, père et fils ont choisi pour leur premier long-métrage de mettre en son et en lumière l’histoire vraie des sœurs Audrey et Diane Pleynet.
Que les réfractaires au biopic se rassurent, « Prodigieuses » est inspiré de la vie des jumelles Pleynet qui sont dans cette fiction, les sœurs Vallois.
Ainsi l’histoire incroyable d’Audrey et de Diane devient celle de Claire (Camille Razat) et de Jeanne (Mélanie Robert), deux jeunes pianistes dont les parents Serge Vallois (Franck Dubosc) et Catherine Vallois (Isabelle Carré) détectent, dès leur plus jeune âge, un énorme potentiel.
Pour ne pas spoiler le film, je n’en dirai pas plus sur le parcours de ces deux prodiges.
Je préfère insister sur les émotions suscitées durant 1h40 par cette partition jouée à quatre mains.
Tout dans ce film se décline par paire.
A croire que le duo père-fils qui a réalisé ce chef-d’œuvre*, ont déroulé un fil rouge qui nous guide jusqu’au final.
L’opposition comme la complémentarité, vécues lors de toutes les étapes de cette histoire parsemée d’épreuves, nous transportent par vagues d’émotion allant de la joie à la douleur, de l’espoir au désespoir, de l’euphorie à l’écœurement, de la virtuosité au vertige de la chute, de la complicité au désunion…
Je sais que « *chef-d’œuvre » va heurter la sensibilité de certains cinéphiles puristes mais c’est mon ressenti en tant que simple cinéphile.
En venant régulièrement dans les salles dites obscures, je viens parfois chercher la lumière.
Cette lumière née de la Musique et du Cinéma et que « Prodigieuses » nous offre.
Ne serait-ce que pour encourager le cinéma à continuer de nous fournir de telles émotions, courez vite vers vos salles préférées pour vibrer aux notes du compositeur de ce film, Dan Levy.
Cette citation, attribuée au philosophe grec Démocrite n’a cessé, depuis plus de vingt-trois siècles, d’alimenter les écrits de nombreux penseurs, polémistes, scientifiques et même politiques...
Que le 4ème Art et le 7ème Art se croisent sur le grand écran, depuis plusieurs décennies, j’aime l’idée que cela relève plus de la nécessité que du hasard.
En sortant de la projection de « Prodigieuses », cette pensée est la première qui m’est venue à l’esprit avant d’en parler autour de moi et d’écrire ces quelques lignes.
Frédéric et Valentin Potier, père et fils ont choisi pour leur premier long-métrage de mettre en son et en lumière l’histoire vraie des sœurs Audrey et Diane Pleynet.
Que les réfractaires au biopic se rassurent, « Prodigieuses » est inspiré de la vie des jumelles Pleynet qui sont dans cette fiction, les sœurs Vallois.
Ainsi l’histoire incroyable d’Audrey et de Diane devient celle de Claire (Camille Razat) et de Jeanne (Mélanie Robert), deux jeunes pianistes dont les parents Serge Vallois (Franck Dubosc) et Catherine Vallois (Isabelle Carré) détectent, dès leur plus jeune âge, un énorme potentiel.
Pour ne pas spoiler le film, je n’en dirai pas plus sur le parcours de ces deux prodiges.
Je préfère insister sur les émotions suscitées durant 1h40 par cette partition jouée à quatre mains.
Tout dans ce film se décline par paire.
A croire que le duo père-fils qui a réalisé ce chef-d’œuvre*, ont déroulé un fil rouge qui nous guide jusqu’au final.
L’opposition comme la complémentarité, vécues lors de toutes les étapes de cette histoire parsemée d’épreuves, nous transportent par vagues d’émotion allant de la joie à la douleur, de l’espoir au désespoir, de l’euphorie à l’écœurement, de la virtuosité au vertige de la chute, de la complicité au désunion…
Je sais que « *chef-d’œuvre » va heurter la sensibilité de certains cinéphiles puristes mais c’est mon ressenti en tant que simple cinéphile.
En venant régulièrement dans les salles dites obscures, je viens parfois chercher la lumière.
Cette lumière née de la Musique et du Cinéma et que « Prodigieuses » nous offre.
Ne serait-ce que pour encourager le cinéma à continuer de nous fournir de telles émotions, courez vite vers vos salles préférées pour vibrer aux notes du compositeur de ce film, Dan Levy.
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