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La beauté picturale et insituable des paysages alentour, la rareté des indices tangibles du danger et le rythme étouffé du film ouvrent à une seconde lecture : on pourrait se situer à la jonction de l’Histoire en marche et d’un espace-temps originel, avant les pogroms, à un moment où Leiba peut encore croire que l’antisémitisme se règlera d’homme à homme.
Cette fable qui dénonce l’antisémitisme endémique dans la Roumanie du début du XXe siècle est dialoguée et mise en scène avec une indéniable puissance tragique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
En lorgnant très adroitement vers les grandes œuvres du slow cinema, le film réussit à montrer brillamment la propagation d’une haine insidieuse qui trouve sa justification dans un contexte d’extrême pauvreté. Le drame laisse alors place, dans une dernière heure majestueuse, à un pur objet horrifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sans opposer schématiquement les victimes et leur bourreau, le film montre, avec un certain brio, l’hypocrisie d’hommes sortis de leur zone de confort, blessés dans leur ego. La vengeance, exercée ici au nom de la croyance religieuse, devient alors le seul moyen de s’affirmer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Après une séquence d’ouverture choquante (l’agression de la femme enceinte du héros), ce drame, sur un conflit banal qui dégénère, peine à maintenir l’atmosphère paranoïaque et sous tension.
Ce film étrange, figé dans une glu malsaine, montre moins la violence qu’il ne suggère sa constante menace. Il aurait ainsi pour vertu de faire ressentir l’angoisse et l’impuissance séculaires dans lesquelles ont vécu les juifs sous l’empire de la chrétienté. En contrepoint, et l’on ne sait trop s’il convient de le lui reprocher ou de l’en féliciter, sa dramaturgie figée distille un sentiment d’accablement dont on peine à se remettre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
La beauté picturale et insituable des paysages alentour, la rareté des indices tangibles du danger et le rythme étouffé du film ouvrent à une seconde lecture : on pourrait se situer à la jonction de l’Histoire en marche et d’un espace-temps originel, avant les pogroms, à un moment où Leiba peut encore croire que l’antisémitisme se règlera d’homme à homme.
L'Obs
Cette fable qui dénonce l’antisémitisme endémique dans la Roumanie du début du XXe siècle est dialoguée et mise en scène avec une indéniable puissance tragique.
Première
En lorgnant très adroitement vers les grandes œuvres du slow cinema, le film réussit à montrer brillamment la propagation d’une haine insidieuse qui trouve sa justification dans un contexte d’extrême pauvreté. Le drame laisse alors place, dans une dernière heure majestueuse, à un pur objet horrifique.
Télérama
Sans opposer schématiquement les victimes et leur bourreau, le film montre, avec un certain brio, l’hypocrisie d’hommes sortis de leur zone de confort, blessés dans leur ego. La vengeance, exercée ici au nom de la croyance religieuse, devient alors le seul moyen de s’affirmer.
Le Journal du Dimanche
Après une séquence d’ouverture choquante (l’agression de la femme enceinte du héros), ce drame, sur un conflit banal qui dégénère, peine à maintenir l’atmosphère paranoïaque et sous tension.
Le Monde
Ce film étrange, figé dans une glu malsaine, montre moins la violence qu’il ne suggère sa constante menace. Il aurait ainsi pour vertu de faire ressentir l’angoisse et l’impuissance séculaires dans lesquelles ont vécu les juifs sous l’empire de la chrétienté. En contrepoint, et l’on ne sait trop s’il convient de le lui reprocher ou de l’en féliciter, sa dramaturgie figée distille un sentiment d’accablement dont on peine à se remettre.