AlloCiné
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Paul voit sa vie être totalement bouleversée dès lors que des millions de personnes se mettent soudainement à rêver de lui.
Il ne faut pas s'attendre à une comédie à hurler de rire mais le personnage interprété par Nicolas Cage fait sourire tout du long. Il joue particulièrement bien le rôle de ce prof de fac qui finalement n'a qu'un rêve, se faire publier. C'est un gars gentil, avec très peu d'autorité, un mec lambda.
Satire de la société moderne et au culte voué à des personnes qui au fond n'ont rien d'intéressant (les millionnaires de la téléréalité pour ne citer qu'eux), ce film pointe du doigt la célébrité soudaine, la façon de la gérer et comment l'oublier lorsqu'elle disparaît.
Nicolas Cage reste un grand acteur que j'adore et qui me surprend très souvent. Je recommande vivement.
Il ne faut pas s'attendre à une comédie à hurler de rire mais le personnage interprété par Nicolas Cage fait sourire tout du long. Il joue particulièrement bien le rôle de ce prof de fac qui finalement n'a qu'un rêve, se faire publier. C'est un gars gentil, avec très peu d'autorité, un mec lambda.
Satire de la société moderne et au culte voué à des personnes qui au fond n'ont rien d'intéressant (les millionnaires de la téléréalité pour ne citer qu'eux), ce film pointe du doigt la célébrité soudaine, la façon de la gérer et comment l'oublier lorsqu'elle disparaît.
Nicolas Cage reste un grand acteur que j'adore et qui me surprend très souvent. Je recommande vivement.
Un film intéressant et curieux sur un professeur interprété par Nicolas Cage qui se retrouve dans les rêves de tout le monde, passant de pauvre type ignoré à superstar (dans un premier temps adoré puis haï). C'est dans cette dernière partie que le spectateur ne comprend plus trop où le réalisateur veut nous amener, ça semble bancal et surtout ça reste trop faible, pas a la hauteur du pitch de départ.
C'est le genre de film un peu barré sur son concept de base que j'aime découvrir de temps à autre. Et quand c'est bien fait, le postulat absurde sert de support à une satire de la société, ce qu'on retrouve bien ici. On en aurait peut-être attendu un peu plus dans la dernière partie, mais ça reste intéressant.
Le concept est original et est poussé jusqu'au bout. Nicolas Cage trouve un rôle à la mesure de son talent et de sa folie douce. Cela me fait un peu penser à un film de Woody Allen. Ceux qui n'apprécient pas Nicolas Cage trouveront le temps un peu long.
Pas mal. C'est original mais dommage que ça manque de rythme. Il ne se passe pas grand chose par moment et on ne sait pas où veut en venir le realisateur.
Un scénario original et intriguant qui finalement peine à évoluer et se termine dans l'incompréhension. J'aime l'absurde mais j'en rêve pas non plus.
A voir au moins une fois, tant le film est intéressant quant à son aspect sociétal : Paul est tour à tour une curiosité, un manipulateur, un danger pour les autres, le tout reposant sur une pure construction sociale, et à aucun moment sur des actes de sa part.
La fin du film est cependant décevante, spoiler: Paul disparait subitement des rêves, des medias, sans que ceci suscite visiblement d'interrogations ? Le film introduit en même temps une machine permettant de sa balader dans les rêves, comme si les aventures de Paul n'avait été qu'un spot publicitaire géant.
La fin du film est cependant décevante, spoiler: Paul disparait subitement des rêves, des medias, sans que ceci suscite visiblement d'interrogations ? Le film introduit en même temps une machine permettant de sa balader dans les rêves, comme si les aventures de Paul n'avait été qu'un spot publicitaire géant.
Le quotidien du professeur Paul Matthews est totalement chambouler quand tout le monde rêve de lui.
Que cela soit des jolies rêves ou un pire cauchemar. Au début cela l'amuse beaucoup mais ça risque moins de l'amuser dans le temps. Cela va lui changer sa vie.
Nicolas Cage joue bien son rôle de professeur ordinaire, simpliste.
Que cela soit des jolies rêves ou un pire cauchemar. Au début cela l'amuse beaucoup mais ça risque moins de l'amuser dans le temps. Cela va lui changer sa vie.
Nicolas Cage joue bien son rôle de professeur ordinaire, simpliste.
Quelle frustration que ce Dream scenario. Divisé en deux parties, le film montre aussi bien les opportunités et les dérives que la notoriété peut apporter. Malheureusement, Dream scenario souffre de quelques longueurs et manque d'originalité dans sa seconde partie qui finie tragiquement. La vraie bonne idée du film est d'avoir recruté Nicolas Cage, excellent dans sa prestation, dont la carrière connaît une trajectoire quelque peu similaire à son personnage.
Aïe aïe aïe ! moi qui suis une grande fan de Nicolas Cage ! un peu déçue ! le charme n'y est plus ! l'idée est cependant intéressante, il est un "petit" homme sans envergure devenu célèbre car pleins de gens, d'un coup, rêvent de lui la nuit... Le rêve tourne au cauchemar lorsqu'il devient tueur et violeur dans les rêves de ses comparses ... Un final qui met en garde contre la manipulation des rêves ! il manque quelque chose à ce film, un peu de profondeur peut être...
Un film plutôt marrant.
Ce film a une introduction très intriguante grâce à son concept génial. Il est donc ouvert a beaucoup de mise en situation drôles qui m'ont bien fait rire.
Mais le problème c'est que le film ne va pas plus loin que ça. Il est bloqué dans la case de comédie humoristique et rejettes le fait d'ajouter une case d'un autre genre (fantastique voir horreur) qui pourrait combler l'intérêt de celui-ci.
J'ai bien aimé accompagner le personnage principal (que j'ai trouvé attachant) dans son aventure mais malgré son humour, il reste trop fade à mon goût.
À vous si vous voulez passez un bon petit moment.
Ce film a une introduction très intriguante grâce à son concept génial. Il est donc ouvert a beaucoup de mise en situation drôles qui m'ont bien fait rire.
Mais le problème c'est que le film ne va pas plus loin que ça. Il est bloqué dans la case de comédie humoristique et rejettes le fait d'ajouter une case d'un autre genre (fantastique voir horreur) qui pourrait combler l'intérêt de celui-ci.
J'ai bien aimé accompagner le personnage principal (que j'ai trouvé attachant) dans son aventure mais malgré son humour, il reste trop fade à mon goût.
À vous si vous voulez passez un bon petit moment.
Une idée intéressante mais dont la mise en oeuvre ne n'a pas satisfait. Aucun approfondissement réel du phénomène si ce n'est une vague théorisation de l'inconscient collectif guère convaincante. Pour résumer, tout le monde se met à rêver d'une même personne en même temps puis subitement tout le monde la rend mauvaise dans ses rêves au même moment. Les gens concernés ne faisant jamais d'analyse rigoureuse de la situation en séparant le rêve de la réalité, ce qui va isoler toujours davantage notre pauvre protagoniste jusqu'à en faire un paria, même lorsque la vague de rêves communs aura passé aussi spontanément qu'elle est apparue.
Alors bien sur pour faire raccord avec la soif technologique provoquée par le marketing, la fin du film nous entraîne dans la récupération du concept en tant que nouvel outil de propagande direct sur la population durant son sommeil, à fins commerciales seulement, si cela peut vous rassurer...
Nicolas Cage est tout à fait convainquant dans sa prestation d'homme dépassé par les évènements mais qui s'accroche pour garder un certain contrôle jusqu'à ce qu'il tente de se faire oublier tout en se raccrochant à sa famille. Mais bizarrement, en restant populaire dans certains milieux d'initiés ésotériques... en Europe, alors qu'on a jamais dit qu'il était dans les rêves d'autres gens que des américains. Allez comprendre...
Malgré ses errements le film témoigne cependant assez lourdement de l'insanité de notre civilisation exclusivement basée sur le contrôle et l'exploitation de la masse par ceux qui ont accès à la diffusion, par tous les moyens imaginables. Et comme trop souvent l'idée de départ dénuée de toute logique est un prétexte filmique idéal pour ce genre de dérive, que l'on pourra considérer comme un meme comme ils se plaisent à dire ici et bien ailleurs, tant ce genre de glissement devient redondant dans le cinéma de nos jours.
Alors bien sur pour faire raccord avec la soif technologique provoquée par le marketing, la fin du film nous entraîne dans la récupération du concept en tant que nouvel outil de propagande direct sur la population durant son sommeil, à fins commerciales seulement, si cela peut vous rassurer...
Nicolas Cage est tout à fait convainquant dans sa prestation d'homme dépassé par les évènements mais qui s'accroche pour garder un certain contrôle jusqu'à ce qu'il tente de se faire oublier tout en se raccrochant à sa famille. Mais bizarrement, en restant populaire dans certains milieux d'initiés ésotériques... en Europe, alors qu'on a jamais dit qu'il était dans les rêves d'autres gens que des américains. Allez comprendre...
Malgré ses errements le film témoigne cependant assez lourdement de l'insanité de notre civilisation exclusivement basée sur le contrôle et l'exploitation de la masse par ceux qui ont accès à la diffusion, par tous les moyens imaginables. Et comme trop souvent l'idée de départ dénuée de toute logique est un prétexte filmique idéal pour ce genre de dérive, que l'on pourra considérer comme un meme comme ils se plaisent à dire ici et bien ailleurs, tant ce genre de glissement devient redondant dans le cinéma de nos jours.
Nicolas Cage se retrouve dans un pétrin pas possible, et l'on y croit du début à la fin (ou presque). C'est pas mal fait, c'est très bien joué.
On retrouve avec ce film le Nicolas Cage de 'The Wicker Man' de 2006, celui de 'Prédictions' de 2009, entre autres. Personnage des plus ordinaires confronté à une situation des plus extraordinaires. Il sait incarner cela. Il a un goût et un talent certain pour faire le bête, l'inquiet, l'inquisiteur, devant l'inimaginable. A condition que ça reste vraisemblable. Et la vraisemblance est rendue (ou pas) par le sujet et le réalisateur.
En l'occurrence, la vraisemblance dans ce film-là n'est pas assurée (même si l'on croit dur comme fer à l'inconscient collectif). Mais l'auteur du film assure : l'analogie avec l'infection des cerveaux par les réseaux sociaux est évidente. Les réseaux sociaux, ce serait le grand n'importe quoi auquel une minorité croit et finit par contaminer une majorité. Une rumeur enfle ici, un harcèlement s'ensuit, la violence opère, la vengeance aussi.
L'auteur va peut-être trop loin dans le filon, parce qu'on n'est pas pas sûr de le suivre à la fin, la société humaine finissant par développer une machine pour entrer dans les rêves et l'indispensable gourou pour y voyager tranquillement...
A.G.
On retrouve avec ce film le Nicolas Cage de 'The Wicker Man' de 2006, celui de 'Prédictions' de 2009, entre autres. Personnage des plus ordinaires confronté à une situation des plus extraordinaires. Il sait incarner cela. Il a un goût et un talent certain pour faire le bête, l'inquiet, l'inquisiteur, devant l'inimaginable. A condition que ça reste vraisemblable. Et la vraisemblance est rendue (ou pas) par le sujet et le réalisateur.
En l'occurrence, la vraisemblance dans ce film-là n'est pas assurée (même si l'on croit dur comme fer à l'inconscient collectif). Mais l'auteur du film assure : l'analogie avec l'infection des cerveaux par les réseaux sociaux est évidente. Les réseaux sociaux, ce serait le grand n'importe quoi auquel une minorité croit et finit par contaminer une majorité. Une rumeur enfle ici, un harcèlement s'ensuit, la violence opère, la vengeance aussi.
L'auteur va peut-être trop loin dans le filon, parce qu'on n'est pas pas sûr de le suivre à la fin, la société humaine finissant par développer une machine pour entrer dans les rêves et l'indispensable gourou pour y voyager tranquillement...
A.G.
Une fois de plus, Nicolas Cage joue bien, mais dans un film peu réussi.
En effet, l'idée de base est excellente, mais le film part en sucette après l'intrigue posée. Il pose toutefois de bonnes questions sur la quête de gloire et ses finalités.
En effet, l'idée de base est excellente, mais le film part en sucette après l'intrigue posée. Il pose toutefois de bonnes questions sur la quête de gloire et ses finalités.
Sur le thème de l’imaginaire et du réel, voilà un film très exaltant. La propension de Nicolas CAGE à savoir divertir et nous faire rêver est incroyable. C’est un bonheur de le voir se mettre en scène dans ses péripéties, passant du statut de professeur aimé à celui de pire cauchemar. « Dream Scenario » est un petit bijou onirique, entre poésie et burlesque, humour potache et nostalgie, d’une belle inventivité.
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